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Sur la route du tour

12/09/2023 . Salon Produrable : « Comment communiquer sur ses actions sans être accusé de greenwashing ? »

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Journaliste, communicant, dirigeant d’entreprise : 3 perspectives et retours d’expérience

Reporters d’Espoirs vous attend mardi 12 septembre au salon Produrable (Paris), « le rendez-vous phare des acteurs de l’économie durable », sur le stand de BPIFrance pour une conférence avec :

  • Pierre Girard, journaliste scientifique, animateur sur Arte (Roots, Scope), youtubeur (Tous Terriens)
  • Joséphine Copigneaux, directrice marketing de Werner & Mertz Professional
  • Benoit Desveaux, directeur général du groupe Hopscotch, membre de la Convention des Entreprises pour le Climat (CEC)
  • Gilles Vanderpooten, directeur de Reporters d’Espoirs, auteur (Imaginer le monde de demain, le rôle positif des médias, ed.Actes Sud)

« Entreprise à mission », « politique d’engagement », « responsabilité sociale de l’entreprise », « neutralité carbone »… : nouveau vocabulaire et nouvelles pratiques -attestés ou controversés-, se sont développés ces quinze dernières années pour répondre aux nouvelles attentes de la société, à l’initiative des entreprises et du législateur. A quelles conditions les discours des entreprises sont-ils crédibles ? Que leur conseillent les experts des relations presse et publiques ? Comment les perçoivent les citoyens ? Qu’en pensent les journalistes, et à quelles conditions sont-ils prêts à diffuser la connaissance de ces initiatives ? Comment choisir les actions sur lesquelles communiquer ou s’abstenir ?

Autant de questions que nous aborderons dans cette conférence qui croisera les regards de journalistes, d’un communiquant et d’une directrice marketing. Pour tâcher de vous donner des clés pour communiquer mieux, sans en faire trop, de la manière la plus sincère possible, afin d’être compris et entendu dans une époque de sur-communication et de défiance.

Un événement BPIFrance x Reporters d’Espoirs, l’ONG pionnière du journalisme constructif depuis 2004.

Où ? Salon Produrable, stand BPIFrance, Palais des Congrès de Paris, Porte Maillot. 
Quand ? Mardi 12 septembre de 15h à 16h15.

> Infos & inscription sur le site du salon Produrable (événement payant)

A Couthures-sur-Garonne, les journalistes prennent leur temps

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Audiovisuel public, soulèvements en Iran, intelligence artificielle… autant de thématiques mises à l’honneur lors de cette septième édition du Festival international du journalisme (FIJ) en juillet 2023, parrainé par le Groupe Le Monde à Couthures-sur-Garonne. On y pose notamment une question fondamentale, autour de laquelle s’organisent de nombreuses conférences : « informer sans déprimer, est-ce possible ? » De nouveau partenaire du festival, Reporters d’Espoirs a contribué à cette réflexion en parlant dialogue, audience et bien sûr, journalisme de solutions.

Des bottes de paille et les reflets du soleil sur la Garonne, qui coule le long d’un petit village de 370 habitants. C’est dans ce décor que se déroule presque chaque année depuis huit ans l’une des plus grandes réunions françaises de professionnels et passionnés de l’info. Loin du formalisme que l’on pourrait attendre d’un tel rassemblement, le Festival international de journalisme de Couthures-sur-Garonne s’apparente à… un festival ! Ecocup, tables de pique-nique, baignade, concerts… Suivre un atelier, c’est s’exposer à en recroiser quelques heures plus tard les animateurs en maillot de bain. Mais cette ambiance légère n’empêche pas d’aborder des sujets sérieux, bien au contraire. Sous le parrainage de l’écrivain napolitain Roberto Saviano, menacé en raison de ses enquêtes à charge sur la mafia italienne, on parle conflits et liberté de la presse. De l’avenir de la démocratie aux révolutions initiées par l’intelligence artificielle, en passant par la santé mentale, le festival fait ainsi la part belle aux thématiques anxiogènes, autour desquelles invités et public échangent avec une grande liberté. Reporters d’Espoirs était convié à animer deux ateliers et à participer à une table ronde dans le cadre d’une des grandes questions du festival : peut-on encore informer sans déprimer ?

