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mai 2011

La fête des solidarités locales le 4 Juin à Paris !

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

La fête des solidarités locales débarque à Paris, place Stalingrad, de 12h à 18h !

Au programme ? Concert gratuit, village associatif, Hip-Hop, danse, une scène ouverte, un repas de quartier ouvert, bref c’est la fête dans vos coeurs. Rendez-vous donc au métro Jaurés ou Stalingrad.

En gros, c’est simple, le 4 juin, sortez vos crayons quatre couleurs et notez d’une croix rouge cette date. le tout pour une jeunesse sans frontière.

Pour en savoir plus, le site de la fête des solidarités

Eco-habitat, l'urbanisme du futur

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Construire la maison voire le quartier de demain, édifier les enjeux de l’éco-construction : le 43ème « Alter-Mardi : Parlons Solutions» a fait la part belle aux bâtisseurs d’un monde plus sein et durable. Alors que les logements font défaut à mesure que la population augmente, que la qualité du bâti s’altère malgré un contexte d’urgence écologique, miser sur un habitat bioclimatique basse énergie composé de matériaux nobles devient un enjeu incontournable. Après l’inspirante projection de l’épisode 3 du cycle « Artisans du changement » intitulé « Eco-habitat : l’urbanisme du futur », Fabrice Blais et Régis Faguelin ont démontré que l’habitat à énergie propre est une urgence à la portée de tous. Animée par Thomas Philippon, coordonnateur d’Ekopolis, cette table ronde a révélé une forte mobilisation des citoyens, soucieux d’améliorer leur cadre de vie.

Comment se procurer de l’électricité à 2 ou 3 000 mètres d’altitude? Que faire de ses poubelles et comment retraiter les eaux usées ? Autant de questions auxquelles Fabrice André a répondu en construisant le refuge de Sarenne. Le premier « artisan du changement » présenté dans le documentaire, a imaginé des solutions pragmatiques en créant un laboratoire grandeur nature de la maison de demain. Four solaire, éoliennes à axe vertical, système original de retraitement des eaux, microcentrale hydro électrique… Ces différentes sources d’énergies renouvelables se marient à merveille en fonction de la météo et des apports. Le défi de ne produire aucun déchet semble lui aussi relevé grâce à une mini station d’épuration, ainsi qu’une chaudière à cogénération : d’un côté elle fabrique de l’eau chaude sanitaire et de l’autre de l’électricité. Quant à Rolf Disch, ses innovations se mesurent à l’échelle d’un quartier. « Energie plus », dans la ville de Fribourg-en-Brisgau, devient la première expérience au monde d’un quartier qui produit plus qu’il ne consomme. Près de 800 personnes vivent dans ces immeubles colorés en bois de la forêt Noire, qui ont la particularité de dégager un surplus moyen de 36 kilowatt/heure par mètre carré. Un immense progrès par rapport à une maison passive qui en consomme 15 pour le chauffage et aussi pour l’eau chaude. Enfin, l’exemple de Curitiba, au sud du Brésil, prouve qu’une métropole de plus de 2 millions d’habitants peut devenir le symbole d’une cité verte. Un paradoxe dans un pays en développement où la plupart des grandes villes subissent 3 fléaux : surpopulation, pauvreté et pollution record. Jaime Lerner a su concrétiser un rêve collectif : participation citoyenne dans la gestion des espaces verts, programme d’éducation pour la gestion des déchets, système de troc des détritus contre des fruits et légumes et invention du métro bus dont la capacité de transport hebdomadaire dépasse les 12 400 000 passagers.

