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Revue de presse

Ces métiers qui changent le monde : le nouvel hors-série L’Express est paru !

By L'actu de Reporters d'Espoirs, Les opérations médias, Partenaires médias, Revue de presseNo Comments

L’Express développe depuis 2 ans sous la marque « du business et du sens » un écosystème structuré, multicanal avec un hors-série annuel, des chroniques et des articles dans l’hebdomadaire et sur la plateforme internet dédiée. Reporters d’Espoirs est naturellement partenaire de la démarche et des contenus auxquels l’association participe.

L’Édito d’Isabelle Hennebelle : « 8 façons de donner du sens au travail »

Face à la crise économique, certains choisissent l’immobilisme et le « c’était mieux avant ». D’autres, au contraire, regardent droit devant et se relèvent les manches, avec une idée en tête: contribuer à bâtir un monde plus juste et équilibré. Loin d’être des outsiders ou de doux rêveurs, ces acteurs de changement évoluent aujourd’hui au coeur des entreprises. Ils sont collaborateurs, managers, jeunes diplômés, dirigeants… [> Lire la suite sur le site de L’Express]

 

Au sommaire

COCRÉATION

Entreprises-associatif Réussir les alliances

Philippines 500 multinationales pour Gawad Kalinga

Cohabitat (Re)lier les générations, le nouvel enjeu

 

NOUVEAUX « BUSINESS MODELS »

L’économie du partage Intégrer la consommation collaborative

L’économie circulaire Entrez dans la ronde

Trois tendances, neuf exemples

L’art du recyclage (Dé)programmer l’obsolescence

L’innovation frugale Les modèles «BOP» à la pointe

Reportage La maternité à bas coûts en Inde

R. Gopalakrishnan « Chez Tata, générer des profits peut prendre

des décennies »

Jacques Attali Pour une société positive

le « greenwashing » Comment ne pas se faire avoir

Le développement durable Un levier de croissance pour les PME,

avec le Baromètre 2013 Generali-CSA

 

CHANGEMENT D’ÉCHELLE

Reportage Le Brésil à l’heure de l’entrepreneuriat social

Alessandro Carlucci « Chez Natura, le socio-environnemental

augmente nos résultats économiques »

Arantza Laskurain « En Espagne, Mondragon se développe grâce

au fonctionnement coopératif »

Les Fellows Ashoka, sources d’innovation et d’inspiration

Benoît Hamon «Avec l’ESS, nous sommes dans une logique

de “pollinisation” de l’économie classique »

L’économie sociale et solidaire Sept idées de mutuelles,

d’associations, de coopératives et de fondations

 

DONNER DU SENS À L’ARGENT

Le capital patient L’« impact investing » ou l’avènement

des investisseurs au grand coeur

L’inclusion bancaireAccompagner les clientèles fragiles

Reportage Au Kenya, l’inclusion financière passe par le téléphone

Un accès pour tous aux services de base d’ici à 2020

 

HIGH-TECH RESPONSABLE

Logiciel libre et « open source » Les clefs d’un monde plus équitable

Réseaux sociaux La solidarité citoyenne à l’heure du 2.0

Reportage L’Egypte prend le train des « fablabs »

 

CARRIÈRE, FORMATION ET SOLIDARITÉ

Les cadres Des métiers en mutation

Les salaires du développement durable

Engagement De l’humanitaire dans la vie professionnelle

Les médias Inciter à l’action et à l’espoir… ou le journalisme d’impact

Les campusResponsabilité, mode d’emploi

La lutte contre la pauvreté Les MBA à l’heure du BOP

 

CE QU’ENSEIGNENT LES MAÎTRES

Sagesses Bouddha et Sénèque, coaches en leadership responsable

 

Pour aller plus loin

> Feuilleter des extraits du magazine

> Acheter le hors-série en ligne

 

Marinaleda (Espagne), le village où la coopération est une réalité

By Economie, Revue de presse, SociétéOne Comment

Depuis 1978, dans le village de Marinaleda en Andalousie (Espagne), tout le monde gagne le même salaire, qu’on travaille au champ, à l’usine ou dans les bureaux, soit 1128 € par mois.

De quoi bien vivre, puisque tous les services et le logement sont gratuits, ou presque. Les loyers sont en effet de 15 € par mois pour une maison de 90 mètres carrés. Le droit au logement est garanti : la municipalité fournit le terrain et la personne qui souhaite s’installer est aidée pour construire elle-même sa maison.

