A l’occasion de la nouvelle l’étape du Tour des Reporters d’Espoirs à Bordeaux, Gilles Vanderpooten interviendra jeudi 21 novembre devant les étudiants en Master I de l’IJBA – Institut de Journalisme Bordeaux-Aquitaine, à l’invitation d’Arnaud Schwartz, directeur de l’école.
L’opportunité d’échanger avec les étudiants sur leurs aspirations et sur l’apport du journalisme de solutions, à l’occasion des 20 ans de la démarche et de l’association.
A l’occasion des Tribunes de la Presse, événement phare organisé par la Région Nouvelle Aquitaine pour la 14e année (dont vous trouverez le programme ici), Reporters d’Espoirs vous donne rendez-vous à Bordeaux.
Au programme :
Mercredi 20 : Soirée d’ouverture des Tribunes de la presse au Théâtre national Bordeaux Aquitaine.
Jeudi 21 : intervention devant les étudiants de l’IJBA – Institut de journalisme Bordeaux Aquitaine.
Vendredi 22 : rencontres avec journalistes et médias de Bordeaux.
Samedi 23 : remise du Prix Reporters d’Espoirs Sport & Innovation sociale en présence de :
Alain Rousset, Président de la Région Nouvelle Aquitaine
le lauréat ou la lauréate
Héloïse Lhérété, journaliste et directrice de la rédaction de Sciences Humaines, membre du Jury
Gilles Vanderpooten, directeur de Reporters d’Espoirs
« Depuis le siècle des Lumières, il a été le mot d’ordre de nos sociétés. Il allait de pair avec une vision optimiste du monde et de son avenir radieux. Ces temps sont-ils révolus ? L’idée d’un progrès chaotique mais continu de l’Humanité ne fait plus recette. Alors même que l’Homme dispose comme jamais d’outils dans tous les domaines, l’idée même de progrès est contestée. Il est temps de faire le point. Politique, environnement, vie personnelle, éducation, médias, relations internationales, mondialisation… Où se niche le progrès en ce XXIᵉ siècle ? Que peut-on espérer ? »
Durant 4 jours, du 21 au 23 novembre, la ville de Bordeaux vibre au rythme des 14e « Tribunes de la presse ». Au programme : conférences, rencontres, ateliers, dédicaces, pour décrypter et comprendre l’actualité, avec des personnalités comme Bernard Guetta, Hubert Védrine, Mazarine Pingeot-Mitterrand, Etienne Klein, Zahia Ziouani, Thierry Marx, Jean-Claude Michéa, Najat Vallaud-Belkacem, ou encore Florence Servan-Schreiber.
Le 3e Prix Reporters d’Espoirs de l’innovation sociale sera remis en clôture de l’événement le samedi 23 novembre à 12h30 en présence de membres du jury et du directeur de l’association.
Mémona Hintermann-Afféjee est actuellement en voyage à La Réunion, son île natale, où elle inaugure mardi 8 octobre 2024 la première Maison des femmes, de la mère et de l’Enfant, aux côté notamment d’Huguette Bello, présidente du conseil de surveillance du CHU Nord de Saint-Denis. Cette initiative vise à prévenir les violences faites aux femmes et aux enfants. Elle y convie notamment des professeurs, convaincue que c’est à l’Ecole qu’il est possible de changer les mentalités.
Elle profite de ce séjour pour arpenter les établissements scolaires, notamment le 10 octobre où elle rencontrera au cœur du lycée qui porte son nom l’équipe pédagogique et les élèves ; le 11 octobre au Collège de Cambuston, établissement situé en REP+ où depuis 2015 elle accompagne des actions en lien avec des associations de quartiers pour fortifier les liens sociaux. « Le journalisme de solutions, c’est ça aussi. C’est en tant que journaliste que j’agis ! » rappelle Mémona, grand reporter, ancienne membre du CSA (ARCOM), éditorialiste à La Dépêche du Midi et à Midi Libre, et dynamique administratrice de Reporters d’Espoirs.
Raphaëlle Duchemin et Gilles Vanderpooten interviennent à Bordeaux auprès de la rédaction de AirZen ce jeudi, pour une journée de formation de ses journalistes-pigistes au journalisme de solutions. Une nouvelle étape sur la route du « Tour des Reporters d’Espoirs », à la rencontre du média de solutions qui monte !