L’éco exemplarité de nos maisons, de nos quartiers et de nos villes semble loin d’être à notre portée ? L’action de Fabrice Blais, qui développe à Sénart (Seine-et-Marne) un concept de co-construction d’habitat groupé écologique à très haute performance et à coût modéré, tend à nous prouver le contraire. En restaurant l’esprit de coopération présent au coeur de nos villages d’antan, le lauréat CréaRîF 2010 pallie au besoin criant de logement et au coût de l’accès à la propriété, devenu insurmontable pour de nombreux ménages. Mettre en commun des biens, des équipements et des compétences dans le but de créer un habitat écologique et chaleureux est désormais possible grâce à la promotion et au développement de l’auto construction accompagnée. En échange d’un prix du mètre carré faible, les familles, encadrées par différents corps de métiers de la construction, participent au chantier. L’accessibilité et la durabilité restent au coeur de la démarche de Fabrice Blais: « Quand nous élaborons un projet immobilier, nous essayons de respecter les critères écologiques dont celui de l’abordabilité, qui comprend le coût du producteur, de l’artisan qui pose les matériaux, des futurs acheteurs, mais aussi le coût pour les générations futures ». Le prix à payer ? 1850 euros TTC par mètre carré (construction + foncier). Aussi, pourquoi ne pas analyser le cycle de vie de chaque matériau ? De l’extraction des matières premières, jusqu’à sa fin de vie (recyclage, réutilisation ou valorisation), en passant par son utilisation, cet indicateur pèserait dans la balance, en permettant d’inscrire notre bâti dans la durée et le respect de l’environnement. Economies garanties !

Quant à Régis Faguelin, il propose à quiconque souhaite vivre d’un savoir-faire, de créer progressivement son propre emploi salarié au sein d’une entreprise coopérative qu’il partage avec d’autres entrepreneurs, et dont il peut devenir l’associé. Alternative à l’entreprise classique, sa société coopérative et participative permet de tester, développer et pérenniser une activité économique, en sécurisant sa démarche, et en bénéficiant d’un accompagnement dans la durée. Propice au développement local et à l’innovation sociale, Alter-Bâtir réalise un chiffre d’affaire de 750 000 euros. Sa vision de l’éco-habitat? « L’éco-habitat fait référence à l’écologie, mais également à la santé. C’est très important, alors que la pollution de l’air intérieur reste la grande responsable de nombreux cancers ».

De l’avis de nos invités, l’habitat de demain passera par une prise de conscience et une volonté de construire ensemble un cadre de vie harmonieux.

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Les Fondations Schneider Electric et Vinci pour la cité reçoivent l’Oscar ADMICAL du Mécénat d’entreprise 2011

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

L’Oscar ADMICAL du Mécénat d’entreprise 2011 a été remis le lundi 9 mai 2011 à la Fondation Schneider Electric et à la Fondation Vinci pour la Cité, à l’occasion des 20èmes Assises Internationales du Mécénat qui se déroulaient à Marseille les 9 et 10 mai 2011.

Les Oscars ADMICAL

Depuis plus de trente ans, ADMICAL organise les Oscars du mécénat d’entreprise, qui récompensent des entreprises françaises ou implantées en France pour leur politique de mécénat originale et exemplaire en faveur de tous les domaines de l’intérêt général : social, éducation, santé, culture, sport, environnement, recherche, solidarité internationale… Le jury, indépendant d’ADMICAL, est composé de personnalités qualifiées issues des mondes de l’entreprise, de l’intérêt général, de l’univers des médias et de la communication.

«Nous sommes très heureux de recevoir ce prix.» précise Gilles Vermot Desroches, directeur développement durable de Schneider Electric et délégué général de la Fondation Schneider Electric. « Il met à l’honneur les actions que nous développons. Il nous donne également l’occasion d’affirmer notre vision particulière du mécénat, sa forte inclusion dans l’entreprise, à travers l’engagement des délégués de la Fondation et des collaborateurs de Schneider Electric, mais aussi sa contribution directe et originale au programme d’accès à l’énergie BipBop.»

En 2003, la Fondation Schneider Electric recevait déjà l’Oscar ADMICAL du Mécénat d’entreprise.

Pour en savoir plus

Ouverture d'un bureau de Human Rights Watch en Tunisie

By Non classé2 Comments

Human Rights Watch souhaite accompagner la transition démocratique en Tunisie

Par Eric Goldstein, Directeur de recherche adjoint de la division Moyen-Orient / Afrique du Nord

Le 14 janvier 2011, de simples citoyens tunisiens ont accompli l’impensable. Des manifestants appartenant à tous les milieux sociaux ont réussi à renverser le régime répressif du président Zine el-Abidine Ben Ali. Avec la mise en place d’un gouvernement provisoire et la promesse d’élections dans les six mois, d’extraordinaires possibilités se présentent pour la promotion des droits humains en Tunisie, ainsi que dans tout le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord. Saisir ces opportunités ne sera pas facile. Si les Tunisiens veulent réussir à remplacer la dictature par un gouvernement démocratique, respectueux des droits humains, ils devront fournir un effort énorme dans les mois et les années à venir. Ils devront exercer une pression constante sur les gouvernements de transition et à venir pour qu’ils construisent des institutions démocratiques, qu’ils promulguent des normes progressistes et garantissent la justice pour les exactions commises sous le régime de Ben Ali.