Ateliers : des citoyens sévères vis-à-vis des médias

Reporters d’Espoirs animait deux ateliers, l’un sur l’importance du dialogue dans les médias, l’autre sur le journalisme de solutions. Dans le premier, après avoir échangé sur des exemples de titres de presse écrite plus ou moins polémiques, les participants discutaient de la manière qu’ont les médias de confronter les points de vue. Une opposition binaire et frontale permet-elle véritablement à l’audience de se faire un avis plus éclairé ? Ou vaut-il mieux chercher la complexité, les convergences en favorisant, de fait, des contenus de fond ? Dans le second atelier, les échanges concernaient la méthode du journalisme de solutions ainsi que son potentiel pour résoudre – en partie – certains des problèmes auxquels les médias font face. Si les personnes qui se détournent de l’info prétendent le faire à cause de son ton dramatique, peut-être faut-il allumer une lueur d’espoir dans l’obscurité de l’actualité ?

Seuls des festivaliers non journalistes ont assisté à chacun des ateliers, et exprimé par leurs remarques un réel engagement dans leur rapport à l’information. Une chose ressort : les médias ont une vaste marge de progression. Questions et avis s’empilent à ce propos : on reproche les titres aguicheurs, la redondance des informations, l’opacité de leurs pratiques, la tonalité négative des fils d’actualité. Et, parfois à demi-mots, parfois franchement, on l’entend : « On a l’impression que les médias nous prennent pour des cons. » Le commentaire est en particulier ressorti lors de l’atelier sur le journalisme de solutions, quand une participante a critiqué l’habitude des JT de clore leur exposition de désastres par un reportage léger sur un sujet sans importance. Une pirouette qui, apparemment, peine à convaincre le public.

On pourrait regretter le côté peu contradictoire du débat : si certains festivaliers divergent sur les causes du problème, tous s’accordent à dire qu’ils ne font plus confiance aux médias. Et pas un journaliste à l’horizon pour nuancer les critiques en parlant des contraintes, structurelles et économiques, de la profession. Pour autant, mêmes unanimes, ces condamnations constituent une manifestation encourageante, puisque les citoyens qui les formulent ont après tout pris le temps de les formuler. Ils se sont déplacés, ils ont réfléchi, ils ont participé, ils ont critiqué parce qu’ils tiennent à l’information. Ils tiennent aux médias, et cet attachement justifie l’intransigeance avec laquelle ils commentent leur travail. Comme le dit le proverbe – tout à fait discutable dans le cadre de relations interpersonnelles : qui aime bien châtie bien.

Le journalisme de solutions, panacée universelle ?

L’info est déprimante, de nombreuses personnes s’en détournent. Autour de ces constats, confortés par de multiples études, cinq tables rondes durant lesquelles journalistes et citoyens ont discuté des leviers dont disposent les médias pour relever ces défis – ou corriger leur propre trajectoire. Augustin Perraud, coordinateur des programmes à Reporters d’Espoirs, a participé à la conférence sur le journalisme de solutions aux côtés de trois représentants du Monde, Françoise Tovo, responsable des abonnements, Syrielle Mejias, journaliste vidéo et Simon Roger, chef du service Planète. Étaient également présents Jon Henley, correspondant Europe du Guardian, Lucas Scaltritti, auteur du podcast Super Green Me et Luce Julien, directrice générale de l’information de Radio-Canada. Tous ont échangé sur leur pratique du journalisme de solutions, qu’ils n’avaient d’ailleurs pas forcément conscience de pratiquer, et sur l’accueil favorable de leurs audiences respectives.

