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Rédaction

Et si les entreprises prêtaient leurs salariés aux associations ?

By Partenariat Rue89No Comments

Baisse des subventions publiques, chute des dons de particuliers… les associations vivent des heures difficiles, tandis qu’on leur demande de plus en plus de se professionnaliser. Mais depuis quelques années, grâce au mécénat de compétences, elles trouvent dans les entreprises un renfort de poids pour rendre leurs structures plus performantes.
L’idée

Le mécénat de compétences repose sur le transfert gratuit de compétences de l’entreprise vers la structure soutenue, par le biais de salariés intervenant volontairement sur leur temps de travail. Juridiquement, il est assimilé à la mise à disposition de personnel, dans le cadre d’une prestation de services ou d’un prêt de main d’œuvre, les bénéficiaires devant être des structures d’intérêt général.

Depuis la loi Aillagon du 1er août 2003, l’entreprise peut déduire 60% du salaire et des charges sociales de l’employé en mission de mécénat de l’impôt sur les sociétés, dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaires.

Bénédicte Menanteau, déléguée générale d’Admical, association qui milite pour le développement du mécénat en France, explique :

« Les grandes entreprises ont commencé à mettre en place ce dispositif dans les années 2000. Et aujourd’hui, de plus en plus de PME réalisent que c’est à leur portée. »

Selon une étude Admical-CSA publiée en octobre 2010, sur l’ensemble des entreprises mécènes (dont 85% sont des PME), 21% pratiquent le mécénat de compétences.

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Le microcrédit peut-il tenir ses promesses ?

By EconomieNo Comments

Sujet très en vogue, tantôt pointé d’un doigt accusateur, tantôt divinisé, le microcrédit déchaîne les passions et soulève les foules. Et foule il y avait au Comptoir Général, en ce mardi 18 janvier, pour la première conférence consacrée au thème de « L’argent et l’autonomie ». Jean-Luc Perron, délégué général de la Fondation Grameen Crédit Agricole, Arnaud Poissonnier, fondateur du site Babyloan.org, Frédéric Tailler, secrétaire général de Crédit@People et François Dechy, directeur délégué de France Active Financement, ont tenté de faire la lumière sur le bien-fondé et les enjeux de cet outil révolutionnaire.

Nos quatre invités ont choisi de répondre en premier lieu aux inquiétudes que le microcrédit soulève et aux amalgames qui s’y mêlent. A la question : la crise financière a-t-elle affecté la sphère de la microfinance ?, nos spécialistes rappellent que les institutions de micro finance (IMF), subventionnées aux 3/4 par le système local, et agissant régionalement dans l’économie rurale, sont protégées des pressions extérieures. Pas d’effet domino, de contagions des dysfonctionnements d’un pays à un autre, puisque chaque marché de la microfinance se fonde sur l’autonomie. Le spectre des subprimes se retrouve quant à lui bel et bien écarté par la nature même du microcrédit qui prône une connexion entre financeurs et bénéficiaires.

Cependant, tout n’est pas rose et replacer l’outil dans sa réalité géographique permet d’appréhender les difficultés auquel il se heurte. François Dechy insiste : « c’est une technologie du Sud reprise au Nord ». Les dérives Indiennes, teintées d’introduction en bourse, de détournement en crédit à la consommation, de surendettement et de suicides en série ne pourraient se produire dans nos pays du Nord. Tout simplement parce qu’à des banques peu présentes, voire inexistantes pour les catégories sociales les plus fragiles, s’oppose une économie du Nord, dépendante d’un système bancaire très puissant. À l’emploi plus ou moins informel s’oppose l’emploi salarié des pays occidentaux. La concurrence se fait donc féroce pour les IMF du Sud et tend à dénaturer l’objectif  initial du micro-crédit, pensé il y a plus de 30 ans par l’économiste bangladais et prix Nobel de la paix Muhammad Yunus: prêter aux plus démunis pour concrétiser des microprojets et favoriser la création de richesse.