L’Université Bayard, un lieu d’échange pour les salariés
Il y a plus de vingt ans, le groupe a créé l’Université de Bayard, ouvert à tous ses salariés. Une fois par mois, des ateliers, conférences ou rencontres ont lieu sur des grandes thématiques en lien avec l’entreprise. Cette initiative a pour ambition de tourner l’entreprise vers l’extérieur, en accueillant des chercheurs et spécialistes venant de différents horizons. Le 21 juin, c’est le vice-président de Reporters d’Espoirs, Christophe Agnus, qui animera une conférence sur le journalisme de solutions.
A la rencontre de la Chambre Régionale des Entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire de la région PACA et de son président Denis Philippe, administrateur d’AESIO Mutuelle (entreprise mécène du Prix Reporters d’Espoirs)
Les verres s’entrechoquent, les discussions vont bon train dans le bistrot situé à quelques encablures du palais des ducs de Dijon où se déroulent les Journées de l’économie autrement. Nous rencontrons Denis Philippe qui, en fervent mutualiste, préside la Chambre Régionale des Entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire (CRESS) de la région PACA. Il aspire à ce que l’économie sociale et solidaire se donne davantage d’ambitions : au-delà des « petits chemins de traverse », il est temps qu’elle emprunte « le boulevard qui s’offre devant elle ». Le deuxième anniversaire du parcours dédié aux jeunes entrepreneurs de l’ESS en ce mois d’avril 2024 est l’occasion de revenir sur les avancées du secteur.
Exister politiquement : stop aux « pudeurs de gazelle » de l’ESS !
« ll faut que nous soyons, nous représentants et organisations de l’ESS, organisés et forts ». Il faut dire que cette branche particulière de l’économie, regroupant associations, coopératives, entreprises sociales, fondations et mutuelles, peine à prendre la mesure de son poids sur le territoire : jusqu’à 14% de l’emploi salarié privé, 10% du PIB et plus de 200 000 entreprises, sans compter les millions de bénévoles engagés dans le tissu associatif français. Rien qu’en région PACA, près de 17 000 structures assurent 10% de tous les emplois de la région. Il y a un « créneau à prendre » selon Denis Philippe, qui regrette la difficulté des grands acteurs de l’ESS à « faire ensemble » et les discours d’impuissance qui en découlent.
Pourtant le potentiel est là, dès lors qu’il y a un modèle économique viable pour ces entreprises dont la création vient avant tout « répondre à un besoin social ». Si l’argent n’est « pas un but mais un outil » nécessaire pour se développer en tant que structure, c’est aussi le nerf de la guerre pour un secteur qui peut revendiquer cinq banques coopératives d’ampleur à l’échelle nationale. Elles sont d’ailleurs majoritaires dans la banque de détail, celle de notre quotidien, représentant 60 % de l’activité. Denis Philippe en est convaincu : fédérer ne serait-ce que ces acteurs bancaires doit permettre à l’ESS d’exister politiquement et à ses dirigeants d’être, à la manière des cadres du MEDEF, reçus par le Président de la République et la Première Ministre – quitte à taper un peu du poing sur la table pour se faire entendre. Il regrette qu’aujourd’hui que les têtes de réseau de l’ESS rentrent d’abord « dans une logique de représentation, sans prendre de décision économique ni entamer de négociation politique ».
D’où vient alors ce blocage ? Aucun obstacle réel selon Denis Philippe, qui voit surtout un frein psychologique : « il existe une réserve là où d’autres ne s’embarrassent pas de pudeurs de gazelle » quant au marketing et à l’influence. C’est ce côté timoré qui perpétuerait les discours présentant l’ESS comme « différente », « moins visible », « gentillette »… à rebours d’entreprises « engagées » ou « à mission qui reprennent à leur compte des concepts inscrits dans les statuts et l’histoire de l’ESS et devenus tendance, observe-t-il. Aux acteurs de l’ESS de se réapproprier le sens de ces termes en communiquant mieux et plus largement sur leur capacité à rassembler, à incarner, à montrer.
