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Société

Beauvent : la coopérative produisant de l’énergie renouvelable et partageant ses bénéfices à ses associés

By Economie, Environnement, SociétéNo Comments
Des familles du Westhoek cherchaient à construire une maison permettant de faire des économies d’énergie, sans pour autant faire de concessions au niveau du confort.
Le premier pas consistait à acheter des matériaux durables ; les panneaux solaires et l’énergie éolienne viendraient ensuite compléter le tableau. En découvrant que les petites turbines éoliennes n’étaient pas rentables, les familles se sont associées et ont commencé à convaincre leur entourage d’investir ensemble dans des turbines plus grandes. Cette démarche a marqué la naissance d’une coopérative qui compte aujourd’hui plus de 1850 associés.
BeauVent investit dans l’énergie éolienne, les panneaux solaires et le colza.
L’asbl ZonneWinDT se consacre quant à elle à la sensibilisation et au conseil en matière d’économies d’énergie.
BeauVent donne aussi l’exemple : la société a transformé un bateau-logement en bureau basse énergie, et ses employés se déplacent en train, en vélo, en scooter électrique ou en voiture d’entreprise roulant à l’huile de colza.
BeauVent est une société rentable qui crée les conditions financières permettant d’investir dans l’énergie renouvelable. L’asbl veille à ce que les bénéfices obtenus grâce à la production d’énergie boostent l’économie locale plutôt que d’alimenter de grands groupes aux capitaux étrangers. Une démarche qui crée des emplois et du savoir–faire locaux dans un secteur qui a de belles perspectives d’avenir. De plus, les associés ont également leur mot à dire dans la gestion de BeauVent.
Tous ont une voix à l’assemblée générale, quelque soit le nombre d’actions qu’ils possèdent. Ils sont régulièrement invités à participer à la prise de décisions ou à assister à des ateliers de réflexion sur des sujets spécifiques. On dit parfois que pour améliorer le monde, il faut commencer par soi-même. BeauVent nous en livre la preuve absolue!
BeauVent produit 5 500 000 kWh par an grâce à l’énergie éolienne et 2 000 000 kWh grâce à l’énergie solaire. « Aujourd’hui, nous avons une capacité qui nous permet de fournir du courant vert à 2142 ménages. Si nous réussissions à réduire de 25% la consommation de nos associés, nous pourrions garantir la consommation annuelle de 2800 ménages, explique Niko Deprez.
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Les Ateliers de la Bergerette : première ressourcerie avec zéro déchet

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Les Ateliers de la Bergerette est la première ressourcerie à avoir été créée en France.

Elle a inauguré le concept innovant qui allie geste citoyen et sensibilisation du grand public. En 2000, on réfléchit à la conceptualisation des activités de la Bergerette. Cela se cristallise sous la forme de 4 missions : Collecter, Valoriser, Revendre et Sensibiliser ; et initie la création d’un réseau national des Ressourceries, qui compte désormais 90 structures.

L’organisation du travail se fait autour de principes fondamentaux qui garantissent un équilibre et une cohésion d’équipe. Chaque individu et son travail sont considérés à part entière et sur un pied d’égalité. Aussi, salaire égal, répartition des tâches, font partie des règles empiriques ; l’écart entre les niveaux d’études (de BAC-8 à BAC+8) s’en trouve effacé.

Chaque salarié partage son temps entre un ou plusieurs postes spécifiques (ateliers de valorisation, éducation à l’environnement, administratif …) et des tâches réparties (collecte des objets, vente, accueil des usagers, ménage …). Le planqué derrière son ordi et celui qui remue la benne de déchets ne sont qu’une seule et même personne à deux moments de la journée. Cette division du travail permet de partager la pénibilité des tâches entre tous et de renforcer l’appréhension du travail de l’autre, son contenu et ses difficultés. La diversité des missions entretient un solide brise-routine. Chaque salarié fait partie d’un ou plusieurs pôles qui ont pour rôle d’organiser le fonctionnement du secteur d’activité. Un référent de pôle est élu chaque année afin de favoriser la communication dans et entre les pôles. Les décisions prises dans chaque pôle sont reportées lors des réunions collectives hebdomadaires. Ces dernières sont également le lieu des décisions qui sortent du champ des pôles ou qui engagent fortement la structure. Elles sont un lieu d’échanges parfois animés pour gérer des problèmes émergents. Les réunions collectives permettent de décider ensemble, mais aussi de diffuser les informations à tous : les tenants et aboutissants des décisions peuvent être obtenus par chacun.

Aujourd’hui, 17 salariés en CDI travaillent à la Bergerette, avec l’aide d’une dizaine de bénévoles et sympathisants proches. Plus de 500 tonnes d’objets sont manipulées chaque année, dont 85% sont redirigées vers le réemploi ou des filières de recyclage, le reste finissant en centre d’enfouissement.