Mais comment expliquer que les plus démunis voient leurs taux d’intérêts atteindre en moyenne 25% alors que ceux des pays développés ne dépassent pas, bien souvent, les 3% ? Nos quatre experts parlent de « composition en mille feuille », de « raisonnement en termes de supportabilité et non en valeur absolue ». La constitution même du microcrédit varie entre le Nord et le Sud. Les taux élevés des pays du Sud s’expliquent par le coût de refinancement des institutions, renforcés par des taux d’inflation importants, le coût de la main d’œuvre (suivi des  clients vivant dans des zones parfois éloignées), et les coûts de fonctionnement (biens et besoins matériels souvent importés).

Comment panser le microcrédit d’aujourd’hui et penser celui de demain ? Tendre à une réponse complète, qui passe à la fois par le crédit et à la fois par la microépargne et la microassurance, limiteraient les dérives. Le microcrédit ne peut se faire appeler comme tel sans connaissance et accompagnement de l’emprunteur. L’approche sociale sera au cœur des débats des prochaines années, alors que des formes ingénieuses de microprêt s’épanouiront, à l’image des «peer-to-peer lending», tel le français Babyloan.org.

Aude Serra (Alter Mardis – Parlons solutions)

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Le Crédit Coopératif s'applique à lui même une "taxe Tobin"

By EconomieNo Comments

Taxer les transactions financières à un taux très faible, c’est l’idée lancée en 1972 par l’économiste américain James Tobin pour lutter contre la spéculation. Son idée a depuis été reprise par de nombreux économistes comme Joseph Stiglitz ou Lawrence Summers, ainsi que par l’association altermondialiste ATTAC. Une telle taxe, si elle était instituée à un niveau international, comporterait le double intérêt de lutter contre une trop grande liquidité des marchés financiers, et de dégager des fonds pour l’aide aux citoyens. Avec la crise économique de 2008, cette idée a connu un retour en force, mais de nombreux pays, à commencer par les Etats-Unis, se sont opposés à la mise en place d’une telle taxe.

Dans son programme d’émission déposé à l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) en mai 2010, le Crédit Coopératif a inscrit la possibilité de mettre en place un système de « quote-part solidaire », c’est à dire de reverser un très faible pourcentage de ses opération financières à des organismes d’intérêt général. Ainsi, sur l’emprunt obligataire de plusieurs dizaines de millions d’euros qu’il vient de réaliser, le Crédit Coopératif a reversé 0,02 % du montant récolté, soit 10 000€ au CCFD-Terre Solidaire, par ailleurs partenaire de la banque depuis près de 30 ans.

Cette contribution de la part du Crédit Coopératif est volontaire et n’est donc pas assimilable à une taxe. Néanmoins, elle reprend un des principes de la taxe Tobin : en prélevant une minuscule part de transactions financières au volume énorme, on peut dégager de sommes conséquentes pour soutenir l’action des organismes d’intérêt général.

Espérons que l’initiative du Crédit Coopératif fasse des émules, et que cette pratique se généralise.

Lire le communiqué du Crédit Coopératif

Garde d'enfants : si on s'adaptait à la vraie vie des parents ?

By Partenariat Rue89No Comments

Faire garder son enfant après l’école quand on a un budget limité et des horaires décalés est un vrai casse-tête. Môm’artre, un système de garde solidaire, tente de le résoudre.
L’idée
16h30, sortie des cours et début de la galère pour les parents. Comment faire garder son enfant jusqu’au retour du travail ?

Les plus chanceux choisissent l’étude jusqu’à 18 heures.
D’autres font appel à une baby-sitter, une solution confortable mais onéreuse.
Des options qui restent très compliquées pour certains, en premier lieu les parents, souvent des mères, qui élèvent seuls leurs enfants. C’est le cas pour 27 % des familles à Paris.

Car à des difficultés financières (près de 40 % des foyers monoparentaux de la capitale sont pauvres) s’ajoute souvent le fait de devoir jongler avec des horaires tardifs ou décalés.
Il était donc urgent de mettre en place un système de garde innovant pouvant répondre à ces nouvelles contraintes familiales.

Ainsi est né Môm’artre, une association créée en 2001 par Chantal Mainguené, alors maman célibataire.

Comment la mettre en pratique ?

La première antenne de l’association a vu le jour en 2001, dans le XVIIIe arrondissement. Chaque soir, dès 16h30, les salariés, tous artistes de formation, récupèrent les enfants, âgés de 6 à 11 ans, à la sortie de quatre écoles du quartier.

