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Rédaction

Les Alter mardis – Parlons solutions

By Les opérations médias, Partenaires associations11 Comments

Conviviaux et riches de sens, les Alter mardis – Parlons solutions, c’est l’afterwork… autrement !

Chaque mardi, en mettant l’accent sur les solutions et non sur la dénonciation des problèmes, le Groupe SOS et Ashoka permettent au grand public d’échanger avec des personnalités de renom et des inconnus qui agissent concrètement (dans des ONG, dans des entreprises, dans la société civile…) pour changer le monde de demain.

La tribune de ceux qui font bouger les lignes !

Pierre Rabhi, Reza Deghati, Maria Nowak, Jean-Marc Borello… Chaque mardi, venez rencontrer et dialoguer avec celles et ceux qui développent des solutions pour un monde plus solidaire. Les AMPS prouvent qu’une autre économie est possible et qu’à travers ces hommes et ces femmes qui s’engagent, elle existe déjà !

Les Alter mardis en chiffres :

Lancement en janvier 2009
6700 participants
42 événements sur des sujets variés (entrepreneuriat social, écologie, commerce équitable, insertion par l’activité, finance solidaire, mesure de l’impact social, tourisme solidaire, mobilité durable, engagement citoyen…)
Une communauté de 17000 membres informés chaque semaine de la programmation

Le Forum Social Mondial de Dakar

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Le Forum Social Mondial est le rassemblement de tous ceux qui luttent pour un monde plus solidaire, qu’ils soient ONG ou organisations politiques. Cette année, il aura lieu du 6 au 11 février à Dakar, Sénégal, sur le campus de l’Université Cheikh Anta Diop.

Chaque jour, environ 300 activités différentes seront organisées à travers des panels, des conférences et des ateliers où les participants échangeront leurs expériences, les réseaux et les bonnes pratiques.

Entre 20.000 et 60.000 participants sont attendus à la 11e édition du FSM et nombreuses personnalités comme Ignacio Lula Da Silva (ancien président du Brésil), Martine Aubry (première secrétaire du Parti socialiste français) Evo Morales (Président de Bolivia), ou Ségolène Royal (ancien candidat à la présidence française).

Lire le dossier de présentation du forum

Kantar Media

By Les opérations médias, Partenaires institutionnelsNo Comments

Depuis 2006, les veilleurs de TNS Media Intelligence (Groupe Kantar Media) repèrent dans le flot de l’actualité les articles susceptibles d’intéresser les journalistes de Reporters d’Espoirs.

Le mot de Nicolas Laugier, directeur du pôle Information de TNS Media Intelligence :

« Les experts du Pôle Information de TNS Media Intelligence scrutent l’actualité et analysent 24h/24 l’information pertinente. Les veilleurs de TNS Media Intelligence ont été séduits par la démarche spécifique de Reporters d’Espoirs : transformer le flux constant de l’information en une source constructive de solutions à répliquer et adapter. C’est une recherche exaltante au quotidien, dans le flot de l’actualité, pour repérer et sélectionner la pépite de l’information porteuse de solutions. »

"Passage à l'acte" avec Rue89

By Les opérations médias, Partenaires médias5 Comments

Rue 89 se concentre sur les sujets qui font parler, jaser, débattre, dans tous les domaines, de la politique au sport, en passant par les nouvelles technologies, la culture ou l’environnement…

Toujours à la recherche de solutions, Rue89 reprend des dépêches de Reporters d’Espoirs pour alimenter sa rubrique « Passage à l’Acte ».

Pour la rubrique « Passage à l’acte », Rue 89 et Reporters d’Espoirs ont remporté le 1er prix de la Coupe de l’Info dans la catégorie dévéloppement durable.

23 janvier 2010 : remise des trophées de la 4ème édition de la Coupe de l’Info, qui propose aux internautes d’élire les meilleurs blogs d’information. En savoir plus…

Le mot de Pascal Riché, rédacteur en chef Rue 89 :

« Rue89 et Reporters d’Espoirs se sont rencontrés pendant l’été 2007. Nous étions deux aventures très récentes, différentes dans leurs approches, proches dans leurs valeurs. Comme Reporters d’Espoirs, Rue89 est un site à la recherche de sens, d’idées et de solutions.