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Plif plaf plouf : quand la crèche rencontre la maison de retraite

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Plif Plaf Plouf est une association de loi 1901 à but non lucratif dédiée aux structures d’accueil de la petite enfance. L’association a été créée par deux passionnées . Elle est une des premières associations à proposer un projet inter génération dans les Bouches du Rhône (Marseille).
La crèche Plif Plaf Plouf est intégrée aux locaux de la maison de retraite Saint-Maur qui bénéficie d’un cadre verdoyant. Un parcours de santé matérialisé existe déjà, pouvant servir de terrain d’entraînement et de « stade olympique ».
Toutes les semaines, trois générations se rencontrent pour des jeux sportifs : lancer de ballon, parcours dit « du combattant », jeté de cerceaux, etc.
En fin d’année, l’événement « les Olympiades » se déroule sur une journée. Sept équipes s’affrontent au cours des différentes épreuves ; à midi, elles déjeunent ensemble. Pour féliciter les athlètes, une remise de médailles a lieu à l’issue des rencontres, elle est suivie d’une tombola et d’une distribution de cadeaux.
La Crèche inter générationnelle de 25 places a 55 enfants inscrits et environ 50 séniors participants à plusieurs activités déjà mis en place. Les objectifs ont été atteints. Les personnes âgées ont totalement adhéré au projet. Leur participation a été totale et la complicité entre les trois générations était visible et indiscutable. Des liens se sont créés au sein de chaque équipe. Les cadeaux gagnés par les plus jeunes ont été offerts aux plus âgés. Certains participants sont restés en contact. Les chefs d’équipe continuent à venir à la crèche et à la maison de retraite. Nous pouvons désormais parler de relations réelles et non plus d’une « simple rencontre ».
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Ôkhra : transmettre les savoir-faire locaux du Vaucluse

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Le village de Roussillon, dans le Luberon, marque l’entrée de ce qu’on appelle parfois le « Colorado provençal » : le pays de l’ocre.
Un paysage à la beauté sauvage où les falaises des anciennes carrières composent une véritable symphonie de couleurs, du rouge sang au jaune vif.
Taillées au cœur du plus grand gisement ocrier du monde, elles témoignent d’une industrie longtemps active dans la région. Dans une ancienne usine de Roussillon construite en 1920 est installé « OKHRA », le Conservatoire des Ocres et des pigments appliqués, un lieu de pratique et d’apprentissage de la couleur.
Sa mission est donc d’accueillir toute l’année des stagiaires, amateurs ou professionnels, venus se former auprès d’experts.
Mais également de sauvegarder et de mettre en valeur le patrimoine industriel et technique, tout en organisant des circuits découverte dans la région.
Les cinq hectares de cet ancien site de lavage des ocres ont conservé tout leur caractère industriel, et les anciens moulins abritent notamment une étonnante « matériauthèque », ainsi qu’une très belle scénographie évoquant le passé du lieu. Mais pour faire revivre l’ocre, le Conservatoire des ocres et de la couleur a conçu un modèle inédit d’entreprise culturelle où sont associées dans une même coopérative d’intérêt collectif (Scic) l’ensemble des parties prenantes.
Elles conjuguent ainsi leurs efforts et leurs ressources afin de faire naître une nouvelle économie autour de ce patrimoine industriel et culturel qu’est l’ocre.
Résultats: 25 000 personnes ont franchi les portes d’Ôkhra en 2012.

"Joséphine" : Un salon de beauté solidaire de toutes les femmes

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Puisque « la beauté est un droit » selon Lucia Iraci, instigatrice du projet, ce salon au cœur de la goutte d’or à Paris dorlote des femmes en situation de précarité.

Dans le 18ème arrondissement, en plein cœur de la goutte d’or, le quartier le plus pauvre et multiethnique de Paris, Joséphine est un refuge pour des femmes en situation précaire. Jeunes mamans, au chômage, victimes de violences conjugales…Là bas, elles peuvent se faire dorloter, coiffer, maquiller, pour la somme symbolique de 3 euros. Victime de son succès, ce salon de beauté social et solidaire demande deux mois de délais pour obtenir un rendez-vous.

« 80% des pauvres sont des femmes. Parmi elles, les moins de 25 ans et les plus de 45 ans sont les plus vulnérables. C’est parce que cet état de chose m’est insupportable que j’ai décidé de leur venir en aide en créant l’association JOSEPHINE POUR LA BEAUTE DES FEMMES. », explique Lucia Iraci, instigatrice du projet, dans son blog dédié à son association.

Pour elle, la beauté est un droit pour toutes les femmes, et se faire belle est une manière de retrouver l’estime de soi, souvent perdue par ses femmes, pour qui, prendre soin d’elles, n’est plus une priorité.