Le public de la conférence s’est montré réactif. Hommage aux émissions qui parlent solutions de longue date, remarques sceptiques – le journalisme de solutions, n’est-ce pas au final du bon journalisme ? – questions pratiques. Comment contacter les journalistes, quand on est porteur de solutions ? Comment faire en sorte que son initiative soit médiatisée ? Les médias ne devraient-ils pas soutenir les solutions dans leur démarche, au lieu de se contenter de les rendre visibles quand la démarche a porté ses fruits ? Une réflexion qui fait écho aux remarques des participants de notre atelier sur le dialogue : au-delà de mettre en regard des opinions nuancées, les médias n’auraient-ils pas vocation à devenir eux-mêmes médiateurs ? Rassembler des gens d’opinions diverses non plus pour rendre compte de la dissension mais pour chercher avec eux le compromis ? On touche là au rôle des médias dans la démocratie. Certains les voudraient entrepreneurs et proactifs, d’autres au contraire en retrait et réflexifs. Peut-être existe-t-il une variété de médias telle que chacun puisse, en réalité, déjà y trouver son compte ?

Qu’on soit ou non pour des médias « entrepreneurs », la question demeure : comment contacter les journalistes ? Participer aux festivals de journalisme semble être un bon moyen, puisque le citoyen qui a fait cette remarque est reparti avec plusieurs contacts de grandes rédactions. Mais la méthode ne fonctionne pas pour tous. Ainsi, M. Moreau, maire de Couthures-sur-Garonne, bataille depuis deux ans pour que son appel aux dons soit relayé dans des médias nationaux. L’église St-Léger, qui accueillait jusqu’en 2021 nombre d’activités, nécessite en effet des réparations dont le montant s’élève à plus d’un million d’euros sur trois ans. Or en dehors d’un article de Sud-Ouest et d’une publication sur le site du FIJ, le besoin de préserver l’édifice n’a pas été beaucoup médiatisé. Le maire s’en afflige et s’en amuse à la fois. Curieux, pour un village qui accueille un festival de journalisme, de ne pas parvenir à faire les gros titres ! Mais rien ne sert d’en vouloir aux médias, dit-il. Il y a toujours tellement de choses à couvrir, tellement de projets à financer. Au-delà de l’intérêt, c’est peut-être tout simplement le temps qui manque aux journalistes.

Louise Jouveshomme, chargée d’études au Lab Reporters d’Espoirs.

6-9 juillet : Reporters d’Espoirs vous donne RDV à Epinal pour le Festival Là-haut sur la colline

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Gilles Vanderpooten, directeur général de Reporters d’Espoirs, est invité du festival et participera samedi 8 juillet à 17h30 au débat sur le thème « L’esprit critique, une compétence clé pour l’avenir« .

Ce festival européen qui se tient du 6 au 9 juillet 2023 se construit autour de différentes propositions : concerts, espaces-paroles, animations et ateliers ludiques. Découvrez le programme sur ces 4 jours festifs où artistes -dont le rappeur Black M-, philosophes et personnes de tous horizons se donnent rendez-vous au parc du Cours d’Épinal.

Evénements gratuits / Concerts payants.

>Informations sur le site du Festival

Mardi 11 avril. Rencontrons-nous à Toulouse !

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« L’économie sociale et solidaire mérite-t-elle d’être (davantage) médiatisée ? »

Le Club de la presse Occitanie et l’ONG Reporters d’Espoirs s’associent pour vous proposer une discussion-débat visant à échanger sur les bonnes pratiques et la manière de donner à l’ESS sa juste place dans l’espace médiatique. Rendez-vous le mardi 11 avril 2023 à 18h30 aux Halles de la Transition, 31000 Toulouse.  

Au programme :
18h30 Accueil
18h45 Débat et échanges avec le public
20h Échanges informels au Café des Halles de la Transition

Avec
Raphaëlle Duchemin, Journaliste, BFM Business, Marcelle le média, ex Europe 1/RMC/Franceinfo;
Timothée Duverger, Docteur en histoire, directeur du master « ESS et innovation sociale » à Sciences Po Bordeaux, auteur;
Pascale Lagorce, Rédactrice en chef à France 3 Occitanie / Midi-Pyrénées;
Christophe Agnus, Président de Reporters d’Espoirs, éditeur, ex grand-reporter (L’Express) et dirigeant de médias (Mondadori, Vivendi);
Anne-Marie Fontaine, cofondatrice, Les Imaginations Fertiles;
et Sarah Rousseau, directrice générale, CRESS Occitanie.