La rubrique « Passage à l’acte » était au cœur du lancement de notre site. De quoi s’agit-il ? De donner la parole à tous ceux qui apportent des idées concrètes. Nous avons voulu aller un peu plus loin que notre simple rôle d’observateur ou « d’animateur du débat », pour devenir les intermédiaires entre ceux qui proposent des solutions (chercheurs, associations ou simples citoyens…) et ceux qui ont les leviers en main (le chef d’entreprise, le politique…).

Nous avons demandé à Reporters d’Espoirs de nous aider à animer cette rubrique, qui se présente généralement en trois étapes: le problème, l’idée, la mise en pratique. Elle ne s’interdit aucun thème, de la santé à l’économie, en passant par l’environnement… Et si on achetait nos aliments directement au producteur ? Et si on faisait revivre les coopératives d’habitat ? Et si les entreprises passaient au covoiturage ? Et si on interdisait les numéros surtaxés ? Et si les entreprises arrêtaient de jeter leurs ordinateurs ?

Cette rubrique est ambitieuse : elle entend répondre à une frustration répandue, la multiplication des points de vue vains et des prises de position qui ne débouchent sur rien. Elle entend aider ceux qui portent des idées constructives dans l’indifférence générale et sortir le débat politique du cercle des recettes convenues. »

Les Artisans du Changement

By Les opérations médias, Partenaires institutionnels

Reporters d’Espoirs est partenaire de la série documentaire « Artisans du changement – saison 2 », diffusée sur TV5Monde et UshuaïaTV.

« Artisans du Changement » est une série documentaire télévisée internationale composée de 10 épisodes par saison. Produite par Lato Sensu productions, elle met en valeur des entrepreneurs sociaux innovants dont les parcours démontrent qu’il est aujourd’hui possible de concilier profit et développement durable. www.actfortheplanet.org

"C'est ma planète" avec Version Femina

By Les opérations médias, Partenaires médias

Depuis le 1er mai 2009, Reporters d’Espoirs anime la rubrique mensuelle « c’est ma planète » dans Version Femina.

Cette rubrique vous permet de découvrir des initiatives de proximité sur le modèle « Pourquoi pas vous ? ».

Le mot de Frédérique Préel, rédactrice en chef adjointe :

« Recherche volontaire pour changer le monde ». Tout est parti de ce livre coécrit par Laurent de Cherisey et les journalistes de Reporters d’Espoirs. Le titre m’avait interpellé. En chaque journaliste, n’y a t-il pas un idéaliste qui se cache ?
J’ai dévoré ce pavé en une nuit et au petit matin, je me suis dit qu’il fallait ABSOLUMENT faire quelque chose avec Reporters d’Espoirs. Nous devions avec eux braquer les projecteurs sur ces héros ordinaires qui sont prêts à soulever des montagnes pour que notre société aille mieux. Donner l’envie à nos lecteurs de se bouger, de reprendre à leur compte des solutions concrètes, d’en trouver d’autres et de les partager avec nous.
A Version Femina, nous pratiquions déjà l’information constructive à notre façon, notamment à travers notre prix « les Femmes Version Femina ». Il était donc logique qu’avec Reporters d’Espoirs, nous finissions par nous rencontrer…
Quelques mois plus tard, dans le premier numéro de l’année 2009, notre premier bébé commun était né : un article intitulé « 10 initiatives qui font bouger la France ». Les réactions furent positives tant du côté des lecteurs que de l’équipe.
Pas question d’en rester là…
Il fallait transformer cet essai. Une rubrique mensuelle ?
Chiche! Fort de notre ancrage régional, nous voulions parler d’environnement, de solidarité, de développement durable de manière extrêmement concrète. Pari réussi grâce à Reporters d’Espoirs. « C’est ma planète » propose chaque mois une initiative originale en France ou à l’étranger, « la bonne idée » que nos lecteurs peuvent reprendre à leur compte grâce à « Pourquoi pas vous ? », un mode d’emploi très pratique.
Nous avons ainsi mis à l’honneur les composteurs en immeuble, les cuisinières collectives au Québec, le WWOOF, ce réseau international permettant à des producteurs bios d’accueillir des voyageurs…
Nos lecteurs sont ravis. Nous aussi. L’information porteuse de solutions a encore de beaux jours devant elle à Version Femina. »