Consultations médicales, soutien psychologique, assistance juridique, le salon a plus d’un tour dans son sac. Lorsqu’une femme se présente, après s’être mise en beauté, elle peut passer un entretien, et des bénévoles l’accompagnent dans ses démarches administratives ou médicales. Un beau projet qui a vu le jour en 2011, grâce à des partenariats comme l’Oréal, Maybelline, ou encore Meetic, et des dizaines de bénévoles qui viennent offrir de leur temps à ces femmes qui en ont besoin.

Déjà 2500 femmes ont été accueilli depuis l’ouverture en mars 2011. Chaque femmes dispose de quatre rendez-vous dans l’année.

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BicyclAide, l'association solidaire de Clichy la Garenne qui répare les vélos

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En France, on achète deux millions de vélos neufs par an et l’on en jette… deux millions!

L’association Bicyclaide à Clichy veut stopper le massacre.

Depuis 2009, des bénévoles se sont investis pour créer un chantier d’insertion basé sur la réparation de vélos usagés.Pour ouvrir leur atelier rue Martre en 2011,ils ont reçu 1000 euros des cigales de Colombes et 4 000 euros de la part d’autres clubs cigales franciliens.«Les cigales ont une démarche vertueuse,souligne Éric Joly,le responsable de l’atelier.

Au lieu de mettre leur argent à la banque, dans le Cac 40, ils investissent dans des projets locaux dans lesquels ils croient : ici le développement durable, la formation et la mobilité douce. « Les cigales nous ont aidés financièrement,mais ils nous ont aussi aidés à trouver des partenaires,fait bénéficier de leur réseau… »

Bicyclaide récupère les vélos destinés à la destruction auprès des déchetteries, de particuliers, de la Poste,  de Décathlon et de l’Oph ClichyHabitat, explique Éric Joly, le responsable de l’atelier Bicyclaide.

En 2012,nous avons ainsi récupéré 400 vélos qui allaient partir à la poubelle. Nous en avons sauvé plus de la moitié et vendu 184. Quand les vélos sont en trop mauvais état pour être réparés, ils sont démontés et viennent grossir notre stock de pièces d’occasion.»

Bicyclaide sauve des vélos, mais parfois aussi des parcours de vie. Dans l’atelier, les dix personnes (huit hommes,deux femmes) ont été embauchées en contrat unique d’insertion. Des CDD aidés de six mois et de 26 heures hebdomadaires destinés à des bénéficiaires du RSA,des chômeurs de longue durée ou des jeunes sans diplôme.

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A Chacun son Everest ! ou comment aider les enfants atteints de cancer à guérir mieux

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A Chacun son Everest ! a été créée en novembre 1994 par l’alpiniste et médecin Christine Janin, première Française sur le Toit du monde quatre ans auparavant et le Docteur Baruchel, à ce jour, Chef du service hématologique pédiatrique de l’Hôpital St-Louis à Paris.

A travers un parallèle symbolique entre les difficultés rencontrées pour conquérir un sommet et celles vécues pour vaincre la maladie, l’Association met tout en œuvre pour aider les enfants à « guérir mieux » :

• en se réappropriant leurs ressources internes,
• en parlant entre eux de leur maladie, encore si présente dans leur jeune vie,
• en se libérant de cette réalité due à la maladie (des mots comme leucémie, tumeur, chimiothérapie…),
• mais aussi en changeant le regard des autres
• et en goûtant à une liberté enfin retrouvée. Une véritable action de réparation personnelle et de réinsertion menée par une grande cordée solidaire, mais surtout une victoire sur soi-même pour chaque enfant au sommet !

Depuis 1994, 254 stages ont permis à plus de 3405 enfants malades d’atteindre leur Everest.

La mission

Chaque semaine, 12 à 15 enfants ou adolescents se retrouvent à Chamonix dans la Maison « A Chacun son Everest ! » pour participer aux stages organisés pour eux, et entièrement financés par l’Association. Actuellement, 13 à 14 semaines sont organisées chaque année.

Les différentes étapes, strictement respectées, sont conçues comme une lente progression adaptée au rythme et aux possibilités de chacun : permettre à l’enfant, heure après heure, jour après jour, de reprendre confiance en lui. Les membres du corps médical ont su adhérer dès le début à cette grande aventure d’espoir qu’ils permettent d’engager bien avant le stage, à l’hôpital même. Ils y soignent les enfants puis, le moment venu, la rémission confirmée, ils proposent à certains enfants, en fonction de leur état médical et psychologique, de participer à l’ascension.

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I Like Cinema : Le partage d'un moment convivial avec ses amis !

