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Pourquoi nous aimons surtout les mauvaises nouvelles [LaTribune.fr]

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D’où nous vient cette fascination pour les catastrophes et autres mauvaises nouvelles ? Serions-nous tous des voyeurs morbides ? Cette curiosité malsaine est indissociable de la nature humaine. par Joël de Rosnay. (Extraits. Article complet à retrouver sur le site de La Tribune)

Joël de Rosnay est un scientifique, prospectiviste, conférencier et écrivain français. Il est membre du comité de soutien de Reporters d’Espoirs.

Les médias sont régulièrement accusés d’abreuver les masses de nouvelles dramatiques. Mais si nous n’étions pas des consommateurs avides des informations qui font peur, ils cesseraient de les diffuser, au lieu de pratiquer cette surenchère permanente. D’où nous vient cette fascination pour les catastrophes et autres mauvaises nouvelles ? Serions-nous tous des voyeurs morbides ? Cette curiosité malsaine, est pourtant indissociable de la nature humaine.

[…]

Force est de constater que les commentaires critiques et négatifs sont plus vite relayés par les journalistes et les personnalités politiques que les avis, décisions ou commentaires positifs. Il se crée une sorte de cercle vicieux et un malaise sociétal, notamment lorsque ce sont les « trolls », les extrémistes et les « haters » qui polluent les réseaux. Comment se libérer d’une telle situation et de ses cercles vicieux ?

[…]

La pensée positive, ce n’est pas le déni de réalité, ni l’exagération des faits positifs. C’est une mise en perspective des informations, qui permet de rétablir l’équilibre entre perception et réalité, entre faits négatifs et positifs.[…] Plutôt que de s’enfermer entre optimisme ou pessimisme, il faut avoir l’audace de la pensée positive afin de donner envie de construire ensemble l’avenir et motiver les jeunes à retrouver l’enthousiasme de la création et du partage.

> Lire l’article complet sur le site de La Tribune

L'édito de Serge Tisseron : « Contre la fatigue d'impuissance »

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Ce lundi 13 octobre s’est tenu au Palais d’Iéna le 5e prix « Reporters d’Espoirs ». Plusieurs distinctions ont été remises à des journalistes dont les interventions peuvent donner envie d’agir. En même temps, cette rencontre a été l’occasion d’annoncer le lancement du Solution MédiaLab, un outil destiné à étudier l’impact des médias sur notre sentiment de pouvoir agir, ou non, sur les événements. Au-delà des contenus, qui peuvent amener par exemple un journaliste a préférer l’image d’un bombardement spectaculaire à celle d’un convoi alimentaire, l’information est en effet aujourd’hui inséparable des technologies numériques qui en modifient profondément la réception, en suscitant trois formes de confusion sans équivalent par le passé.

Une triple confusionLa première de ces confusions est temporelle. Traditionnellement l’information nous arrivait quand nous décidions de lire notre journal ou d’allumer la radio ou la télévision. Mais aujourd’hui, avec les écrans partout présents, l’information nous arrive en tout lieu et à tout moment sans que nous puissions nous y préparer. Nous devenons les otages de l’info.

La seconde confusion provoquée par l’information est spatiale. Traditionnellement, les images des catastrophes étaient saisies par des journalistes qui arrivaient sur place en même temps que les pompiers et les sauveteurs. Nous étions invités à découvrir ensemble la souffrance et la solidarité. Mais aujourd’hui, les images que nous voyons ont très souvent été filmées au téléphone mobile par les protagonistes même du drame. Nous ne sommes plus devant l’action, mais dans l’action.

Enfin, la façon dont l’information nous arrive aujourd’hui provoque une confusion d’intimité. Alors que le travail traditionnel des journalistes relevait d’un regard sur des événements publics, l’utilisation des smartphones et des réseaux sociaux nous plonge dans l’intimité des victimes, et parfois dans celle des agresseurs. Leur intimité fait irruption dans la nôtre.
Ces trois confusions provoquent chez beaucoup d’entre nous une souffrance psychique que je propose d’appeler la fatigue d’impuissance.

Lire la suite sur Le Huffington Post

Le "journalisme d'impact", ou comment donner envie d'agir [L'Express]

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Confrontés à une manière d’informer qui risque de devenir contreproductive à force d’être anxiogène, les journalistes peuvent aussi donner envie d’agir. L’association Reporters d’Espoirs défend cette approche. Témoignages.
Par Hugo Chabeur et Gilles Vanderpooten, journalistes à Reporters d’Espoirs, publié le 12/12/2013.