« L’accès à la santé, à l’éducation et aux activités culturelles est gratuit ou presque, ainsi que les services comme la garderie… Marinaleda a une taxation parmi les plus faibles d’Andalousie. Il y a beaucoup de travail à Marinaleda, comparé aux autres villages du coin « , lance Eduardo Valderrama, conseiller communal de ce village d’Andalousie, à la pointe sud de l’Espagne.

« Certes, la coopérative tourne au ralenti, touchée par la crise comme toutes les entreprises espagnoles. Certes, nous voyons la demande de travail exploser avec le retour de nos jeunes qui ont perdu leur emploi, mais le village parvient à limiter la casse. « 

Humar, la coopérative municipale et premier employeur du village, s’attache aujourd’hui à répartir le travail disponible entre tous afin d’assurer un revenu à chaque famille. Ainsi, si la crise touche tout le monde à Marinaleda, personne n’est pauvre. De plus, la politique originale de logement mise en place par la municipalité est parvenue à enrayer la spéculation foncière et à protéger les candidats propriétaires des expulsions, véritables fléaux en Espagne où 500 familles sont délogées chaque jour, faute de parvenir à honorer leur emprunt hypothécaire.

Il n’y a pas de vandalisme, par exemple, parce que tout a été construit par les gens du village. Si un jeune ou son père ou un ami a installé un banc, il n’y a pas de raison de le dégrader ou d’y faire des graffitis. Le fait que les budgets soient approuvés par tous contribue également à l’absence de délinquance ».

Le taux de chômage en Andalousie était de 31 % au début de l’année, contre 22 % en moyenne en Espagne. Un jeune Espagnol sur deux de moins de 25 ans est sans emploi. Le chômage est par contre totalement inexistant à Marinaleda.

Un indien permets l'accès aux toilettes avec 8000 installations publiques !

By Revue de presse, SociétéNo Comments
Bindheshwar Pathak est la preuve vivante que le progrès social et environnemental ne découle pas nécessairement d’innovations fulgurantes mais peut également être enclenché par la remise en cause des comportements les plus basiques.
Il raisonne ainsi : en Inde, seulement 30% de la population urbaine a accès à un système d’évacuation des eaux usées, et pas plus de 3% à des latrines avec chasse d’eau en milieu rural. Or, l’état du système sanitaire d’un pays est une composante critique de son développement et de sa croissance.
Il met donc au point un système de toilettes peu coûteux qui transforme les déchets organiques en biogaz, lesquels génèrent ensuite de l’électricité après avoir été traités dans une centrale de biométhanisation. Fascinant ? Son procédé inodore permet également de libérer une eau propre et évite l’émission des gaz à effet de serre.
Reconnu comme l’inventeur de la « Meilleure pratique urbaine » en 1996 par les Nations Unies, Bindheshwar Pathak a par ailleurs permis la réinsertion de milliers de « moissonneurs » des rues, en grande majorité issus de la caste des Intouchables.
Quelques 60 000 Indiens auraient ainsi été libérés d’un travail ingrat depuis les années 1970, tandis que 8000 toilettes publiques et 1,2 millions installations privées ont été construites à travers le pays. Sulabh International est devenue la plus grande association à but non lucratif en Inde et collabore aujourd’hui avec de nombreuses institutions internationales telles que le British Council ou la Commission Européenne. Elle vise à essaimer son modèle dans de nombreux pays en développement, dont une dizaine situés en Afrique.
Dernière particularité non négligeable : elle possède l’unique musée au monde consacré entièrement à l’histoire des toilettes.
Plus d’infos ICI

Eveil enfance : Lutter contre l'echec scolaire dès la maternelle

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Dans les quartiers défavorisés, de nombreux enfants sont en échec scolaire,et ce dès la primaire.

Ce constat, réalisé il y a quinze ans par l’ensemble du tissu associatif, a poussé l’enseignement catholique et le Secours catholique à créer une structure destinée à un public d’ordinaire laissé de côté dans la ville des Mureaux.

Au cœur d’un quartier défavorisé de cette ville, l’association Éveil Enfance œuvre dès la maternelle pour offrir aux enfants une chance de réussite scolaire. Depuis 1999, elle se mobilise ainsi au quotidien auprès des enfants âgés de 4 à 6 ans. Chaque année, l’association accueille chaque jour 32 enfants de maternelle pour leur offrir une à deux heures d’activité éducative et ludique.
L’équipe, composée de trois animatrices salariées et d’une quinzaine de bénévoles, agit pour compléter et appuyer le programme des écoles. Et une fois par semaine, dans une démarche de responsabilisation , ce sont les mamans qui animent les séances. Pour ces dernières, principalement originaires du Mali et du Sénégal, l’association propose également des cours de français et d’alphabétisation.
L’association recherche par ailleurs des bénévoles, plus d’informations ICI.