Human Rights Watch a l’intention d’ouvrir un bureau à Tunis de façon à pouvoir jouer un rôle clé dans la promotion d’un agenda des droits humains pendant la période de transition en Tunisie.

Depuis presque vingt ans, même avec très peu de ressources, nous avons observé la situation des droits humains en Tunisie et avons donné l’alerte au niveau international sur les violations les plus flagrantes. Nous nous sommes concentrés sur les condamnations de dissidents, tant islamistes que laïques, la fermeture de l’espace disponible pour le militantisme politique et en faveur des droits humains, la torture et l’absence d’un pouvoir judiciaire indépendant.

Au cours de la récente révolution, nous avions deux chercheurs sur le terrain en Tunisie, enquêtant sur l’usage excessif de la force par le régime à l’encontre des manifestants et nous avons tenu une conférence de presse à Tunis exposant nos conclusions. Deux semaines après la fuite de Ben Ali, nous avons été autorisés par le gouvernement de transition à nous rendre dans les prisons tunisiennes pour la première fois depuis vingt ans.

Au fil des ans, nous avons su nous montrer solidaires des Tunisiens. Nous étions à leur écoute et les avons aidés à trnasmettre leur message aux décideurs et aux journalistes au niveau international. Demain, le rôle de Human Rights Watch sera d’accompagner la transition démocratique.

L’enjeu est grand, non seulement pour la Tunisie mais aussi pour l’ensemble de la région: la construction d’une Tunisie qui accomplirait progressivement sa transition démocratique et constituerait un véritable levier pour faire évoluer les autres régimes autoritaires de la région.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de Human Rights Watch

"Ils veulent sortir des clichés de la rue" (24 mai 2011)

By Revue de presseNo Comments

24 mai 2011 07h58 | Par RAPHAËL BURGOS
La Rochelle

Ils veulent sortir des clichés de la rue

Des SDF de la ville font, eux-mêmes, des photos de leur environnement. Ils pourront les exposer au Carré Amelot et certaines seront publiées dans « Sud Ouest ».

A La Rochelle (17), des SDF ont choisi de photographier leur environnement.

«C’est formidable, on nous donne la possibilité de nous exprimer, de travailler en équipe, de s’approprier un projet. On perçoit la vie et la ville autrement. » Accueillis par l’association L’Escale, Frank, Lucien, Frédérique, Mathieu et Dominique sont les passagers de cette démarche photographique intitulée La Rue sur les murs.

Au final, une exposition associera des personnes sans domicile fixe et une photographe professionnelle. À l’origine de cette initiative mêlant social et démarche artistique, Maud Torrent encadre, au sein de L’Escale, depuis l’hiver dernier, des sorties de groupe pour des prises de vues dans La Rochelle et ses proches alentours.

« Maud est venu toquer à la porte, en quelque sorte, en nous demandant si on était intéressé pour continuer l’expérience au printemps. Personne ne nous a forcés », explique Lucien. Avec sa compagne Frédérique, ils vivent à nouveau dans un logement dont ils payent une partie du loyer grâce aux démarches du centre d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS).

« Se retrouver autour d’une table pour choisir les photos que l’on va présenter, c’est ce que je préfère. Nous ne sommes pas d’accord, chacun est différent mais on échange, on travaille sur quelque chose de concret », détaille Frédérique. Lire la suite de l’article sur le site de Sud Ouest

« Ils inventent le supermarché des malvoyants » (23 mai 2011)

By Revue de presseNo Comments

2 millions de personnes et 30% des plus de 75 ans souffrent de troubles de la vision. Pour eux tous, la vie quotidienne est compliquée. L’institut de la vision et l’enseigne Casino travaillent actuellement à l’adaptation des magasins aux problèmes de vue. Et ils trouvent des solutions : meilleurs éclairages, travail sur le packaging, plans téléchargeables pour préparer l’itinéraire jusqu’au rayon souhaité… Objectif annoncé : ouverture d’un magasin utilisant ces innovations en 2012 dans le douzième arrondissement de Paris.