Accidents, échecs, crimes sont les invités privilégiés des journaux d’actualités. Aujourd’hui, des informations sans tragique ni sensationnel sont-elles encore des « news« ? Le journalisme peut-il se contenter de traduire la morosité ambiante? La profession est en général dubitative quant au traitement du côté positif du monde. Mais, sans tomber dans le travers inverse qui consisterait à ne communiquer que de bonnes nouvelles, elle peut mettre en lumière les femmes et les hommes qui prennent l’initiative face aux difficultés et qui obtiennent des résultats.
C’est ce à quoi oeuvre l’association française Reporters d’Espoirs, depuis près de dix ans, en France, avec des confrères toujours plus nombreux au-delà des frontières. Pour un constat partagé: aux journalistes qui sont le miroir de la société de se faire aussi les relais de cette part de la réalité, en portant chacun dans leur média une vision plus équilibrée du métier de l’information. […]

L'exploratrice et écrivain Jéromine Pasteur soutient Reporters d'Espoirs !

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 Depuis plus de vingt-cinq ans, Jéromine Pasteur navigue d’un océan à l’autre et retourne régulièrement au cœur de la forêt péruvienne auprès d’un clan d’Indiens Asháninkas, sa « seconde famille ».

En 1987, elle reçoit le prix Paul-Émile Victor de l’Aventure.

Puis elle repart en Amazonie asháninka pour écrire son premier livre, Chaveta, qui connaît un immense succès.

L’année suivante, elle est élue « Homme de l’année » par les Jeunes chambres économiques de France, pour « son action bénévole et philanthropique, sa passion constructive et son respectueux amour de la nature ».

Elle mène une lutte de chaque instant pour la défense de la Terre, reçoit un prix littéraire, se trouve désignée marraine des arbres par TF1…

Depuis une chaire de la Sorbonne, elle lance un appel officiel, lors d’une réunion sur l’environnement à laquelle elle a été priée : « L’appauvrissement de notre Terre aujourd’hui, c’est l’étiolement de tous les hommes de demain. Nous devons penser autrement l’exploitation des richesses de notre planète car elles ne sont pas inépuisables. Si nous ne le faisons pas maintenant, bientôt notre Mère nourricière n’aura plus assez de lait pour rassasier ses enfants et il coulera alors plus de larmes qu’il n’y a d’eau dans les fleuves de la Grande Forêt… »

En 2004, Jéromine crée l’association Chaveta pour venir en aide aux Indiens Asháninkas.

Depuis 2007, elle anime l’émission Biotiful pla­nète diffusée sur France 5 et Planète. Six émissions ont été réalisées à ce jour.

Jéromine partage de la même façon sa vie entre la mer et le secret de sa forêt indienne où elle soutient le clan de ses amis asháninkas. À chacun de ses passages en France, inlassablement, elle revient avec un même leitmotiv : témoigner de ce qu’elle a vu.

Jéromine Pasteur rejoint le comité de soutiens de Reporters d’Espoirs en août 2013.

L'édito d'Isabelle Hennebelle, rédactrice en chef à L'Express

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Par Isabelle Hennebelle, Journaliste à L’Express, rédactrice en chef du hors série « Ces métiers qui changent le monde. Concilier carrière et sens ».

Sur fond de crise économique, jamais époque n’a été plus propice pour rêver à de nouveaux paradigmes. Mus par une profonde quête de sens, salariés, cadres dirigeants, entrepreneurs, étudiants cherchent comment concilier carrière et engagement. Et contribuer à bâtir un monde plus juste, sans utopie, mais avec pragmatisme.

Cultiver une double vision conciliant performance économique et impact social ne relève plus du discours anecdotique. Un mouvement de fond sociétal est à l’œuvre. Aiguillon majeur pour porter le changement, le secteur de l’économie sociale et solidaire opère progressivement sa mue. L’entrepreneur social figure depuis peu à l’agenda de la Commission européenne. Dans l’économie classique, les initiatives se multiplient pour vendre, acheter, transporter, épargner… autrement. Des métiers « hybrides » comme financier solidaire ou acheteur durable se développent. Au cœur du CAC 40, des pionniers s’initient au Social Business. Quant aux organisations non gouvernementales (ONG), certaines apprennent à s’ouvrir et à travailler avec les entreprises. L’heure est aux nouvelles alliances. Jamais des évènements rassemblant grandes entreprises, entrepreneurs sociaux, ONG n’ont été aussi nombreux.

Les médias ont indéniablement un rôle à jouer pour faire connaître ces multiples initiatives qui contribuent à changer le monde. Certains parlent d’ « impact journalism », d’autres de « journalisme de solution ». Quel que soit le terme, relayer les pratiques de terrain alliant performance économique et impact social relève du devoir du journaliste responsable… du Reporter d’espoirs.

