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Revue de presse

Les infirmières de rue : Pionnières d’une solution de sortie pour les sans-abri

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En 2006, Sara et Emilie créent leur asbl infirmiers de rue avec une idée toute simple : Proposer des soins aux sans-abri dans la rue.
6 ans plus tard, leur idée a fait du chemin et l’équipe s’est agrandie tandis que l’asbl a fait naître bien de nouvelles vies.
Lorsque Sara et Emilie reviennent en 2005 de séjours humanitaires en Afrique, elles sont frappées par un constat. Malgré le nombre impressionnant d’associations qui viennent en aide aux sans-abris, peu réussissent à s’en sortir.
Après des années de travail dans le social, elles lancent l’asbl infirmiers de rue dans l’idée de venir en aide aux sans-abri directement dans la rue.
Matériel médical sur le dos, les deux amies partent à la rencontre des plus fragiles de notre société convaincues de leur bonne méthode. Leur philosophie ? Au-delà des soins de premiers secours, réinsérer les SDF par le biais de l’hygiène et la valorisation de la personne. Redonner confiance et estime de soi à la personne qui vit dans la rue pas à pas par des petits gestes. Amorçer un dialogue, et au premiers signes de déprime, lui mentionner ce qu’il aime, ce en quoi il est doué, au moyen de petits fiches sur chacun personne rencontrée, voilà la clé pour dérouiller le processus.
« Et ça marche toujours, raconte fièrement Emilie, on est convaincus que tous peuvent s’en sortir, même après 15-20 ans dans la rue. Le tout, c’est d’y croire et de leur redonner confiance ! ».
En 2012, 56 patients ont pu être suivis après 6725 démarches. 267 personnes ont pu prétendre aux soins tandis que 233 personnes ont bénéficié d’accompagnements. De plus, 100 travailleurs du secteur social et 12 agents de sécurité ont été formé à l’Hygiène et à la Précarité, essentiellement en France, à Bruxelles et en Wallonie. Plusieurs sessions de sensibilisation sur le travail de terrain en Flandres ont également été réalisées pour des étudiants et des professionnels du secteur. Chaque année, 250 élèves de 3ème année en soins infirmiers et en médecine tropicale ont été sensibilisés à la problématique de l’hygiène et aux soins pour un public précarisé. Enfin, une formation « personnalisée » de trois jours a été organisée, pour une infirmière de l’Association de soutien de Dordogne, France.
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L' armoire des petits : Les garde-robes d'enfants se troquent sur internet

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Deux Bas-Rhinois ont imaginé un bon plan sur Internet, pour la garde-robe des plus jeunes (de 0 à 10 ans), qui devrait plaire aux papas et mamans.
Avec L’armoire des petits, Valérie Lacroix et Charles Galtier ont créé une plateforme communautaire qui propose aux parents d’échanger entre eux des vêtements devenus trop petits pour leurs bambins. Pratique, lorsqu’on pense « que lors de ses deux premières années, un enfant passe par 8 tailles de vêtements différentes », constate Charles Galtier.
« L’originalité ici, c’est que le troc se fait par lots », explique-t-il.
Composés de plusieurs vêtements du même sexe et de même taille, chaque lot vaut entre 80 et 100 €, mais les utilisateurs ne payent que les frais de port, s’ils choisissent de se faire expédier la marchandise. « La seule règle, c’est que pour choisir un lot, il faut en avoir donné un », soulignent les deux créateurs.
Ceux qui n’auraient rien à donner peuvent toujours acheter les lots, proposés à moins de quinze euros. « Ils sont certifiés. C’est-à-dire qu’on a nous-même contrôlé la qualité des vêtements puisque c’est souvent ce qui fait peur aux mamans », indique Valérie Lacroix, estimant que cette plateforme est dans l’air du temps : « Les gens sont à la recherche d’économies. On ne veut pas forcément d’habits d’occasion pour ses enfants, mais j’ai pas mal d’amis qui vont sur les bourses à vêtements… ».
Le site est ouvert depuis décembre et 300 lots sont aujourd’hui en ligne… en attendant de trouver de nouvelles armoires à remplir.
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Anticafé : le café parisien qui facture au temps passé et pas à ce qui est consommé

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Anticafé : c’est ainsi que l’on désigne en Russie un lieu de restauration inhabituel… et c’est aussi le nom qu’a choisi un espace partagé pas comme les autres, situé 79 rue Quincampoix, au Centre de Paris.