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Après la vidéo, voici le cinéma à la demande ! Avec I Like Cinema, nous spectateurs, devenons programmateurs dans la salle de notre choix. Basé sur le concept « mon film, ma salle, mes amis », I Like Cinéma est le premier service communautaire de séance à la demande, dont l’objectif est de mettre en relation les salles de cinéma indépendant, les films et les spectateurs.

Pour le prix d’une place de cinéma normale, c’est nous qui choisissons le film à l’affiche.

Comment ça marche ? D’abord on sélectionne le film, puis la salle. Ensuite on crée la séance. Enfin, celle-ci est validée.

Ainsi, trois choix s’offrent à nous :

– Soit on décide de rejoindre une séance pour confirmer la programmation du film

– Soit on désigne une salle parmi les 50 cinémas partenaires et on en profite pour découvrir les films programmés

– Soit on crée sa propre séance en pré-achetant en ligne sa place de cinéma, avant de la proposer à tous les ciné-likers et amis que l’on veut sur le cinémur du site, par mail ou via les réseaux sociaux.

Dès qu’un nombre suffisant de spectateurs ont pré-acheté une place pour cette séance, celle-ci est validée et tous reçoivent leur ticket de cinéma. Pour le moment, le catalogue I Like Cinema regroupe 200 films récents et cultes, mais les abonnés peuvent l’enrichir. Le service est associé à 50 cinémas un peu partout en France.

Un bon plan pour (re)voir un film récent déprogrammé ou culte. Mais aussi une proposition sympa de soirée spéciale et personnalisée.

Plus d’infos sur le site ICI.

La Fondation de la 2ème chance aide les "accidentés de la vie"

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Créée en juin 1998 à l’initiative de Vincent BOLLORÉ et Michel GIRAUD, la Fondation de la 2e Chance regroupe près de 100 partenaires (grandes entreprises privées, publiques, et institutions financières). Elle bénéficie de plus de 60 implantations en France, soutenues par 22 clubs 2e chance.

La Fondation de la 2e Chance a pour objet d’accompagner des personnes de 18 à 62 ans, ayant traversé de lourdes épreuves de vie et aujourd’hui en situation de grande précarité, mais manifestant une réelle volonté de rebondir.

La Fondation leur offre un soutien humain et financier (jusqu’à 8 000€ pour les projets de création/reprise et 5 000€ pour les projets de formation) pour mener à bien un projet professionnel réaliste et durable : formation qualifiante, création ou reprise d’entreprise.

Depuis sa création, plus de 5000 coups de pouce ont été financés.
De nombreux de bénévoles ont rejoint la fondation sur l’ensemble du territoire : environ 1200 instructeurs et parrains actifs.
Plus d’informations ICI

Mamy factory, un tricot éthique et du lien social

By Economie, Revue de presse, SociétéNo Comments

Brassière rayée pour Léon, gilet vieux rose pour Joséphine. Dans une maison de Saint-Ouen, ces deux bébés posent pour la collection été de « Mamy Factory« , une jeune marque de vêtements pour enfants tricotés main par des grand-mères qui grâce à leur passion se sentent « utiles » et améliorent leur quotidien.
C’est « en observant le nombre croissant de seniors (18% de la population française, selon l’Insee), l’attrait des consommateurs pour les produits faits main et la mode enfant », que Stéphanie Leone, 36 ans, a lancé sa société il y a un peu plus d’un an.
« Après des études de commerce orientées marketing et nouvelles technologies du web, j’en avais marre de travailler sur de l’immatériel. Je cherchais quelque chose de concret« , explique à l’AFP la jeune femme, épaulée bénévolement par ses amies, mamans des enfants « modèles » photographiés pour les collections, dont Annabelle, qui a transformé son salon en espace de « shooting ». À ses côtés aussi Roxana Barbor, sa modéliste, et Élisabeth Posso, styliste freelance. « Je voulais créer une marque qui soit un lien entre plusieurs univers, la mode, le savoir-faire traditionnel et la modernité », ajoute-t-elle, en dépliant gilets, robes et pulls en coton, aux précieux boutons de buis et de nacre, sa dernière collection 0-5 ans.
« Beaucoup de femmes à la retraite ont envie de participer à un projet, de se rendre utiles. Les rapports sont simples, elles n’ont rien à prouver et ce concept fait du bien, car il change les rapports habituels du monde du travail complexifiés à outrance », souligne Stéphanie qui dit avoir reçu plus de 2.500 candidatures spontanées de mamies âgées de 60 à 90 ans.

Depuis que les ventes ont commencé en septembre, « les signaux sont bons », dit Stéphanie qui ouvrira prochainement une boutique-showroom en dur dans le 17e arrondissement de Paris où ses grand-mères parisiennes pourront se réunir pour tricoter.
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