Viennent ensuite le goûter et les devoirs avant de passer aux choses sérieuses : les ateliers artistiques. En effet, pour Chantal Mainguené, véritable passionnée, l’art est au coeur de la démarche.

Du lundi au vendredi, les enfants apprennent donc la sculpture ou s’adonnent à la peinture. Et ce jusque 20 heures.

« Cette ouverture tardive est une réelle demande des familles parisiennes que la ville ne peut pas se permettre financièrement, car cela voudrait dire embaucher du personnel en plus ou facturer des heures supplémentaires », souligne Violaine Trajan, adjointe à la Petite enfance de la mairie du XVIIIe arrondissement.

« Môm’artre répond donc à une vraie problématique sociale tout en démocratisant l’accès à la culture. »

Car l’association présente une autre particularité : sa tarification solidaire. Les femmes célibataires et précaires sont le cœur de cible du projet. Les tarifs sont donc dégressifs selon les revenus, allant de 10 centimes à 8 euros de l’heure. Chantal Mainguené explique :

« Pour inscrire son enfant, chaque foyer dépose un dossier avec le montant de ses revenus, la composition de la famille… Nous essayons de prioriser les plus en difficulté tout en maintenant un équilibre dans le budget. »

Et cela fonctionne : sur les 235 familles adhérentes à l’association, près d’un tiers sont des foyers monoparentaux. Parmi eux, la moitié gagne moins que le Smic. L’association s’appuie sur des subventions publiques et privées pour compléter son budget.

Dix ans après son ouverture, Môm’artre accueille près de 250 enfants à Paris et comptera trois antennes dans la capitale à la rentrée 2011. Un réseau s’est constitué pour faciliter l’essaimage du modèle. Chantal Mainguené :

« Nous avons rédigé des process à disposition des porteurs de projet Môm’artre. Et nous les accompagnons à chaque rendez-vous important, entre autres pour convaincre les institutions. »

Quatre personnes travaillent actuellement sur de nouveaux centres, notamment à Arles et à Nantes.

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Après-pétrole : et si les habitants initiaient la transition des villes ?

By Partenariat Rue89No Comments

Les « villes en transition » imaginent la cité de l’après-pétrole, moins dépendante de l’or noir. Une initiative citoyenne d’origine anglo-saxonne qui essaime désormais en France.
L’idée

Un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) l’a prouvé récemment : les ressources de pétrole s’épuisent indéniablement.

Pire, selon l’AIE, le pic pétrolier, cette phase où la production de pétrole conventionnel sera en déclin par rapport à la demande, serait désormais atteint.

Si l’Agence rassure en tablant sur la découverte et la mise en production de nouveaux champs, le constat est là : il faut dès à présent penser la ville de demain, moins dépendante de l’or noir.

Mais comment envisager l’après-pétrole sans tomber dans le catastrophisme ? Les partis politiques écologiques ont du mal à mobiliser et tous les citoyens ne se reconnaissent pas dans les mouvements associatifs ou décroissants.

La solution : susciter au sein de la communauté un mouvement de réflexion et d’action, s’appuyer sur les ressources et les compétences locales, afin de mettre en place et de diffuser au niveau local les bonnes pratiques.

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Table ronde : Comment faire d’un sujet local une actualité nationale ?

By Revue de presseNo Comments

Cette table ronde organisée par Reporters d’Espoirs et la Sncf à l’occasion de la remise des prix du concours « Information et territoires », était animée par Jacques Trentesaux, rédacteur en chef adjoint à l’Express, service régions

Avec :
Lucie Montchovi, journaliste à France Info, responsable de la rubrique « initiatives »
Jean-Jacques Basier, chef du service enquêtes et reportages de France 3
Frédéric Karpyta, chef du service société au magazine Ça m’intéresse
Alain Piffaretti, rédacteur en chef de la Gazette des Communes
Claire Moreau-Shirbon, rédactrice en chef des journaux d’Amiens Métropole
Jean-François Lanneluc, directeur général adjoint en charge de la communication à la mairie de Strasbourg
et François Goudenove, directeur de la coopérative Websourd

Tous les intervenants de la table ronde partagent le même constat, celui d’une certaine incompréhension entre les journalistes nationaux et les responsables de communication des collectivités. Alors que ces professionnels devraient logiquement collaborer et se compléter, la distance, voire la méfiance priment. Mais aux antipodes du fatalisme, cette discussion entre journalistes et responsables de communication territoriale a permis de faire émerger des pistes pour surmonter le problème.