 

« Relayer les pratiques de terrain alliant performance économique et impact social relève du devoir du journaliste responsable… du Reporter d’espoirs. »

L'édito de Thierry Saussez, octobre 2012

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« Le système médiatique est anxiogène, le choix de l’angle est le plus souvent négatif, le monde qu’il nous montre (à l’instar du journal télévisé) est sombre, effrayant, terrorisant même parfois.

Dans un univers de plus en plus concurrentiel, il faut parler le premier, chercher le scoop, donner la priorité au sensationnel, à l’image qui frappe. Mais c’est nous qui faisons l’audience, notre penchant pour la morbidité, notre attirance pour le spectaculaire, notre goût pour l’affreux.

Plus le monde qui nous entoure est négatif, plus nous noircissons notre environnement, plus nos performances personnelles sont valorisées et le bonheur individuel amplifié dans la sphère de proximité.

Il existe pourtant une véritable attente de contrechamp et certaines initiatives le prouvent. On peut équilibrer, chercher l’angle positif, valoriser davantage les multiples initiatives, avancées et progrès. Alors que le négatif est toujours spectaculaire pour faire de l’image on peut mettre en scène le positif et le rendre du coup moins ennuyeux et plus attrayant.

C’est pour cette raison que je partage l’objectif de Reporters d’Espoirs, d’une information constructive qui donne envie d’agir. »

Thierry Saussez, pour Reporters d’Espoirs, octobre 2012.

L’édito de Lucie MONTCHOVI, Initiative France Info

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Lucie Montchovi est journaliste-présentatrice de la chronique « Initiative » sur France Info, du lundi au vendredi à 6h20 et 11h20. Elle a reçu le Prix Reporters d’Espoirs 2012 dans la catégorie « radio ».

Arrêtons-nous un instant… pour contempler l’information. Elle est partout… S’écoute, se lit, et se regarde à tout moment de la journée. Certains la trouvent trop anxiogène, d’autres trop brutale, et pourtant elle continue à nous interpeller et nous donne parfois l’envie d’agir… C’est certainement dans ces moments précis, en ces temps de crise, que naissent l’espoir, des idées nouvelles et des histoires heureuses.

Aujourd’hui j’ai l’opportunité de faire découvrir aux auditeurs de France Info cette facette de l’information à travers le programme «  Initiative France info ».

Dans l’économie, l’écologie, la culture, la santé aux quatre coins de la France, des anonymes réinventent le monde. Des parcours singuliers que l’on peut aujourd’hui qualifier de

« Nouvel engagement du XXIème ».  Il est temps que l’on s’y intéresse de plus près.

Si les problèmes existent il y a, aussi, des solutions. Alors changeons de prisme et engageons-nous vers une nouvelle ère de l’information encore plus constructive !

Lucie Montchovi

L'édito de Sophie Jovillard, Ambassadrice de Reporters d’Espoirs

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Sophie Jovillard est Ambassadrice de Reporters d’Espoirs. Elle anime depuis 2006 l’émission Echappées Belles sur France 5.

« J’ai beaucoup de chance de travailler pour une chaine comme France 5 qui a décidé de mettre en prime time un samedi soir un programme de voyage et de découverte, Echappées Belles. Mon objectif et celui de mon équipe est d’en apprendre un peu plus sur les autres, et à travers eux, sur les pays que nous découvrons. A l’autre bout du monde comme en bas de chez soi, de la Corse aux Etats-Unis en passant par le Kenya ou la Mongolie, nous voulons permettre aux gens de s’évader, de découvrir des paysages magnifiques, de rencontrer d’autres cultures. Je suis fière que l’on puisse ainsi parler de valeurs positives et constructives, en ces temps de crise où les sujets anxiogènes font la Une de l’actualité. J’ai le sentiment que les gens sont en attente d’autre chose ! C’est pour cela que je suis très heureuse de penser que chaque samedi soir, jusqu’à un million et demi de téléspectateurs voyagent par procuration et partagent avec nous de petites tranches de bonheur. »

Retrouvez Sophie Jovillard sur France 5 dans « Echappées Belles » le samedi à 20h35 et le dimanche à 10h25.

 

Propos recueillis par Gilles Vanderpooten, Reporters d’Espoirs, juillet 2012.