Son fondateur, venu d’Ukraine, bouscule les codes des cafés parisiens, lorgne du côté de concepts comme ceux de Starbucks où l’on vient autant travailler sur son portable ou sa tablette que boire un café, en s’inspirant des « tsiferblat » (littéralement « cadran de la montre ») de son pays natal, qui proposent boissons et nourriture à volonté, avec une facturation au temps passé.

Qu’il s’agisse de réfléchir à votre future start-up ou simplement de réviser des examens, d’avancer sur un travail en équipe ou juste de bavarder avec vos amis voire de jouer à des jeux de société, l’AntiCafé est donc fait pour vous et propose des espaces séparés pou chacune de ces activités.

L’originalité ? Contrairement à ce qui se produit dans beaucoup de bistrots, où l’on vous signifie assez vite que vous êtes déjà resté suffisamment longtemps compte-tenu de ce que vous avez consommé, l’AntiCafé vous facture le temps passé (entre 2 et 4 euros de l’heure) et ensuite, vous êtes libre de consommer à volonté thé, café, snacks, fruits … et naturellement le wifi très haut débit mis à la disposition des clients.

En prime, vous avez accès si vous le souhaitez à un projecteur, à une imprimante et à un scanner,… Et comme l’objectif avoué des initiateurs du lieu est que vous vous sentiez comme chez vous, vous pouvez aussi déplacer les tables selon vos besoins, emprunter des livres dans la petite bibliothèque et même amener de quoi manger ou une bouteille de votre vin préféré !

Soucieux d’animer la communauté de ses clients, l’AntiCafé propose aussi des ateliers, des conférences, des débats informels autour de personnalités stimulantes… mais aussi des projections de films d’auteur, des tournois de jeux de société et naturellement des événements personnalisés, pour toute occasion personnelle ou professionnelle.

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La Ferme Nos Pilifs : offrir un métier valorisant à la personne handicapée

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La Ferme Nos Pilifs est née d’une indignation face à l’exclusion des personnes atteintes d’un handicap sur le marché de l’emploi. Ou plutôt, du désir de leur apporter, une fois devenues adultes, la possibilité d’une vie digne et autonome. Comment y arriver ?
En 1984, Benoît Ceysens, l’actuel directeur, décide de lancer, avec son équipe, une vraie ferme dans la ville, pour offrir un métier valorisant à la personne handicapée.
Une diversité de métiers y sont développés : jardinerie, élevage de poulets fermiers, épicerie bio, entretien et aménagement de jardins « naturels » sans pesticides, estaminet, boulangerie artisanale, manutention, ferme d’animation pour les enfants…
Chaque activité développée se doit d’être adaptée aux capacités des travailleurs, mais aussi, socialement épanouissante, suffisamment rémunératrice, et respectueuse de l’environnement. « On sous-entend parfois que les personnes atteintes d’un handicap vieillissent prématurément, souligne Benoît Ceysens, le directeur. Pour nous, il suffit de leur offrir une activité valorisante et elles repartent ! ».
Outre ses activités « vertes », les bâtiments abritant les activités de la Ferme ont été construits de manière écologique. Un nouvelle construction, qui abrite depuis 2010 la section manutention, a été primé « Bâtiment exemplaire » en Région bruxelloise.
Isolé selon les standards passifs, il est recouvert de panneaux solaires qui permettent de couvrir 30% des besoins en électricité du bâtiment. Quant aux déchets du jardin, ils sont compostés avant d’être vendus ou réutilisés – notamment – pour alimenter la chaudière du nouveau bâtiment. Toutes ces démarches savamment combinées font de la Ferme Nos Pilifs un véritable havre de paix au milieu de la ville.
Les habitants du quartier empruntent le sentier vert pour les promenades en famille, au milieu des chevaux, des boucs et des poules, déjeunent au restaurant les produits de la ferme, et font leurs achats d’aliments sains à l’épicerie. « Les activités sont ouvertes sur le quartier, insiste Benoît Ceysens. Le contact a toujours été favorisé entre nos travailleurs et le monde extérieur. » Au niveau financier, la Ferme parvient à couvrir 60% de ses besoins grâce à ses activités. Le solde est pris en charge par les pouvoirs publics pour compenser notamment le manque de productivité et les frais d’encadrement des travailleurs. « Plus personne ne vit aujourd’hui d’amour et d’eau fraîche, plaisante Benoît Ceysens. La dimension économique est primordiale pour la réussite de notre projet et la rencontre de nos objectifs. »