« La presse nationale française est parisianiste » : les journalistes eux-mêmes le reconnaissent, ils ont une tendance à privilégier l’actualité parisienne. Jacques Trentesaux admet volontiers que les jeux politiques par exemple bénéficient d’une priorité par rapport aux initiatives locales. Les contraintes matérielles facilitent également les reportages en Ile de France, comme le rappelle François Goudenove. Mais selon Alain Piffaretti, la raison de la myopie des médias parisiens est plus profonde : « Les journalistes pensent encore comme il y a 25 ans, ils n’ont pas pris la mesure de la décentralisation. Aujourd’hui l’Etat n’a plus d’argent pour initier les projets. Les collectivités locales représentent 70% de l’investissement public et influent énormément sur le quotidien des gens. »

Les journalistes doivent évoluer et s’intéresser davantage à l’actualité des régions, mais les chargés de communication des collectivités ont également un grand rôle à jouer pour leur faciliter le travail. Frédéric Karpyta peut en témoigner : « Je reçois des centaines d’emails des services de communication pour me donner des informations qui ne m’intéressent pas. Le lancement de l’agenda 21 d’une commune, c’est purement institutionnel, il n’y a rien d’innovant. »

Il n’est pas facile de sélectionner les infos locales dignes d’être relayées à l’échelon national. Jean-Jacques Basier donne quelques clés de succès : « Pour qu’une info locale soit reprise, il faut absolument qu’elle soit innovante, et qu’elle soit dans l’actualité. Quand Nicolas Sarkozy lance un grand chantier sur la dépendance, c’est le moment de faire remonter les initiatives sur ce sujet, car les journalistes ont besoin d’en parler. »

Jacques Trentesaux va même plus loin : « Il  faut anticiper sur l’actualité, surtout avec les hebdomadaires et les mensuels, qui bouclent très en amont leurs dossiers ».

Comment faire d’un sujet local une actualité nationale ? Partie 1

Une fois qu’on a repéré l’info qui fera mouche, encore faut-il savoir la mettre en forme. A ce titre, les conseils de Jean-François Lanneluc valent de l’or : « Il faut mettre en avant l’aspérité de votre sujet, ce qui le différencie des autres. Et il faut aller droit au fait, dès la première ligne de votre communiqué ! Ça  ne sert à rien de resituer dans le contexte de la politique générale de la collectivité, car vous délayez l’info dans la littérature et vous lâchez votre lecteur. »

Autre conseil avisé, repris par plusieurs intervenants : il est important de connaître personnellement les journalistes qui couvrent une région ou une rubrique spécialisée et d’établir avec eux, à froid, des liens qui pourront s’avérer utiles quand viendra le moment de pousser une information. Mais à ce moment là, il ne faut pas se contenter d’envoyer juste un mail, selon Jean-Jacques Basier : « Je vous conseille le harcèlement : il faut appeler et rappeler jusqu’à ce qu’on vous réponde ! »

Autre précision utile aux services de communication : selon Jacques Trentesaux « les journalistes réagissent très mal quand ils ont l’impression qu’on leur demande de faire de la publicité pour un élu local. Mais quand un journaliste parle d’un projet, il a besoin d’interroger une personne responsable. Donc vous avez tout intérêt à mettre plutôt en avant le projet lui-même, car la plupart du temps, si le projet intéresse le journaliste, ce sera l’occasion de faire s’exprimer le responsable politique. »

Comment faire d’un sujet local une actualité nationale ? Partie 2

Lucie Montchovi s’étonne cependant de ne jamais être contactée par des journalistes de presse locale pour lui faire remonter des informations. Réponse de Claire Moreau-Shirbon : « Quand vous travaillez dans un journal local, en fait vous n’avez pas besoin de faire remonter des informations au niveau national. Tant que les résidents de votre région ont l’information, ils sont satisfaits.»