Ecomalin, le magasin qui prône une autre manière d’acheter futé

By Economie, Revue de presse, SociétéNo Comments
On gaspille on gaspille… existe t-il des solutions pour ne plus jeter autant de notre nourriture et de nos produit quotidiens, sans pour cela prendre des risques pour notre santé ? Il semble bien que certaines méthodes de distribution, complémentaires à la grande distribution, offre maintenant des possibilités raisonnables et raisonnées. Parfois on le sait, les surproductions sont tout simplement jetées. Il ne s’agit pourtant pas de mettre à la vente des produits périmés. La DLC c’est une date limite de consommation. Passée cette date, le produit doit être retiré de la vente. Plus souvent, c’est la DLUO ou date limite d’utilisation optimale qui va être atteinte. Le produit restera propre à la consommation.
C’est ainsi qu’un entrepreneur Ecomalin propose depuis 2009 ces produits à la vente en Charente Maritime.
Le panier moyen, comparé à un panier identique en grande surface, est à un prix inférieur d’au moins 30 pour cent (Parfois jusqu’à 80 pour cent). Le gérant doit donc faire avec ce que les industries ou grossistes lui proposent. Pas la peine de venir avec une liste de courses précise, la déception pourrait être grande ! Nicolas Verdavainne se veut « complémentaire » aux grandes surfaces, pas en concurrence directe.
« Il faut venir là sans idée précise, on fait des repas avec ce qu’on trouve, et parfois il y a de bonnes surprises », indique une habituée.
En revanche, Nicolas Verdavainne est clair : « Nous ne vendons pas de périmé ! » Parfois, la date sur les paquets de pâtes ou de miel est dépassée, mais le gérant goûte le produit avant la mise en vente. Et le client est prévenu, et peut privilégier les produits dont la date demeure valide. « Ici aussi on jette de la nourriture, comme tout le monde, mais on tente de trouver des solutions », note le créateur et gérant d’Ecomalin. Comme le 30 mars dernier, où il a pu sauver 100 kilos de saucisses : arrivées à échéance, elles auraient dû filer à la poubelle, mais à l’aide d’un cuisinier et d’une cliente engagée, un repas « anti-gaspi » à base de saucisse-lentilles a été offert.

Actuellement, il travaille avec des industriels et grossistes de Paris ou Marseille, mais il souhaiterait privilégier un partenariat avec les acteurs et producteurs locaux, dans une démarche plus rationnelle. Deux salariés travaillent au magasin de Rochefort. Un deuxième a  été  créer à Saint-Jean-d’Angély en 2012.

Belvas : la chocolaterie équitable

By Economie, Environnement, Partenariat RTL Solutions, Revue de presseOne Comment

Belvas est devenue, en 8 ans, une des rares chocolateries « équitable » d’Europe.

Son chocolat haut de gamme est labellisé « Max Havelaar », ce qui garantit une juste rétribution aux producteurs des matières premières utilisées. Belvas s’est également tournée vers le bio. Ses nouvelles installations ont été conçues pour diminuer drastiquement l’empreinte écologique de sa production destinée pour plus de la moitié à l’exportation. Belvas a réussi a créé 15 emplois fixes en Belgique plus une dizaine de saisonnier :

« La moitié de nos travailleurs était des chômeurs de longue durée, ils sont engagés aujourd’hui en CDI. L’entreprise emploie aussi 4 personnes en situation de handicap de l’entreprise de travail adapté d’Enghien ».

Afin de propager sa démarche, Belvas permet à des chocolatiers concurrents de visiter son usine et leur transmet le nom de ses fournisseurs bio. La chocolaterie sensibilise également 300 jeunes par an à l’écologie et organise des visites de l’entreprise, préparées en amont avec les professeurs.

La présentation sur RTL belgique

Le site web de l’initiative

L’asbl Grain de Vie prend en charge des personnes handicapées gràce à une boulangerie.

By Partenariat RTL Solutions, Revue de presse, SociétéNo Comments

L’asbl Grain de Vie, fondée en 1997, prend en charge des personnes handicapées en vue de promouvoir leur intégration sociale.

Pour atteindre ces objectifs, les activités suivantes sont proposées:

  • produire du pain, de la pâtisserie et viennoiserie ;
  • vendre les produits fabriqués en magasin ;
  • faire de la cuisine simple.

La vidéo de la chronique radio sur le site RTL Bel