 

La Ferme donne de l’emploi à 150 travailleurs dont 120 sont atteints d’un handicap modéré. La Ferme Nos Pilifs reste une référence de solidarité en Belgique. En offrant la possibilité à une centaine de personnes handicapées d’accéder à l’autonomie en exerçant des métiers non seulement épanouissants mais aussi bons pour l’environnement, la Ferme a contribué avec d’autres à casser la logique de « gardiennage » des personnes handicapées. Niché dans un des derniers coins de campagne de Bruxelles, Nos Pilifs se veut un lieu de détente familial ouvert à tous. La sortie de terre de 300 logements aux portes mêmes de la ferme constitue pour ses responsables un véritable défi en terme d’intégration.

 

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Les Ateliers de la Bergerette : première ressourcerie avec zéro déchet

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Les Ateliers de la Bergerette est la première ressourcerie à avoir été créée en France.

Elle a inauguré le concept innovant qui allie geste citoyen et sensibilisation du grand public. En 2000, on réfléchit à la conceptualisation des activités de la Bergerette. Cela se cristallise sous la forme de 4 missions : Collecter, Valoriser, Revendre et Sensibiliser ; et initie la création d’un réseau national des Ressourceries, qui compte désormais 90 structures.

L’organisation du travail se fait autour de principes fondamentaux qui garantissent un équilibre et une cohésion d’équipe. Chaque individu et son travail sont considérés à part entière et sur un pied d’égalité. Aussi, salaire égal, répartition des tâches, font partie des règles empiriques ; l’écart entre les niveaux d’études (de BAC-8 à BAC+8) s’en trouve effacé.

Chaque salarié partage son temps entre un ou plusieurs postes spécifiques (ateliers de valorisation, éducation à l’environnement, administratif …) et des tâches réparties (collecte des objets, vente, accueil des usagers, ménage …). Le planqué derrière son ordi et celui qui remue la benne de déchets ne sont qu’une seule et même personne à deux moments de la journée. Cette division du travail permet de partager la pénibilité des tâches entre tous et de renforcer l’appréhension du travail de l’autre, son contenu et ses difficultés. La diversité des missions entretient un solide brise-routine. Chaque salarié fait partie d’un ou plusieurs pôles qui ont pour rôle d’organiser le fonctionnement du secteur d’activité. Un référent de pôle est élu chaque année afin de favoriser la communication dans et entre les pôles. Les décisions prises dans chaque pôle sont reportées lors des réunions collectives hebdomadaires. Ces dernières sont également le lieu des décisions qui sortent du champ des pôles ou qui engagent fortement la structure. Elles sont un lieu d’échanges parfois animés pour gérer des problèmes émergents. Les réunions collectives permettent de décider ensemble, mais aussi de diffuser les informations à tous : les tenants et aboutissants des décisions peuvent être obtenus par chacun.

