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Société

TrottMyWorld quitte l'Afrique et débarque en Amérique Latine

By SociétéNo Comments
Nos deux amis de TrottMyWorld ont quitté le continent africain pour se rendre en Amérique Latine. Arrivés en Argentine à la mi-décembre, ils y ont rencontré des nombreux entrepreneurs sociaux :
  • AnaClara qui a créé, il y a 3 ans, la fondation Huellas Digitales, qui  forme de manière intensive des jeunes en situation de crise aux outils numériques.
  • Sebastian Lagorio, jeune diplômé en BioTechnologie qui a fondé en 2010 Mamagarande, entreprise sociale visant à nettoyer les eaux usées, grâce à l’action d’algues et de bactéries.
  • Jorge Gronda et sa famille qui développent depuis 2005, le Sistema SER: un système de santé direct. Les personnes paient un abonnement par an de 4 dollars pour lequel elles reçoivent une carte. Cette carte leur donne accès à un réseau de médecins de toutes les spécialités, chez qui elles recevront des soins médicaux pour un prix moindre.
Pour suivre les aventures de nos deux trotteurs – désormais en Bolivie – consultez leur site internet.

L'entreprise qui donne une seconde vie aux livres

By Environnement, Revue de presse, SociétéNo Comments

Les livres s’achètent, sont lus, prêtés, donnés, relus, du chevet à la bibliothèque, de la bibliothèque au vide-grenier parfois, au bouquiniste sinon, et souvent prennent la poussière sur une étagère, s’accumulent dans l’oubli. Ou pire, terminent à la poubelle (jaune). Pour tous ces bouquins, la SAS RecycLivre fondée en 2008, œuvre à une autre destinée.

Lire la suite de l’article sur le site WE DEMAIN

Où les Roms cultivent leur terre d’accueil

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Créé à Montreuil, le projet insolite Ecodrom permet à une communauté rom de six familles de vivre en autosubsistance, après avoir résisté aux demandes d’expulsion.

Tiré à quatre épingles, les cheveux luisants et l’air étonnement apathique, Alex*, 29 ans, chasse les deux molosses qui surveillent l’entrée du camp  : « Bienvenue chez nous  ! », sourit-il. A deux pas du périphérique, dans le Haut-Montreuil, difficile de rater l’écriteau peint en vert  : « Ecodrom 93 ». Littéralement, le mot signifie « le chemin de l’écologie »

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Living School : une école du renouveau éducatif par le « savoir-être »

By SociétéNo Comments

Catherine Jourdan, contributrice associée – Reporters d’Espoirs

Une école innovante, en partie bilingue, qui met l’accent, en plus des savoirs et savoir-faire enseignés dans l’Education nationale, sur le « savoir-être » des élèves. C’est ce qu’a fondé en 2007 Caroline Sost qui fut pendant des années responsable des Ressources Humaines dans un groupe international de jeux vidéo. Refusant de cautionner des contenus éditoriaux de plus en plus violents à destination des jeunes adultes et ayant découvert que son vrai désir l’appelait vers l’éducation, elle a décidé de créer Living School.

Ce fut un chemin long et difficile pour trouver des fonds et bénéficier des autorisations officielles, mais son rêve a fini par se réaliser à Paris dans deux locaux lumineux, en matériaux écologiques, qui abritent des classes maternelles et élémentaires.

Qu’est-ce que le « savoir-être » au cœur de la pédagogie de cette école ?

L’école traditionnelle est centrée sur la seule dimension intellectuelle de l’esprit et elle pratique plus en épinglant les limites et les erreurs de l’élève (compétition, hiérarchisation, punition) qu’en mettant au premier plan ce qui est le meilleur en lui. A Living School, on vise le développement global de l’enfant et la valorisation de son potentiel singulier: en repérant ses dispositions de base, ses qualités et ses défauts, ses croyances sur lui-même et le monde, son niveau de conscience, on amène l’enfant à sentir ce qui fait sa richesse propre et à se faire confiance. A être « bien dans sa tête, son corps et son cœur », dit Caroline Sost, à développer intuition et créativité. Mais il s’agit aussi de savoir-être avec les autres en apprenant à prendre sa place sans être envahissant ni se laisser dominer, à résoudre les conflits de manière constructive.

Si ce savoir-être fait partie du cursus scolaire des élèves (reconnaître ses émotions et se recentrer, prendre soin des autres, apprendre la responsabilité etc.), c’est surtout à travers « le pari de l’exemplarité » de l’équipe éducative qu’il est mis en œuvre : impossible de prétendre apprendre la confiance en soi et la non-violence si soi-même, on n’a pas travaillé sur ses propres problèmes personnels et relationnels afin d’éviter de les projeter dans son rapport aux enfants. Ainsi, dans cette école, les enseignants ont tous à cœur de faire un travail sur eux. Les parents, quant à eux, sont invités à participer sous forme d’ateliers à des jeux de rôles où ils apprennent à résoudre sur cas réels les difficultés qu’ils vivent au quotidien avec leurs enfants.

