notre mission

Le journalisme de solutions comme matrice

Reporters d’Espoirs est à l’origine du journalisme de solutions, également appelé journalisme d’impact ou constructif. Depuis 2004, l’association travaille avec les médias à son développement en France, et à l’international avec son réseau de journalistes et d’organisations amies.
En couvrant tant les défis économiques, sociaux, environnementaux que les réponses mises en œuvre pour les résoudre, cette démarche journalistique vise à refléter la complexité du monde, et à diffuser l’envie d’agir.

> En savoir plus sur le journalisme de solutions
> Le livre du journalisme de solutions (juillet 2020, Actes Sud)

Accélérateur de solutions dans les médias

Nous vivons dans une société où l’information est immédiate et mondialisée. L’information, si elle ne montre que les trains qui déraillent, contribue à la propagation de la peur et de l’immobilisme. Mais lorsqu’elle dévoile la face constructive de l’activité humaine, c’est une autre histoire qui commence… Car chaque problème, chaque difficulté, mettent en mouvement des femmes et des hommes qui font face et prennent l’initiative. Leurs actions peuvent être identifiées puis démultipliées à une vaste échelle, à condition que les médias interviennent pour les analyser et les faire connaître.

En repérant et en relayant les initiatives innovantes et constructives dans les domaines économiques, sociaux et environnementaux, les journalistes et les médias favorisent leur essaimage et peuvent diffuser l’envie d’agir au plus grand nombre.

> En savoir plus sur nos actions

Une histoire fondatrice

L’association Reporters d’Espoirs a notamment été inspirée par une expérience vécue par un proche de ses fondateurs. Au cours d’un voyage au Chili dans les années 1980, un jeune diplômé est frappé par l’ampleur des inégalités sociales et l’extrême dénuement dans lequel vit la population résidant dans les bidonvilles de Santiago (Chili). À la lecture d’un article de presse qui présente la « Grameen Bank » créée au Bangladesh en 1976 par Muhamad Yunus, il découvre le mécanisme du microcrédit et décide de le dupliquer sur place. Ainsi naît la banque de microcrédit « Contigo », en 1989. De cette anecdote, l’association tire son hypothèse fondatrice : en essaimant des initiatives constructives, l’information peut démultiplier l’envie d’agir.

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