Au contraire, Jean-François Lanneluc explique, en s’appuyant sur son expérience, que faire passer l’information dans les médias nationaux peut être un formidable appui pour une collectivité : «Quand Strasbourg a lancé son tramway, ça a été assez difficile à faire accepter aux habitants. Les journaux des collectivités vantaient l’innovation, et les journaux locaux relayaient les polémiques, mais on n’arrivait pas à faire tout à fait consensus. C’est au moment où la presse et la télévision nationales ont commencé à en parler que le consensus populaire s’est fait en faveur du tramway.» D’où l’intérêt que les journaux locaux et les services de communication travaillent en étroite coordination, pour repérer les initiatives locales pertinentes et les relayer à plus grande échelle.

A l’issue de cette table ronde très animée où les différents points de vue se sont complétés, chacun a pu repartir avec une conviction : il est essentiel de se connaître mutuellement et d’intégrer les contraintes respectives des uns et des autres.

Associations amies

By Les opérations médias, Partenaires associationsNo Comments

Leurs activités sont en résonance avec la démarche Reporters d’Espoirs.
Ensemble nous avons le projet de porter les acteurs de demain.

ACIDD – association communication et information pour le développement durable – a pour vocation d’accélérer la diffusion des idées et outils novateurs répondant aux enjeux de développement durable. Cette association a but non lucratif contribue à la création de liens entre les individus et les réseaux, l’expérimentation de nouvelles formes de collaborations et de communication et la concrétisation de projets de développement durable. www.acidd.com
ADMICAL a pour objet de promouvoir le mécénat d’entreprise en France dans les domaines de la culture, la solidarité, l’environnement, la recherche et le sport.
Admical informe sur le mécénat d’entreprise, conseille les entreprises mécènes et forme entreprises et porteurs de projet au mécénat. www.admical.org
AFEV, association de la fondation étudiante pour la ville, organise l’intervention d’étudiants bénévoles auprès d’enfants des quartiers populaires en difficulté scolaire. Deux heures par semaine, dans le cadre d’un accompagnement individualisé basé sur une posture d’égalité et de confiance, l’étudiant cherche à remobiliser l’enfant dans son parcours scolaire et à l’ouvrir sur de nouveaux horizons culturels, professionnels, sociaux. www.afev.org
ALTER ECO souhaite maximiser les ventes du Commerce Equitable via la grande distribution à travers une approche attrayante et en donnant le maximum de garanties au consommateur quant à la qualité des produits. Ces produits, majoritairement issus de l’agriculture biologique, sont l’alliance subtile d’un savoir-faire traditionnel et d’une qualité d’origine exceptionnelle. www.altereco.com
@priles, agence des pratiques et des initiatives locales, s’adresse à tous ceux qui veulent échanger, partager et concevoir des actions locales. Espace de dialogue favorisant l’échange et le débat, boîte à idées, d’information et de documentation : @priles est un lieu d’engagement entre tous ceux qui ont la volonté d’agir et de faire évoluer l’action sociale. www.apriles.net

ASHOKA, Entrepreneuriat Social et Innovation,
a pour objectifs de sélectionner et d’accompagner dans leur développement des Entrepreneurs Sociaux novateurs, de les faire travailler ensemble en finançant des collaborations thématiques et de contribuer à l’évolution du secteur de l’entrepreneuriat social dans le monde.
www.ashoka.fr
AVISE a pour vocation première de faciliter, soutenir et promouvoir les initiatives entrepreneuriales. Centre de ressources transversal et fédérateur, son action touche toute structure développant une activité socialement utile (associations, structures de l’IAE, mutuelles) et/ou gérée selon des principes de démocratie participative (coopératives).
L’Agence s’adresse aux porteurs de projets, aux promoteurs d’initiatives au carrefour du social et de l’économique, ainsi qu’à leurs réseaux. www.avise.org

BABYLOAN, 1er site web français de « micro-crédit » solidaire
, permet à des internautes du Nord de prêter de l’argent à des entrepreneurs du Sud pour qu’ils puissent réaliser leurs projets. Ainsi, des milliers de prêteurs solidaires parrainent des centaines de micro-entrepreneurs de pays en développement. Un site éducatif présente la microfinance, ses mécanismes, ses enjeux et ses défis.
www.babyloan.org