Mais le savoir-être n’a de valeur que parce qu’il ouvre au monde et à la joie de donner du sens à sa vie en aidant les autres. Il se prolonge naturellement dans l’apprentissage à « l’éco-citoyenneté » : les enfants sensibilisés aux défis du monde contemporain, aux actions menées pour y faire face, ont une forte envie d’agir et l’école invite des ONG qui les dirigent dans l’élaboration de projets concrets sur des sujets comme la faim, la disparition d’espèces animales, la déforestation. C’est ainsi que WWF, Forest and Life ou le chef Raoni leur ont déjà rendu visite.

Cette école privée payante (maternelle : 6500 euros/an, primaire : 6900), sa fondatrice refuse qu’elle soit réservée à une élite. Elle s’attelle à développer le système des bourses pour que toute famille puisse s’y inscrire.

Et l’enthousiasme de Caroline Sost à diffuser sa pédagogie la rend ambitieuse : après l’ouverture d’un collège dans deux ou trois ans, elle mise sur la création, en 20 ans, de 150 écoles de type Living School en France et dans le monde !

Pour tout savoir sur Living School, cliquez ici

Avec Monique, les élèves décrocheurs forment les vieux à Internet

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Les collégiens en rupture scolaire d’un côté, les personnes très âgées de l’autre: de ces deux populations souvent exclues, Monique Argoualc’h, enseignante à Brest, fait de l’or. Depuis 2003, les adolescents décrocheurs aident les anciens à maîtriser Internet. Et les anciens, soudain, se sentent utiles aux jeunes…

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Ils bâtissent des logements solidaires

By Revue de presse, Société

L’association Solidarités nouvelles pour le logement vient d’être récompensée par le prix de l’entrepreneur social du Boston Consulting Group.

Dix millions de personnes sont concernées de près ou de loin par le mal-logement en France, selon le dernier rapport de la fondation Abbé Pierre [pdf]. Parmi elles, plus de 685.000 vivent dans des conditions de précarité extrême.

Pour lutter contre le mal-logement, plusieurs associations tentent de redonner un toit à ceux qui n’en ont plus. C’est le cas de l’association Solidarités nouvelles pour le logement (SNL), récompensée le 6 février 2013 par le prix de l’entrepreneur social 2012 du Boston Consulting Group.

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Inde, à l’école des femmes ingénieurs en énergie solaire

By Environnement, Revue de presse, Société

Au Rajasthan, dans le nord de l’Inde, une école accueille des femmes venues d’Afrique, du Pacifique ou d’Amérique latine, dont les villages sont sans électricité.

À l’issue d’une formation de six mois, elles deviendront ingénieurs en énergie solaire. Grâce à elles, leurs communautés pourront cuisinier, lire ou travailler le soir venu. Nos reporters sont allés à leur rencontre.

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L'île El Hierro, une référence internationale du développement durable

By Revue de presse, Société

El Hierro, « l’île du fer », est la plus petite île et la plus méridionale de l’archipel espagnol des Canaries: après plus de trente ans d’efforts et des millions d’euros investis, le projet d’en faire un territoire auto-suffisant en énergie renouvelable, est en train de se réaliser grâce à l’utilisation du vent et de l’eau.

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Quand les supermarchés n’ont plus le droit de jeter des aliments

By Revue de presse, Société

En Europe, 50 % des aliments finissent à la poubelle. Des solutions simples existent pourtant contre le gaspillage alimentaire. A Herstal, en Belgique, les grandes surfaces n’ont désormais plus le droit de jeter leurs invendus. Une expérience qui commence à se diffuser dans tout le pays.

Et si pour lutter contre le gaspillage alimentaire, on faisait preuve d’un petit peu d’imagination ? A Herstal, ville de 40 000 habitants de la banlieue de Liège (Belgique), le supermarché Carrefour n’a désormais plus le droit de jeter ses invendus. Il doit en faire don aux associations d’aide alimentaire. Une obligation à laquelle seront bientôt soumis la quinzaine de supermarchés de la ville. Le principe est très simple : en Belgique, un « permis d’environnement » – intégrant toutes les autorisations environnementales – est requis pour exploiter une entreprise. Lors du renouvellement du permis d’environnement du supermarché Carrefour, le conseil municipal y a intégré l’obligation de mettre les invendus à disposition des associations.

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La «tango thérapie», traitement très spécial des hôpitaux argentins

By Revue de presse, Société

L’apprentissage du tango, où le rapport à l’autre est essentiel, est utilisé dans des hôpitaux argentins comme thérapie permettant à des malades mentaux et à des retraités de renouer avec le monde.

«C’est le fait de serrer l’autre dans ses bras qui rend le tango si spécial, créant une sorte de rapport amoureux», dit à l’AFP Silvina Perl, coordinatrice de l’Atelier de tango de l’Hôpital psychiatrique Borda, l’un des établissements de Buenos Aires qui a adopté comme thérapie la danse du Rio de la Plata.

La magie du tango, né à la fin de XIXème siècle dans les bas fonds de Buenos Aires et Montevideo et déclaré en 2009 «Patrimoine de l’Humanité» par l’UNESCO, aide à mieux soigner les malades, explique cette psychologue.

«Le tango, bien entendu, ne guérit pas à lui tout seul», reconnaît-elle. «Mais pendant une heure de cours, les patients n’ont pas d’hallucinations: ils sont concentrés, occupés à bien faire les pas de danse».

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