« Entreprise à mission », « politique d’engagement », « raison d’être », « responsabilité sociale et environnementale » : aux nouvelles attentes de la société répondent un nouveau vocabulaire et de nouvelles pratiques dans le monde de l’entreprise. 
Les acteurs de l’économie sociale et solidaire (coopératives, mutuelles, associations, fondations), qui représentent entre 7 et 10% du PIB et 10 à 14% de l’emploi en France, revendiquent ces mêmes valeurs depuis plus d’un siècle, inspirent parfois l’économie conventionnelle, à tel point que certains prétendent détenir les clés d’une « alternative » porteuse de solutions économiques, sociales, écologiques.

Quels atouts l’ESS a-t-elle réellement à faire valoir auprès des médias ? Qu’est-ce qui est positif et négatif dans le traitement journalistique dont elle est l’objet ? 
Les acteurs de l’ESS sont-ils suffisamment bons pour formés pour parler aux les journalistes ?
Que faire de mieux ?

Solène Codroc’h, lauréate du Prix Presse Ecrite 2022

Le Prix Presse Ecrite 2022 met la lumière sur les mariages forcés au Kirghizistan

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Solenn Cordroc’h, lauréate du Prix Presse Ecrite 2022

Le « Tour des Reporters d’Espoirs » a fait étape à Bordeaux ces 24, 25 et 26 novembre. A l’occasion de la 12ème édition des Tribunes de la Presse, portant cette année sur « La guerre des identités », l’association est intervenue et y a remis samedi son « Prix Presse Ecrite 2022 »,

Solenn Cordroc’h décrit la réalité de l’ala kachuu

Sélectionné par un Jury de professionnels parmi un large panel de productions journalistiques, le Prix Presse Ecrite mettait cette année à l’honneur les productions réalisées autour de la thématique : « Résistance, résilience ou renaissance dans des situations de conflits ». Cinq reportages ont atteint la finale, issus du Figaro, de SoGood, Le Monde, La Croix et Géo.

C’est finalement Solenn Cordroc’h pour SoGood qui remporta le Prix 2022, pour son brillant reportage « Haro sur les mariées volées », qui dresse un portrait glaçant de la réalité persistante de l’ala kachuu au Kirghizistan, pratique consistant à enlever une femme de force pour la marier. On recense encore aujourd’hui près de 12 000 enlèvements de la sorte chaque année. Illégale depuis 1994, l’ala kachuu (qui signifie « prendre et courir ») puise ses racines à l’époque médiévale dans les steppes d’Asie centrale, et que les experts estiment avoir vu réapparaître au Kirghizistan dès la chute de l’Union Soviétique.

Derrière ce constat tragique, nombreux s’investissent pour défendre les droits des femmes. ONG, avocats, société civile : la résistance se met en place pour mettre fin à cette pratique asservissante.

Retrouvez l’article complet de Solenn Cordroc’h pour SoGood

7 & 8 décembre . Etape du Tour des Reporters d’Espoirs à Marseille

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Mercredi 7 et jeudi 8 décembre, Reporters d’Espoirs se rend à Marseille en compagnie de François Saltiel, journaliste (France Culture, ex-Arte et CulturePub) et auteur (La société du sans-contact et Le vendeur de thé qui changea le monde avec un hashtag, Flammarion).

Au programme

  • Rencontre avec les journalistes de la région – France 3, Marcelle, Made in Marseille, Gomet, La Marseillaise, La Tribune, etc.
    • Journalistes : retrouvons-nous mercredi 7 décembre de 18h à 19h30 au Café de la Banque pour échanger sur la nouvelle revue Reporters d’Espoirs, le journalisme de solutions, vos réalisations, envies et besoins en la matière : merci de confirmer votre venue sur redaction@reportersdespoirs.org
  • Rencontre avec les étudiants de l’EJCAM
  • Tournage de notre prochain MOOC/cours en ligne avec Pauline Amiel, directrice de l’EJCAM – l’école de journalisme de Marseille
  • Rencontre avec des dirigeants d’entreprises de la région, en coopération avec la FrenchTech Aix Marseille et le Top20

 

Lundi 5 décembre . Etape du Tour des Reporters d’Espoirs à Strasbourg

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Lundi 5 décembre, l’équipe de Reporters d’Espoirs, accompagnée de Cyrille Franck, directeur de la formation de CosaVostra, journaliste, expert des mutations médiatiques et numériques, se rend à Strasbourg.