Démontrer par l’exemple
Mettre en avant les réalisations de l’ESS en partant du terrain, de ce qui s’y fait de concret en termes de santé, d’alimentation, de restauration… C’est cela qui peut démontrer selon Denis Philippe la « pertinence du modèle mutualiste », à même de convaincre des élus mais aussi d’attirer les jeunes avec « des dispositifs qui donnent à voir ». Les jeunes certes cherchent du sens mais veulent tout autant « gagner leur vie comme tout le monde ». « Les beaux discours sur l’emploi et les valeurs de l’ESS ne suffisent pas à convaincre. Il faut montrer que l’ESS apporte des réponses aux questionnements des jeunes et devenir un tremplin pour leurs aspirations ». Son rêve ? Que, demain, des jeunes frappent à la porte de la CRESS avec une idée de projet à entreprendre, en demandant un accompagnement. C’est l’axe qu’il a développé en région PACA : la CRESS s’est associée à sept organisations (France Active, mouvement des Scop, intermade, Mouvement Associatif Sud Paca, Coorace Paca, Cros Région Sud, Têtes de l’Art) et a obtenu le soutien de la Banque Populaire Méditerranée, pour offrir aux entrepreneurs un parcours de 7 semaines leur permettant de booster leur projet, intitulé « Mon projet d’Entreprise ESS ». Il célèbre son 2e anniversaire en ce mois d’avril.
Aider les jeunes à entreprendre dans l’ESS : 150 entrepreneurs accompagnés en 2 ans en région PACA
En 2022 le parcours « développement » a accompagné 20 entreprises. Parmi elles, 60% ont déjà plus de 50 salariés, et 30% ont un objet de transition écologique. Quant aux entrepreneurs en phase de lancement, ils bénéficient d’un programme « création ». Nous avons interrogé trois d’entre eux.
Glenn Lenga, fondateur de Save my Shoes, en restaurant des baskets allonge leur cycle de vie et veut ainsi lutter contre la fast fashion et la surconsommation. Son entreprise a reçu l’agréement ESUS, qui permet de certifier la valeur solidaire d’une entreprise. « Ça prouve qu’elle a une utilité sociale et solidaire. Pour mes projets d’avenir, c’est bien d’avoir une reconnaissance publique », explique le jeune entrepreneur de 34 ans. Les trois mois d’accompagnement l’ont amené à comprendre l’intérêt de l’ESS : « on m’a donné des cartes pour mener à bien mon projet, et j’ai reçu beaucoup d’informations intéressantes que je mets en pratique tous les jours. Ça m’a conforté dans mon idée d’avoir une utilité à la fois économique, sociale et solidaire ».
Pour Ghislaine Bourillon, le parcours offert par la CRESS PACA a été l’opportunité de développer « une vision à 360 degrés ». Cette quinquagénaire a lancé la première filiale de recyclage de bijoux fantaisie : « je suis arrivée avec un projet original, et j’ai bénéficié d’une écoute et d’un accompagnement qui ont aidé à le concrétiser ». L’entrepreneuse insiste sur l’importance de prendre le temps pour mettre en place ce genre de projet : « Aujourd’hui, on est dans l’urgence de tout faire. Avec la CRESS, on retrouve cette ouverture sur le monde, on écoute et on comprend ».
Quant à Eddy Bonjean, il a pour projet de monter un restaurant dont les salariés seront des personnes en situation de handicap. Ce restaurateur a toujours été « sensible à l’ESS ». Il travaille depuis 13 ans dans le médico-social, et a pu avec l’accompagnement de la CRESS accéder à des compétences qui lui manquaient : « ce qui nous a vraiment aidé, c’est le montage des statuts, et la compréhension du côté fiscal par exemple. On a bénéficié d’un accompagnement sur les choses qu’on ne maîtrisait pas ». L’entrepreneur insiste également sur la visibilité qu’apporte ce parcours : « A la fin de l’accompagnement, mon projet a été repéré par France Travail. C’est pratique pour trouver des soutiens et des partenaires. »
Avant de se présenter devant une CRESS, encore faut-il connaître l’ESS et savoir de quoi il s’agit. Denis Philippe estime que « sa notoriété limitée au sein de la population découle d’un manque d’intérêt des journalistes pour un sujet qui, il faut le dire, ne déplace pas les foules ». Il est lucide : « sans coup de com’ – ou de gueule – seuls les journalistes véritablement intéressés par l’associatif font le déplacement ». Néanmoins, la CRESS PACA a déjà convaincu depuis 2022 150 entrepreneurs de rejoindre ses programmes d’accompagnement. Autant d’ambassadrices et d’ambassadeurs potentiels de l’économie sociale et solidaire auprès des journalistes.