COLIBRIS, mouvement pour la terre et l’humanisme
, encourage, relie et valorise les initiatives qui placent l’être humain et la nature au cœur des priorités.
www.colibris-lemouvement.org
Les Espoirs du Management identifient, valorisent et récompensent, partout en France, dans les entreprises et les administrations, des initiatives managériales créatrices de richesse tant pour l’entreprise que pour les collaborateurs. Depuis 2006, ce Trophée est devenu une référence auprès de nombreux managers français et prévoient de s’exporter en Europe et en Asie. http://edm.squarespace.com
Ethicum est une association reconnue d’intérêt général dédiée à l’Ethique d’Entreprise et des Affaires dans le but de promouvoir la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE). Son slogan : Echanger – Evoluer – s’Enrichir. Les membres de l’Association organisés en EthiClubs organisent des réunions régulières au cours desquelles sont débattus des thèmes liés au management, au développement et à la communication des entreprises sur fond d’éthique et de RSE. http://ethicum.org/
Fédération ENVIE : depuis 1984, le réseau d’entreprises d’insertion Envie re-qualifie professionnellement et socialement des personnes en situation d’exclusion.
Par une activité de collecte, de rénovation, de vente ou de traitement des appareils électroménagers le réseau a accueilli en 2007 plus de 1400 salariés en insertion.
www.envie.org
La Guilde Européenne du Raid est une ONG reconnue d’utilité publique créée en 1967, qui s’implique avec les populations des terres lointaines confrontées aux difficultés. Elle suscite et soutient les initiatives aventurières et solidaires, par des « Dotations de Solidarités Nord-Sud » pour des micro-projets de développement, et par des des « Bourses de l’Aventure » pour des projets de découverte. Chaque année, la Guilde envoie des centaines de volontaires de courte ou longue durée à travers le monde. www.la-guilde.org
IMS – Entreprendre pour la Cité – fédère un réseau de 200 entreprises qu’elle accompagne dans leur démarche d’engagement sociétal : l’association les aide à développer des initiatives favorisant la cohésion et l’équité sociale sur les territoires où elles sont implantées (promotion de la diversité, partenariats solidaires, soutien au développement socio-économique local…).
Depuis 2005, l’IMS héberge également le Secrétariat général de la Charte de la diversité, initiative qui compte aujourd’hui 2400 entreprises signataires. www.imsentreprendre.com
Multicap - Le monde secret du handicap : suivez notre explorationAssociation {accolade} – Projet de rencontres internationales autour du handicap Multicap.Changez votre regard sur le handicap à travers des rencontres « handi-valides » et des réalisations audiovisuelles.
– 1ère étape à San Francisco avec l’Independant Living Resource Center qui informe, oriente et soutien les personnes handicapées pour qu’elles bénéficient au mieux des services qui leur sont accessibles.
– 2ème étape la Blind Babies Foundationpour comprendre quelles aides cet organisme apporte aux parents devant faire face à la naissance d’un enfant aveugle ou avec une déficience visuelle.Suivez et soutenez ce projet à travers le blog www.multicap.org sur lequel vous retrouverez témoignages et reportages au fil de l’expédition à travers le monde.