Quatre fondations solidaires pour l’emploi

By Les opérations médias, Partenaires institutionnelsNo Comments

Les Fondations Société Générale pour la Solidarité, La Mondiale, Veolia Environnement et VINCI pour la Cité sont solidaires pour l’emploi.
Le temps d’un ouvrage, entièrement rédigé par Reporters d’Espoirs, elles se sont réunies pour décrire les liens qui les unissent aux projets qu’elles soutiennent : du coup de pouce à l’innovation, à la relation de confiance, à la coopération économique…

www.professionnel.ag2rlamondiale.fr/fondation/La Fondation d’entreprise La Mondiale intervient prioritairement dans deux domaines : l’économie sociale et solidaire et l’éducation. Ses interventions suivent un fil conducteur : contribuer à l’autonomie sociale et économique des individus pour renforcer les solidarités collectives. Objectif : oeuvrer, en complément de l’action publique et associative, pour fournir à ceux qui en ont besoin les clés d’un nouvel avenir.

La Fondation d’entreprise Veolia Environnement soutient, en France et à l’étranger, des projets d’intérêt général concourant au développement durable. Solidarité, insertion professionnelle et environnement sont ses domaines d’intervention prioritaires. La Fondation développe également un mécénat de compétences pour apporter des savoir-faire aux associations ou institutions qui interviennent sur le terrain de l’urgence et de l’humanitaire.

www.societegenerale.com/fondation-solidariteLa Fondation d’entreprise Société Générale intervient en faveur de l’insertion professionnelle, autour de deux axes : l’aide à l’entrée des jeunes dans la vie active et la lutte contre l’illettrisme, en privilégiant les projets tremplins : accompagnement vers l’emploi, chantiers ou entreprises d’insertion, découverte du monde de l’entreprise…

www.fondation-vinci.comLa Fondation d’entreprise VINCI pour la Cité agit contre toutes formes d’exclusion : accompagnement vers l’emploi, développement de la solidarité… Elle accompagne les acteurs du social grâce à l’engagement et au professionnalisme des collaborateurs du Groupe. Ces parrains apportent leurs compétences sur des besoins concrets dans la durée.

> télécharger l’ouvrage

La culture banlieue dans les médias : une fabrique de clichés ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Elle stigmatise les peurs, focalise les clichés, ne laisse personne indifférent et pourtant elle demeure une grande inconnue, incomprise et malmenée par les médias et l’inconscient collectif. La banlieue n’a pas dit son dernier mot et s’est invitée mardi 1er mars au 32ème « Alter Mardis : Parlons solutions ». François Durpaire, historien spécialiste de la diversité et fondateur du Mouvement Pluricitoyen, Christophe Nick, journaliste et réalisateur de la série documentaire remarquée « Chroniques de la violence ordinaire », Bams, artiste, chanteuse Hip-hop, Erwan Ruty, fondateur de Ressources Urbaines et Mabrouck Rachedi, écrivain, co-auteur en 2010 de « La petite Malika ». Tous se sont interrogés sans tabou sur le concept même de « culture-banlieue », son exploitation par le prisme médiatique et sur la réalité sociale, raciale et culturelle des quartiers populaires. Animé par Marc Cheb, le rédacteur en chef de Respect Mag, le débat a offert à chacun l’opportunité d’apporter sa contribution dans un souci de mieux appréhender la richesse et les dysfonctionnements qu’elle présente. La banlieue n’est pas toujours là où on l’attend et n’est jamais celle que l’on croit !