Jeudi 4 avril de 14h à 17h, à l’ISCPA, 47 Rue du Sergent Michel Berthet, 69009 Lyon
Le caractère anxiogène de l’information et des réseaux sociaux a des répercussions sur les citoyens : fragilisation de la santé mentale, refus de s’informer… Face à cette situation préoccupante, sur les plans sanitaire, social et démocratique, quelle réponse peut apporter le journalisme de solutions ? L’ISCPA Lyon, école de journalisme et communication, organise à l’occasion des 20 ans de Reporters d’Espoirs une conférence pour ses étudiants, également ouverte au grand public. A l’initiative d’Aude Ristat, responsable de la formation à l’ISCPA et de Thierry Kieffer, journaliste et enseignant en journalisme.
👉 14h : Accueil
👉 14h15 – 14h30 : Intervention Les biais de négativité ou quand l’info fait mal Arthur Grimonpont, Responsable de projet Intelligence Artificielle pour Reporters sans frontières (RSF)
👉 14h30 – 14h45 : Intervention Le journalisme et le journaliste de solutions : définition Florence Gault, journaliste, créatrice du podcast En un battement d’aile, formatrice certifiée par le Solutions Journalism Network
👉 14h45 – 15h10 : Intervention Reporters d’Espoirs, 20 ans d’action Gilles Vanderpooten, directeur général de l’ONG Reporters d’Espoirs
👉 15h10 – 15h40 : Table-ronde Journalisme de solutions : quels freins, quelles opportunités ? Arthur Grimonpont / Florence Gault / Gilles Vanderpooten – Etat des lieux du développement du journalisme de solutions en France – Quels sont les freins à ce développement ? – Quels sont les leviers d’action efficaces ou qui semblent prometteurs pour soutenir le journalisme de solutions ? 👉 15h40 – 16h : Intervention Nice Matin et l’exemple d’une ligne éditoriale Solutions Sophie Casals, journaliste de solutions et cheffe de projet éditorial
👉 16h00-16h30 : Table-ronde Le journalisme de solutions, un changement de perspective durable ? Frédéric Duval (Lyon Positif) / Florence Gault / Gilles Vanderpooten – Qu’est-ce que le journalisme de solutions (et plus largement un journalisme plus positif) peut apporter aux citoyens ? En quoi est-ce déterminant du point de vue sociétal et démocratique ? – Est-ce que ce journalisme peut-il accompagner une évolution du métier de journaliste ?
Avec son Prix de l’innovation sociale, Reporters d’Espoirs met à l’honneur les reportages évoquant l’économie sociale et solidaire. Quel meilleur lieu pour révéler la lauréate 2023 que les Journées de l’Economie Autrement à Dijon ? Les 24 et 25 novembre, cet événement clé de l’ESS en France a vu des dizaines d’intervenants se succéder pour animer des conférences, tables-rondes et ateliers sur ce sujet foisonnant.
Avec le « Prix européen du jeune reporter », Reporters d’Espoirs encourage les jeunes francophones du monde entier à se faire acteurs de l’information, à pratiquer l’écriture en langue française, et à diffuser la connaissance d’initiatives constructives à l’échelle de l’Europe. Dédié aux 15-30 ans quels que soient leurs parcours et études, le Prix va soutenir 6 reportages écrits, couvrant des problèmes et des initiatives qui contribuent à une société européenne inspirante, solidaire et durable.
Le premier des 6 lauréats sera dévoilé ce samedi 18 novembre à 12h30 à l’occasion des « Tribunes de la presse de Bordeaux », événement majeur du paysage culturel bordelais dont Reporters d’Espoirs est partenaire, et ce en présence d’Alain Rousset, Président de la Région Nouvelle-Aquitaine. Et sera publié dans le journal Sud-Ouest.
Le jury est cette année est composé de :
8 journalistes et grands reporters : Christine Buhagiar de l’AFP, Eléonore Gay de France Télévisions, Jon Henley de The Guardian (UK), Alexia Kefalas correspondante du Figaro, du Point et de France 24 (Grèce), Paolo Levi correspondant de La Stampa et Ansa (Italie), Jean Quatremer de Libération, et deux indépendants, Solenn Cordroc’h et Olivier Weber ;
3 dirigeantes et dirigeants de fondations : Etienne Pflimlin de la Fondation du Crédit Mutuel pour la lecture, Dorothée Merville de la Fondation Hippocrène, Christophe Leclerc de la Fondation Europe’s Media Lab ;
et 2 experts et enseignants, Patrick d’Humières de CentraleSupelec et Nicole Gnesotto du CNAM et de l’Institut Jacques Delors.