Aujourd’hui, 17 salariés en CDI travaillent à la Bergerette, avec l’aide d’une dizaine de bénévoles et sympathisants proches. Plus de 500 tonnes d’objets sont manipulées chaque année, dont 85% sont redirigées vers le réemploi ou des filières de recyclage, le reste finissant en centre d’enfouissement.

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Plif plaf plouf : quand la crèche rencontre la maison de retraite

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Plif Plaf Plouf est une association de loi 1901 à but non lucratif dédiée aux structures d’accueil de la petite enfance. L’association a été créée par deux passionnées . Elle est une des premières associations à proposer un projet inter génération dans les Bouches du Rhône (Marseille).
La crèche Plif Plaf Plouf est intégrée aux locaux de la maison de retraite Saint-Maur qui bénéficie d’un cadre verdoyant. Un parcours de santé matérialisé existe déjà, pouvant servir de terrain d’entraînement et de « stade olympique ».
Toutes les semaines, trois générations se rencontrent pour des jeux sportifs : lancer de ballon, parcours dit « du combattant », jeté de cerceaux, etc.
En fin d’année, l’événement « les Olympiades » se déroule sur une journée. Sept équipes s’affrontent au cours des différentes épreuves ; à midi, elles déjeunent ensemble. Pour féliciter les athlètes, une remise de médailles a lieu à l’issue des rencontres, elle est suivie d’une tombola et d’une distribution de cadeaux.
La Crèche inter générationnelle de 25 places a 55 enfants inscrits et environ 50 séniors participants à plusieurs activités déjà mis en place. Les objectifs ont été atteints. Les personnes âgées ont totalement adhéré au projet. Leur participation a été totale et la complicité entre les trois générations était visible et indiscutable. Des liens se sont créés au sein de chaque équipe. Les cadeaux gagnés par les plus jeunes ont été offerts aux plus âgés. Certains participants sont restés en contact. Les chefs d’équipe continuent à venir à la crèche et à la maison de retraite. Nous pouvons désormais parler de relations réelles et non plus d’une « simple rencontre ».
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Ôkhra : transmettre les savoir-faire locaux du Vaucluse

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Le village de Roussillon, dans le Luberon, marque l’entrée de ce qu’on appelle parfois le « Colorado provençal » : le pays de l’ocre.
Un paysage à la beauté sauvage où les falaises des anciennes carrières composent une véritable symphonie de couleurs, du rouge sang au jaune vif.
Taillées au cœur du plus grand gisement ocrier du monde, elles témoignent d’une industrie longtemps active dans la région. Dans une ancienne usine de Roussillon construite en 1920 est installé « OKHRA », le Conservatoire des Ocres et des pigments appliqués, un lieu de pratique et d’apprentissage de la couleur.
Sa mission est donc d’accueillir toute l’année des stagiaires, amateurs ou professionnels, venus se former auprès d’experts.
Mais également de sauvegarder et de mettre en valeur le patrimoine industriel et technique, tout en organisant des circuits découverte dans la région.
Les cinq hectares de cet ancien site de lavage des ocres ont conservé tout leur caractère industriel, et les anciens moulins abritent notamment une étonnante « matériauthèque », ainsi qu’une très belle scénographie évoquant le passé du lieu. Mais pour faire revivre l’ocre, le Conservatoire des ocres et de la couleur a conçu un modèle inédit d’entreprise culturelle où sont associées dans une même coopérative d’intérêt collectif (Scic) l’ensemble des parties prenantes.
Elles conjuguent ainsi leurs efforts et leurs ressources afin de faire naître une nouvelle économie autour de ce patrimoine industriel et culturel qu’est l’ocre.
Résultats: 25 000 personnes ont franchi les portes d’Ôkhra en 2012.