Au programme :

  • Rencontre avec la rédaction des DNA – Dernières Nouvelles d’Alsace
  • Rencontre avec les étudiants du CUEJ – l’école de journalisme de Strasbourg
  • Rencontre avec les acteurs de médias locaux et régionaux.

26 novembre . Reporters d’Espoirs fait étape à « La Traverse » de Bergerac (24)

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Gilles Vanderpooten rencontre ce samedi 26 novembre à 16h les membres de « La Traverse », projet social d’inclusion et de développement humain, économique et culturel en devenir à Bergerac (Dordogne), coordonné par Pierre Meisel – que nous connaissons par ailleurs comme cofondateur de Team Jolokia. Implanté sur le site de l’ancienne Manufacture des tabacs, il promet 4500m2 d’activités, accueil d’entreprises, artistes, espaces de restauration et de création.
L’opportunité d’échanger sur la médiatisation des initiatives territoriales de l’économie sociale et solidaire.

https://latraverse-bergerac.fr

2&3 décembre . Participation aux Entretiens de Royaumont

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Reporters d’Espoirs est conviée aux 19e Entretiens de Royaumont qui se tiennent vendredi 2 et samedi 3 décembre 2022, sur le thème « La Troisième voie ».

« L’époque, alimentée par la succession de crises majeures, nourrit les insatisfactions. Dans ce monde complexe et instable, les solutions globales ne marchent plus. Et le sentiment d’inefficience de l’action renforce l’impopularité.
Chacun cherche dès lors « l’autre possible », la Troisième Voie, celle qui, dans un monde vu comme binaire, apparaît comme la solution parfaite, voire l’échappée belle. Elle est l’espoir de populations en manque de solutions. Elle est celle qui saura unir les attentes. Et rassemblera les énergies.
Mais cet autre possible ne procéderait-il pas d’une relecture du monde plutôt que de céder aux apparentes alternatives ? Un monde ou l’amélioration, l’innovation ne suffit plus ? Un monde où il faut se remettre à imaginer, à inventer et à financer l’invention, et donc à prendre à nouveau des risques ?
Cette ambition est ce à quoi vous invite la 19ème édition des entretiens de Royaumont.
« Faire du Beau », « Partager la Valeur », « Être sobre, et Vivre aussi ! » « l’Expérience », « Humaniser », « Faire Adhérer ». 
Ces six angles de réflexions qui sont autant d’enjeux pour l’Humain amèneront les participants aux XIXèmes Entretiens de Royaumont à regarder autrement les défis qui nous font face, et à engager l’avenir sur une autre voie. La « Troisième Voie ».

Vendredi à 18h30, la conférence « Ils incarnent la troisième voix » accueillera

  • Amélia MATAR, Cofondatrice de Colori
  • Tatiana JAMA Cofondatrice et coprésidente, Sista
  • Gilles VANDERPOOTEN Directeur général, Reporters d’espoirs
  • Anouk LE TERRIER Cofondatrice, Dijo
  • Franck ZAL Président, Hemarina
  • Caroline SÉNÉCLAUZE Présidente fondatrice, Projet Moteur !

Parmi les participants aux conférences et débats de l’événement figurent Hubert Védrine, Aurélie Jean, Yann Arthus-Bertrand, Marie Tabarly, Bertrand Piccard, u encore Danièle Sallenave.