"Ayez confiance dans vos intuitions et engagez-vous", l'édito de Jean Viard, sociologue

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L’édito de Jean Viard, Sociologue, Directeur de recherche CNRS à Sciences-Po et éditeur

 » Sur une terre où l’espérance de vie est passée en un demi-siècle de 48 à 68 ans, dans un pays où la durée de vie a cru de 40 % depuis 1900 et où nous gagnons encore trois heures de vie par jour, tout ne va pas si mal !
Et il est toujours curieux que ces bons indicateurs, absolument essentiels pour marquer le succès global de politiques publiques et des innovations scientifiques et technologiques, soient laissés de côté comme enjeux secondaires. Pire, on ne parle que des problèmes de financement des retraites ou des maladies des personnes très âgées! A désirer presque mourir jeune…

Certes, le but de la vie ce n’est pas seulement de rester vivant, et chacun connaît les malheurs de notre monde. Mais au-delà de cette part noire considérable, des inquiétudes sur le futur, ne pas savoir voir l’œuvre accomplie est une manière de ne pas savoir dire merci à ceux qui ont lutté, cherché, inventé, pacifié le monde dont ils avaient hérité. Or ne pas savoir dire merci, rend l’engagement impossible car tout paraît sans horizon ni effets.

Beaucoup des problèmes du présent viennent non pas du fait que les générations précédentes aient échoué mais du fait qu’elles aient réussi. Vies longues par réduction de la part du travail, progrès de la médecine et de la solidarité, automatisation des efforts… tout cela nous a fait atteindre les projets des générations passées.
Nous avons construit un modèle social incroyable. Certes, sans cesse à renouveler et démocratiser davantage, mais actif et efficace pour l’essentiel.

Toutefois quand on atteint son objectif… il faut savoir en évaluer les conséquences, puis en inventer un autre. C’est là où notre présent est pauvre. Car comment penser ensemble démocratie, réchauffement climatique, croissance démographique, nouveau rapport à la nature, renouvellement de la place des femmes, réunification de l’Humanité, gestion politique d’une Terre unique… Nous savons peu nous engager dans cette nouvelle bataille des idées et des projets et n’en saisissons souvent qu’un fragment. Alors que nous avons besoin d’utopie, de créatif, d’écoute, d’espérance, de débats d’idée.

Et pour conclure rendons hommage à Hubert Nyssen qui vient de nous quitter. Le premier en France, en 1978 seulement, il a cru que l’on pouvait éditer des écrivains du monde entier de sa bergerie près d’Arles. Il s’est fait éditeur, distribuant son premier livre édité avec sa Peugeot break. Aujourd’hui, l’entreprise (NDLR : Actes Sud) qu’il laisse publie un livre par jour et des dizaines d’autres maisons ont fleuri loin de Paris. Comme lui, ayez confiance dans vos intuitions et engagez-vous. »

 

Edito paru dans la Lettre d’information Reporters d’Espoirs, novembre 2011.

« Engageons-nous ! », l'édito de Gilles Vanderpooten

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« Engageons-nous ! »

L’Edito de Gilles Vanderpooten, Directeur de la Rédaction de Reporters d’Espoirs, co-auteur avec Stéphane Hessel d’Engagez-vous ! aux éditions de l’Aube.

 

Le mouvement des indignés que nous voyons se développer partout dans le monde – jusque devant Wall Street ! – témoigne de l’aspiration des citoyens à une société plus solidaire et plus humaine. Savoir dire « non » face à l’inacceptable est certes nécessaire, mais nous devons, aussi, être en mesure de dire « oui » ! De nous enthousiasmer pour des projets, des innovations, des actions constructives.

Le changement est réel et il est en cours. En témoigne la multitude d’initiatives qui émergent partout, dans les villes et dans les campagnes, à l’initiative d’entreprises, de collectivités, d’associations, d’individus. De l’économie sociale à la finance solidaire, de l’agriculture à la recherche, de l’éco-habitat aux énergies renouvelables, de la responsabilité sociétale à la bienveillance au travail, des nouveaux indicateurs de richesse aux nouvelles solidarités, partout des solutions à la crise et des voies nouvelles émergent, s’affirment, s’amplifient.

Nous avons là des raisons de nous réjouir, et de vouloir innover, expérimenter, conduire la mutation écologique, économique et sociale. Il y a dans l’indignation une formidable énergie à canaliser dans l’action et la coopération. Alors n’attendons pas : Engageons- nous ! comme nous y invite Stéphane Hessel. Notre avenir est entre nos mains et chacun peut et doit agir.
Dans ce contexte, Reporters d’Espoirs, fort d’une équipe renouvelée que je suis ravi de rejoindre, de nombreux projets – dont le Prix Reporters d’Espoirs qui sera remis le 26 mars 2012 – et à l’occasion de son installation au Conseil économique social et environnemental, affirme et renforce sa mission.
Plus que jamais, il nous faut promouvoir des informations et des contenus porteurs de solutions, main dans la main avec les médias, les citoyens et les acteurs du changement, pour donner envie d’agir au plus grand nombre.    

 

Edito paru dans la Lettre d’information Reporters d’Espoirs, Octobre 2011.