Article paru dans le Journal de Paris (supplément du Parisien à Paris)

Actualité > Paris

Ils inventent le supermarché des malvoyants

L’Institut de la vision et l’enseigne Casino veulent adapter les magasins aux problèmes de vue. Un test grandeur nature est déjà prévu dans le XIIe arrondissement.

SÉBASTIEN RAMNOUX | Publié le 23.05.2011, 07h00

Des rayonnages, des produits alignés sagement sur les présentoirs : a priori, rien ne distingue ce petit espace de vente d’une supérette classique. Sauf qu’ici, rue Moreau (XIIe), au cœur de l’Institut de la vision, vous êtes dans un laboratoire. Créé à l’initiative de l’enseigne de grande distribution Casino, ce magasin expérimental utilise les ressources du prestigieux institut pour adapter le commerce aux malvoyants.

« Nous voulons rendre le commerce accessible à tous, aussi bien physiquement que dans les services (e-commerce, livraison…), explique Thibault de Pompery, directeur de création à Casino. Le partenariat avec l’Institut de la vision est formidable : nous pouvons tester en temps réel, plusieurs fois par mois, nos innovations avec des personnes malvoyantes suivies ici. » Et les premiers enseignements commencent à être tirés : meilleur éclairage, sans éblouissement, facilitant la lecture des détails, travail sur le packaging, priorité numéro un pour les malvoyants. Sur les rayons, les nouveaux paquets avant/après parlent d’eux-mêmes : moins de couleurs, les informations principales sont mises en avant, les caractères sont toujours les mêmes… Lire la suite de l’article sur le site du Parisien.

"Les bibliothèques universitaires font nocturne" (20 mai 2011)

By Revue de presseNo Comments

42 bibliothèques universitaires sont labellisées NoctamBU par le Ministère de l’Enseignement Supérieur pour 2010-2011. Elles ouvrent au moins 65 heures par semaine. La nouvelle BU Nantaise affiche la plus forte amplitude horaire avec plus de 104 heures par semaine. Une belle initiative pour les étudiants dont les chambres souvent petites ne permettent parfois pas de travailler à l’aise.

Article par dans 20 minutes :

Société

Les Bibliothèques universitaires font nocturne

Créé le 20/05/2011 à 04h25 — Mis à jour le 20/05/2011 à 04h25

EXCLUSIF « 20 Minutes » dévoile la nouvelle liste des BU qui ont des horaires plus étendus

Réviser un partiel la nuit à la bibliothèque universitaire (BU). Impossible, il y a encore quelques années, mais plus aujourd’hui. Selon nos informations, 42 BU implantées dans 28 universités différentes et offrant au moins 100 places assises ont été labellisés NoctamBU pour 2010-2011.
Une distinction qui signifie qu’elles ouvrent au moins 65 heures par semaine. « Elles sont donc accessibles une dizaine d’heures par jour, bien souvent le samedi aussi et lors des vacances de Pâques », explique-t-on au ministère. Une manière de se conformer au standard européen et de fournir de bonnes conditions de travail aux étudiants qui habitent bien souvent dans des logements exigus. Lire la suite de l’article sur 20minutes.fr

Justice, solutions pour une indépendance restaurée

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Le quinquennat en cours a été marqué par de vives tensions entre le pouvoir exécutif et les magistrats, qui se sont souvent mobilisés contre les réformes engagées par le gouvernement, parfois vécues comme des atteintes à leur indépendance : le projet de suppression du juge d’instruction, la réforme de la carte judiciaire, l’introduction des jurés populaires dans les tribunaux correctionnels…

A quelques mois de l’élection présidentielle, la fondation Terra Nova rend public son rapport « La justice, un pouvoir de la démocratie » qui plaide pour une rupture fondamentale et propose une série de mesures pour faire de la justice le vrai troisième pouvoir de notre démocratie. Venez découvrir, échanger et débattre de ces propositions jeudi 26 mai, à l’occasion du 44ème « Alter mardi: parlons solutions ».