Val bio Centre : tous dans le même panier

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Val Bio Centre est une association de loi 1901 qui regroupe des adhérents maraîchers et arboriculteurs biologiques de la région Centre.

Cette association a pour objectif de structurer la filière fruits et légumes biologiques en Région Centre. L’association Val Bio Centre compte désormais 37 producteurs de fruits et légumes bio, dont 8 jardins d’insertion, 1 Établissement et service d’aide par le travail, 1 lycée horticole et 27 fermes familiales, cultivant un total de 242 ha de plein champ et 10,70 ha sous serres en région Centre.

L’innovation de ce regroupement a été la mise en place d’un circuit de distribution à grande échelle de paniers de fruits et légumes bio, afin de conforter un modèle de production en agriculture locale (producteurs paysans), solidaire (insertion) et bio.  Ainsi, n’importe quel particulier peux commander au niveau national, par l’intermédiaire d’un abonnement, des paniers de fruits bio à l’année.

Près de 124.200 paniers ont été livrés en 2012, représentant un volume de 491 tonnes de fruits et légumes bio.  Elle a aussi permis de sauver des poubelles 630 tonnes de poissons depuis 2004, pour les redistribuer à des centaines de milliers de bénéficiaires de l’aide alimentaire et former 500 personnes en insertion.

Pour 2013, l’association a l’intention de poursuivre le développement de la production bio : appui technique renforcé, installation de nouvelles serres. L’activité « Colis Bio » va être développée afin de valoriser l’ensemble des productions, et aussi de créer de nouveaux emplois en insertion et pérenniser l’activité des structures d’insertion partenaires. Val Bio Centre souhaite créer davantage de partenariats avec ses points de dépôt, afin de contribuer à faire vivre leur activité à travers la sienne. L’association aspire aussi à créer plus de liens avec les consommateurs, à travers des supports ou évènements originaux et vivants… qu’il reste à inventer.

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"Joséphine" : Un salon de beauté solidaire de toutes les femmes

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Puisque « la beauté est un droit » selon Lucia Iraci, instigatrice du projet, ce salon au cœur de la goutte d’or à Paris dorlote des femmes en situation de précarité.

Dans le 18ème arrondissement, en plein cœur de la goutte d’or, le quartier le plus pauvre et multiethnique de Paris, Joséphine est un refuge pour des femmes en situation précaire. Jeunes mamans, au chômage, victimes de violences conjugales…Là bas, elles peuvent se faire dorloter, coiffer, maquiller, pour la somme symbolique de 3 euros. Victime de son succès, ce salon de beauté social et solidaire demande deux mois de délais pour obtenir un rendez-vous.

« 80% des pauvres sont des femmes. Parmi elles, les moins de 25 ans et les plus de 45 ans sont les plus vulnérables. C’est parce que cet état de chose m’est insupportable que j’ai décidé de leur venir en aide en créant l’association JOSEPHINE POUR LA BEAUTE DES FEMMES. », explique Lucia Iraci, instigatrice du projet, dans son blog dédié à son association.

Pour elle, la beauté est un droit pour toutes les femmes, et se faire belle est une manière de retrouver l’estime de soi, souvent perdue par ses femmes, pour qui, prendre soin d’elles, n’est plus une priorité.

Consultations médicales, soutien psychologique, assistance juridique, le salon a plus d’un tour dans son sac. Lorsqu’une femme se présente, après s’être mise en beauté, elle peut passer un entretien, et des bénévoles l’accompagnent dans ses démarches administratives ou médicales. Un beau projet qui a vu le jour en 2011, grâce à des partenariats comme l’Oréal, Maybelline, ou encore Meetic, et des dizaines de bénévoles qui viennent offrir de leur temps à ces femmes qui en ont besoin.

Déjà 2500 femmes ont été accueilli depuis l’ouverture en mars 2011. Chaque femmes dispose de quatre rendez-vous dans l’année.

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