One Heart Channel
, unique par son concept, a pour ambition de présenter l’actualité humanitaire et environnementale de façon innovante et positive en privilégiant le Web 2.0 pour favoriser l’e-don au profit d’initiatives concrètes menées en France et a l’étranger. La plateforme vidéo permet de vivre de l’intérieur les actions menées par une centaine d’associations aujourd’hui partenaires du site. http://oneheartchannel.fr
Les Rencontres du Mont-Blanc est le rendez-vous des dirigeants de l’économie sociale de tous les continents. Ce réseau d’acteurs économiques et de personnalités expertes participe au développement de projets internationaux et au renforcement de l’économie sociale. www.rencontres-montblanc.coop
Reporters sans frontières « oeuvre au quotidien pour que l’information reprenne ses droits ». Parce qu’emprisonner ou tuer un journaliste, c’est éliminer un témoin essentiel et menacer le droit de chacun à l’information, Reporters sans frontières mène son combat depuis près de 20 ans pour la liberté de la presse. www.rsf.org
REVES – réseau européen des villes et régions de l’économie sociale – est l’unique réseau européen regroupant des collectivités locales et des acteurs de l’économie sociale en vue de tisser des partenariats stables et d’élaborer des politiques communes dans le cadre d’un développement local durable et de la promotion de l’inclusion sociale. www.revesnetwork.eu
La RUCHE est un espace collectif de travail et de création pour entreprendre autrement à Paris. La Ruche est ouverte à toute personne proposant une réponse innovante à un défi social ou écologique. www.la-ruche.net
Le Salon des Solidarités est un carrefour de rencontres pour TOUS.
Son objectif est d’informer les visiteurs sur les questions de solidarité internationale et de créer un espace de rencontres, d’échanges d’expériences, pour favoriser l’émergence de partenariats et de projets.
www.salondessolidarites.org
La Fondation SCHWAB, fondée par Klaus Schwab et son épouse Hilde en 1998, valorise et encourage les efforts d’hommes, de femmes et d’organisations qui se consacrent au changement social à travers la mise en œuvre de projets économiquement viables.
www.schwabfound.org
TERRE & Humanisme, initiée par Pierre Rabhi, est une association qui oeuvre depuis 1994 à la transmission de l’agroécologie pour l’autonomie alimentaire des populations et la sauvegarde des patrimoines nourriciers.
L’agroécologie : au-delà d’une pratique agricole, une éthique de vie…
www.terre-humanisme.org
Depuis sa création en 1990, la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme s’est donnée pour objectif de modifier les comportements individuels et collectifs pour préserver notre planète.
Organisation non gouvernementale (ONG) reconnue d’utilité publique, apolitique et non-confessionnelle, la Fondation met en œuvre tous les moyens dont elle dispose pour initier une nouvelle forme de société reposant sur la prise de conscience de l’interdépendance des humains et de l’ensemble des vivants.
Fondée en 1985, à l’initiative, notamment, de Jean-Baptiste de FOUCAULD, SNC est une association loi 1901, indépendante de tout parti politique et de toute confession religieuse.
L’association a développé un réseau de plus de 100 groupes de solidarité en France. Plusieurs groupes intra entreprises ont également été créés : ils témoignent des liens que le monde du travail peut tisser avec des chômeurs.
Apprentis d’Auteuil est une fondation catholique, reconnue d’utilité publique depuis 1929, qui éduque et forme plus de 13 000 jeunes en difficulté pour leur permettre de s’insérer dans la société en hommes et femmes libres et responsables, tout en accompagnant les familles dans leur responsabilité parentale.
Le Secours Catholique a pour mission « de faire rayonner la Charité chrétienne par la      mise en œuvre d’une solidarité concrète entre tous ». Pour s’adapter à l’évolution de la société, le Secours Catholique agit pour « renforcer notre soutien aux personnes et territoires les plus marginalisés ou isolés, par la mise en réseau et le partenariat » (orientation n°1). Il mène le combat contre l’exclusion sous toutes ses formes. La question de l’hébergement et du logement est au cœur de son combat, avec une attention particulière, sur le front de l’exclusion, auprès des personnes en situation de précarité, éloignées du marché du travail, personnes isolées âgées, détenues en situation d’indigence, étrangères en attente de régularisation.
Fondé en 1976, le Gret est une association sans but lucratif, regroupant des professionnels du développement solidaire. Il soutient des processus de développement durable, en milieux urbain et rural, en s’appuyant sur l’équité sociale, la promotion économique et le respect de l’environnement.

20 initiatives pour construire demain, avec l'Ademe

By Les opérations médias, Partenaires institutionnelsNo Comments

Reporters d’Espoirs et le collectif Argos ont réalisé « 20 initiatives pour construire demain », un livre édité par l’ADEME et le Ministère du développement durable.

Les journalistes Reporters d’Espoirs ont proposé et rédigé des articles sur 20 projets pour préserver la planète.

De la maîtrise de l’énergie aux énergies renouvelables, de l’optimisation des transports à la consommation responsable, cet ouvrage a pour mission de valoriser des initiatives constructives pour favoriser leur développement et leur démultiplication.

Il a été distribué lors du Sommet international sur le climat à Copenhague en décembre 2009.

Télécharger le livre en PDF

Le collectif Argos regroupe des journalistes indépendants – rédacteurs et photographes – engagés dans une démarche documentaire autour des mutations ou des enjeux sociaux et environnementaux.
www.collectifargos.com