Plus d’informations : www.entretiensroyaumont.org

24-26 novembre : étape du Tour des Reporters d’Espoirs à Bordeaux, 4 rendez-vous au programme

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LE « TOUR DES REPORTERS D’ESPOIRS » FAIT ÉTAPE À BORDEAUX CES 24, 25 ET 26 NOVEMBRE. L’ASSOCIATION INTERVIENT AUX TRIBUNES DE LA PRESSE, A L’IJBA, ET REMETTRA SAMEDI  SON « PRIX REPORTERS D’ESPOIRS DU REPORTAGE 2022 » »

Ce déplacement sera l’occasion pour l’association Reporters d’Espoirs d’animer un atelier sur le journalisme de solutions sur le thème « Récréer de la confiance entre médias et citoyens » à Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine  (IJBA) le 25 novembre.
Le même jour l’équipe de Reporters d’Espoirs rencontrera la rédaction et la direction de Airzen, « 1er groupe de radio à impact en France », 200 salariés, et désormais radio d’information nationale. Mémona Hintermann, administratrice de l’association, animera le 26 novembre une conférence sur le thème “Des journaux inodores, incolores ?”.
Enfin, le Prix presse écrite Reporters d’Espoirs 2022 sera décerné à un journaliste en clôture des Tribunes de la presse. Cet événement, à travers quatre jours de débats, d’ateliers, de rencontres dans quatre lieux de la ville, porte pour sa 12e édition sur « La guerre des identités ». 15 000 participants sont attendus.

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Au programme de l’étape bordelaise du Tour des Reporters d’Espoirs :

« Le journalisme de solutions : récréer de la confiance entre médias et citoyens »

Vendredi 25 novembre de 16h à 17h à l’IJBA.

Mémona Hintermann, journaliste et administratrice de Reporters d’Espoirs, et Gilles Vanderpooten, directeur général.

8 Français sur 10 disent attendre de l’information – jugée trop négative – qu’elle leur fasse connaître des initiatives positives face aux problèmes à résoudre. Pratiqué par un nombre croissant de journalistes partout dans le monde, comment ce journalisme de solutions est-il mis en pratique ? Comment l’appliquer à des enjeux comme le changement climatique ou l’économie, dans un contexte de crises et de quête de sens ?

Reporters d’Espoirs débattra avec notamment les étudiants en journalisme de l’IJBA.

« Des journaux inodores, incolores ? »

Samedi 26 novembre de 11h à 12h au Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine (TNBA)

Animation Mémona Hintermann (Reporters d’Espoirs), avec Nicolas BRIMO , Directeur délégué du Canard Enchaîné, Yves HARTÉ ancien directeur éditorial de Sud-Ouest, Aude LANCELIN, Fondatrice de QG et auteure.

La presse écrite a-t-elle perdu son âme ? À l’inverse des journaux d’avant-guerre, les titres nationaux ne se distingueraient plus vraiment l’un l’autre. Sauf exception, ils baigneraient dans un entre-deux idéologique consensuel qui expliquerait en partie la désaffection dont ils sont victimes. Et le succès d’une presse largement présente sur internet, moins soucieuse d’équilibre et n’hésitant pas à s’engager et à ruer dans les brancards.

Qui sera le ou la journaliste lauréate du Prix Reporters d’Espoirs 2022 ?

Suite à la conférence, et en clôture des Tribunes, sera remis le Prix Reporters d’Espoirs du reportage de presse écrite, sélectionné par un Jury de professionnels parmi un large panel de productions journalistiques. Le thème de cette année : « Résistance, résilience ou renaissance dans des situations de conflits ». Cinq reportages sont en finale, issus du Figaro, de SoGood, Le Monde, La Croix et Géo. Quel sera les journaliste et média lauréats ?

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A propos du Tour des Reporters d’Espoirs : après Bordeaux, Strasbourg et Marseille en décembre.

À l’occasion de ce Tour de France des Reporters d’Espoirs, l’association s’entoure et échange autant avec des journalistes déjà établis qu’avec des jeunes en formation. Ces deux dernières années, les animateurs de l’association ont rencontré et formé durant ce Tour 3000 jeunes et journalistes. L’association fera étape, après ce passage à Bordeaux, à Strasbourg (le 5 décembre) puis à Marseille (les 7 et 8 décembre). Les rédactions et écoles intéressées à accueillir une étape dans leur ville sont invitées à contacter Reporters d’Espoirs.