Allumez votre poste de télévision, ouvrez les pages fait-divers et société d’un grand quotidien. Un constat éclair s’impose :la banlieue prend toute la place et répond injustement aux « doux » noms de violence, misère, discrimination, insécurité et émeutes. Comment ne pas se sentir conditionné par un discours préfabriqué et simplifié qui, par déformation professionnelle et manque de professionnalisme, tend à matérialiser et « ghettoïser » les problèmes de notre société ? La question n’est définitivement pas de savoir s’il faut ou non parler de banlieue dans les médias, mais de savoir comment le faire.
Le terme « culture banlieue » est lâché pour la première fois par Arlette Chabot au cours de l’émission politique « A vous de juger » qu’elle anime. Employer cette formule hasardeuse revient à définir un espace de vie par comparaison, par exclusion par rapport à la ville. L’exemple de la banlieue parisienne démontre que tout est banlieue hors Paris ! Plus de 90% de Franciliens s’y côtoient avec une diversité colossale et une richesse en termes d’habitat, d’activités, de population, de moyens de communication et de sociologie. La localisation géographique des personnes ne devrait en aucun cas caractériser les individus, mais plutôt ce qu’ils font.
L’enquête de Pierre Péan et Christophe Nick sur le plus puissant médium d’Europe a révélé un certain acharnement à l’encontre des quartiers populaires dans le traitement de l’information, qui ne sont recouverts qu’en termes de menaces. Erwan Ruty rappelle que les JT ont fabriqué la banlieue « ANPE » puis la « banlieue Police/justice ». Une certaine paranoïa semblerait toucher le milieu journalistique qui éprouve des difficultés à aller chercher l’information, à prendre un certain recul. Si le fondateur de Ressources Urbaines évoque aussi une certaine « lepénisation des médias », par la déferlante médiatique s’abattant sur les banlieues dès qu’il s’agit d’aborder des problèmes de violence et d’insécurité, il se félicite en revanche de constater que les thèmes des violences faites aux femmes et des discriminations squattent les débats. Les fictions, les émissions, les journaux télévisés et la sphère politique font la part belle aux origines diverses, mais pour François Durpaire, « ça n’est pas tant la représentation qui compte mais plutôt le discours. Ca n’est pas la personne de couleur lisant un prompteur qui importe, mais celle qui l’écrit.».

Les dénommées banlieues se révèlent être un vivier culturel extrêmement riche. Musiciens écrivains, artistes, tous se sentent malheureusement étiquetés. Leur art demeure réduit à leur zone géographique, comme cloisonné et le terme banlieusard ou l’expression « black, blanc, beur » les attend au tournant. Mabrouck Rachedi déplore que les médias tombent dans le cliché catastrophiste ou dans la représentation hyper positive, quant ils ne se trompent pas d’angle : « on parle souvent de l’action sociale réalisée dans les quartiers difficiles et trop peu des œuvres culturelles réalisées ». L’artiste et chanteuse Bams a souffert de l’étiquette banlieue. Les médias qui la présentent comme « l’intelligente », par la richesse des textes de ses chansons, l’ont coupée d’une partie de son public. Pas assez « ghetto » pour les gens du quartier et trop rap pour les autres, sa musique multi inspirations, pluri courants, aux influences très métissées, ne rentre pas dans un catalogue prédéfini et imposé. « En France, les gens veulent bien de notre culture, si on reste à notre place ! », conclue Bams.

Pour contrer les non-sens, les clichés et les non dits et/ou mal dits, les médias alternatifs s’imposent en montrant sans peur ni faux semblant la réalité et le quotidien des quartiers populaires, à l’image de Ressources Urbaines, agence de presse des quartiers fondée par Erwan Ruty. Le changement des mentalités passera par l’ouverture du traitement de l’information des banlieues aux banlieues.

En savoir plus sur les AMPS

Connaître les prochains AMPS

Discrimination à l'embauche : et si on recrutait autrement ?