Comment garantir l’indépendance du système judiciaire face au pouvoir exécutif ? Comment associer les citoyens à l’exercice de la justice ? Comment replacer le juge au cœur du jeu démocratique ? En publiant son rapport « La Justice, un pouvoir de la démocratie », Terra Nova a souhaité contribuer au débat public en appelant à une réforme globale du système judiciaire pour faire de la justice un véritable moteur de la vie démocratique française. Elle propose une série de réformes constitutionnelles majeures : la création d’un Conseil supérieur de la justice indépendant, un Procureur général de la République dirigeant l’action publique, la transformation du Conseil constitutionnel en vraie Cour constitutionnelle. Elle suggère d’asseoir la légitimité du pouvoir judiciaire sur des nominations parlementaires transpartisanes, de rapprocher la justice des citoyens à travers l’échevinage et de garantir la pleine responsabilité des magistrats – sanction, prévention, transparence.

Terra Nova, le Groupe SOS et Ashoka vous proposent de venir échanger autour de ces solutions concrètes, en présence des deux co-auteurs du rapport : Daniel Ludet, magistrat et Dominique Rousseau, professeur de droit constitutionnel à l’Université Paris 1.

Rendez-vous : jeudi 26 Mai de 19h00 à 20h30
au Comptoir général 80 quai de Jemmapes 75010 Paris
M°République/Jacques Bonsergent

Inscription gratuite mais obligatoire en cliquant ici

la Fête des AMAP 2011

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Le Réseau des AMAP d’Île-de-France a le plaisir de vous informer que la Fête des AMAP 2011 approche à grand pas.

Vous êtes les bienvenuEs :

dimanche 22 mai prochain
de 10h jusqu’en soirée
sur et aux abords de la Péniche Antipode (amarrée au 55 quai de Seine, Paris 19ème)

Pour tout savoir sur cet évènement festif annuel (infos pratiques, programme des tables-rondes, partenaires du village associatif, programme musical), vous pouvez consulter le Dossier de Presse complet en ligne.

Et bien sûr, vous pouvez diffuser largement cette information et ce document – ou simplement relayer l’affiche de l’évènement ainsi que le programme.

L’équipe reste à votre disposition pour toute information complémentaire, et vous attend au bord de l’eau le 22 mai prochain !

Toutes les infos sur amap-idf.org

"Condom, la nouvelle étape du tourisme solidaire" (19 mai 2011)

By Revue de presseOne Comment

Des maisons de retraite, des centre d’accueil pour « marginaux » ou handicapés, des résidences pour touristes, des gîtes d’étapes pour randonneurs, il y en a des tas. Mais l’ancien Carmel de Condom, c’est un peu tout cela ensemble, et ça change tout ! S’il propose un cadre magnifique pour passer ses vacances, c’est avant tout un espace de solidarité où chacun est accueilli tel qu’il est, allocataire du RSA, retraité, pèlerin de Compostelle ou famille en vacances… Tout cela ensemble compose un lieu hors du commun à découvrir d’urgence !

Article par sur Youphil.com

Condom, la nouvelle étape du tourisme solidaire

Rédaction | Julie Schneider | 19/05/2011

Transformé en gîte solidaire, l’ancien carmel de Condom accueille des touristes de tous les horizons.

Tatouages sur les bras, les yeux couleur ciel, David, ancien braqueur reconverti en maître d’hôtel, accueille les pèlerins du chemin de Saint-Jacques de Compostelle avec enthousiasme. A l’ancien carmel de Condom, dans le Gers, les religieuses, parties il y a trois ans, ont laissé place à des cabossés de la vie et des personnes en marge de la société. Depuis mai 2010, ce lieu paisible entièrement réhabilité s’est transformé en gîte solidaire.

« Au départ, l’idée était d’accueillir des personnes retraitées. Mais d’autres profils ont répondu plus rapidement« , explique Thomas Sorrentino, directeur du projet lancé en collaboration avec David Berly et Olivier Laffon, qui a déboursé 1,5 million d’euros pour l’achat du lieu en février 2010 et sa rénovation. Ce dernier était déjà à l’origine de laMaison des associations de solidarité, de la Ruche et du Comptoir Général à Paris. Lire la suite de l’article sur Youphil.com