Les 12 candidats en présélection pour leurs reportages sont :
Emilie Andrieux (France) A l’université de Bordeaux, on sensibilise les étudiants sur la santé mentale
Laura Bannier (France) De nos toits à nos assiettes
Juliette Boffy (France), Aux armes démocratiques, citoyens !
Thibaut Camboulives (France), L’art du faire-ensemble pour lutter contre le déclin démographique
Cristina Coellen (Autriche), Extraire la chaleur des eaux usées, une technique de chauffage durable à la conquête des villes européennes
Marie Dougnac (France), La construction en terre crue, armée face au béton ?
Amélie Reichmuth (France), Danemark : grâce à Elderlearn, l’intégration devient un vecteur de lien social
Marie Senécal et Zachariel Cossette-LeBlanc (Canada), La résilience à la grecque
Edward Sfeir (Liban), Les biocités : solution aux problèmes d’aujourd’hui et de demain
Pierre Terraz (France), Morts sous X
Fatou Toure (Sénégal), L’ONG Village Pilote, une lueur d’espoir pour les enfants des rues
Sami Zaïbi (Suisse), Samsø et l’énergie renouvelable, l’utopie devenue réalité
Ces 12 candidats ont été présélectionnés parmi 140 candidats. 6 d’entre eux vont se partager la dotation de 10 000 euros, en début d’année 2024 à l’occasion d’un événement célébrant les 20 ans de Reporters d’Espoirs.
Qui sera le lauréat ou la lauréate dévoilé aux Tribunes de la presse samedi 18 novembre ?
L’un des six lauréats du Prix sera dévoilé en clôture des Tribunes de la presse, samedi 18 novembre à 12h30 au TNBA – Théâtre National de Bordeaux en Aquitaine, en présence d’Alain Rousset, président de la Région Nouvelle-Aquitaine et Gilles Vanderpooten, directeur général de Reporters d’Espoirs. Le reportage lauréat sera publié dans le journal Sud-Ouest.
Découvrez la passion sous toutes ses facettes lors de la 13e édition des Tribunes de la Presse ! De la politique aux relations amoureuses, de l’Histoire à la presse, des guerres aux passions qui gouvernent notre monde, plongez dans un tour d’horizon passionné. Historiens, journalistes, écrivains, philosophes, responsables politiques et chercheurs seront présents pour partager leur vision de la passion et susciter le débat.
Entrez dans le débat avec Cédric Villani, Laure Adler, Hubert Védrine, Eric Fottorino, Gilles Clément, Florence Burgat, Emma Becker, Alain Rousset, Catherine Millet, Gaspard Koening, Mazarine Pingeot, Alain Juppé, Rose-Marie Lagrave, ou encore Barbara Stiegler.
Six lieux sont dédiés pour accueillir les plénières, débats, ateliers, cartes blanche et autres rencontres durant tout l’évènement. Toutes les infos à retrouver sur www.tribunesdelapresse.org
La déclinaison européenne du Prix Reporters d’Espoirs créé en 2004
Le Prix Reporters d’Espoirs met à l’honneur depuis 2004 les journalistes, innovateurs des médias, et étudiants-futurs professionnels des médias, pour leurs sujets traités sous l’angle « problème + solution ». Il a distingué plus de 120 lauréats depuis sa création, et célèbre en 2023 sa 13e édition.
Le Prix a permis à des journalistes de défendre leur travail au sein de leur rédaction, de gagner en notoriété auprès du public, de maintenir ou développer leurs rubriques, de convaincre leur média de la pertinence du journalisme de solutions, etc.
Le Prix s’inscrit dans la mission de Reporters d’Espoirs « pour une info et des médias qui donnent envie d’agir ».
Le Prix européen du jeune reporter est organisé avec le soutien de la Fondation du Crédit Mutuel pour la lecture (grand mécène), de la Fondation Hippocrène, du CFC Droit de copie, et du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.
Parmi les médias partenaires : Le Figaro, Sud-Ouest, Euradio, VoxEurop, Le Taurillon, la Revue demos ou Jeune Afrique.
50 organisations sont partenaires-relais de l’opération, en Europe et dans l’espace francophone parmi lesquelles de nombreuses Alliances Françaises et Instituts Français (Autriche, Togo, Malte, Manchester, La Haye, Madagascar, Lituanie, Cameroun, Hambourg…) ; ou encore les Clubs de la Presse de France, de Bretagne, de Bruxelles ou du Québec..