By Partenariat Rue89No Comments

Depuis une dizaine d’années environ, les pouvoirs publics et les entreprises ont lancé un certain nombre d’initiatives en faveur d’une meilleure prise en compte de la diversité dans le monde du travail.

Un mouvement favorisé par la création de la Halde et la mise en place de la Charte de la diversité en 2004, ou bien encore la création du label diversité en 2008. Des mesures qui n’empêchent pas la persistance des discriminations sur le terrain.

L’idée

Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

En 2010, seuls 3% des actifs travaillaient dans des entreprises labellisées diversité, généralement au sein de grands groupes ;
fin 2010, 9,3% de la population active était sans emploi (23,3% des 15-24 ans – 8% si l’on met de côté les jeunes qui suivent un cursus scolaire, selon Eric Heyer, directeur adjoint au département analyse et prévision de l’OFCE – et 6,1% des 50 ans et plus, selon l’Insee) ;
77% des jeunes occupent un emploi trois ans après la fin de leurs études, un chiffre qui tombe à 66% quand les deux parents sont nés à l’étranger.
Globalement, les études montrent que l’âge, l’origine ethnique et le handicap sont les premiers facteurs (PDF) de discrimination à l’embauche.

Pourtant, selon une étude du réseau IMS-Entreprendre pour la cité (PDF), la diversité des ressources humaines pourrait augmenter la rentabilité de 5 à 15 %, selon les types d’activité. (Télécharger l’étude « Diversité du capital humain et performance économique)

Ce que confirme Françoise Dissaux-Doutriaux, spécialiste des RH. Pour elle, la diversité est une nécessité pour faire face à la pénurie prochaine de ressources, et “ un atout en termes de compétitivité : c’est rarement de l’uniformité que naissent la créativité, l’innovation, l’ouverture ”.

Il est donc urgent d’inclure effectivement la diversité dans les processus de recrutement.

Parmi les recommandations préconisées dans le rapport sur la diversité dans l’entreprise (PDF), remis au gouvernement en juin 2010, figurent :

la promotion de la méthode de recrutement par simulation (MRS),
une meilleure prise en compte de la diversité dans la commande publique.
Mais c’est aussi sur le terrain que l’on voit naître des initiatives innovantes.

Lire la suite de l’article sur le site de Rue89

En savoir plus sur les Passages à l’acte

 

Et si les surendettés pouvaient garder un compte bancaire ?

By Partenariat Rue89No Comments

Lorsqu’en décembre dernier Eric Cantona a lancé son « bank run », de nombreux commentateurs l’ont critiqué : impossible aujourd’hui de se passer d’un compte bancaire pour participer activement à la vie de la société.

Et pourtant, il existe des Français qui n’ont pas accès aux services bancaires de base, comme une carte de retrait ou un compte sur lequel encaisser leur salaire. Il s’agit des personnes surendettées, titulaires d’un plan de redressement.

Certes, théoriquement, la loi Lagarde de juillet 2010 leur reconnaît désormais le droit à garder un compte. Mais dans les faits, d’après la Fédération française des associations Cresus (chambres régionales du surendettement social), aucune banque n’a encore mis noir sur blanc ses engagements.

Dans d’autre pays européens, en revanche, le « droit au compte » pour les surendettés est déjà une réalité.

L’idée

En Autriche, par exemple, la Erste Stiftung, fondation du groupe bancaire autrichien Erste, a ouvert en 2006 la Zweite Sparkasse, littéralement la « seconde caisse d’épargne », une véritable « banque de la deuxième chance ».

Car la Zweite Sparkasse n’accepte comme clients que les personnes surendettées, auxquelles elle propose :

un compte chèques sans autorisation de découvert,
une carte de paiement,
la possibilité de faire des virements,
une assurance dommages pour 27 euros par an (remboursés à la clôture du compte).
Le tout pour une durée limitée à trois ans. Un accès privilégié à un compte épargne, un prêt immobilier et une assurance logement à 3 euros par mois sont également proposés.

Lire la suite de l’article sur le site de Rue89

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