Actuellement, il travaille avec des industriels et grossistes de Paris ou Marseille, mais il souhaiterait privilégier un partenariat avec les acteurs et producteurs locaux, dans une démarche plus rationnelle. Deux salariés travaillent au magasin de Rochefort. Un deuxième a été créer à Saint-Jean-d’Angély en 2012.
L’asbl Grain de Vie, fondée en 1997, prend en charge des personnes handicapées en vue de promouvoir leur intégration sociale.
Pour atteindre ces objectifs, les activités suivantes sont proposées:
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produire du pain, de la pâtisserie et viennoiserie ;
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vendre les produits fabriqués en magasin ;
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faire de la cuisine simple.
Anticafé : c’est ainsi que l’on désigne en Russie un lieu de restauration inhabituel… et c’est aussi le nom qu’a choisi un espace partagé pas comme les autres, situé 79 rue Quincampoix, au Centre de Paris.
Son fondateur, venu d’Ukraine, bouscule les codes des cafés parisiens, lorgne du côté de concepts comme ceux de Starbucks où l’on vient autant travailler sur son portable ou sa tablette que boire un café, en s’inspirant des « tsiferblat » (littéralement « cadran de la montre ») de son pays natal, qui proposent boissons et nourriture à volonté, avec une facturation au temps passé.
Qu’il s’agisse de réfléchir à votre future start-up ou simplement de réviser des examens, d’avancer sur un travail en équipe ou juste de bavarder avec vos amis voire de jouer à des jeux de société, l’AntiCafé est donc fait pour vous et propose des espaces séparés pou chacune de ces activités.
L’originalité ? Contrairement à ce qui se produit dans beaucoup de bistrots, où l’on vous signifie assez vite que vous êtes déjà resté suffisamment longtemps compte-tenu de ce que vous avez consommé, l’AntiCafé vous facture le temps passé (entre 2 et 4 euros de l’heure) et ensuite, vous êtes libre de consommer à volonté thé, café, snacks, fruits … et naturellement le wifi très haut débit mis à la disposition des clients.
En prime, vous avez accès si vous le souhaitez à un projecteur, à une imprimante et à un scanner,… Et comme l’objectif avoué des initiateurs du lieu est que vous vous sentiez comme chez vous, vous pouvez aussi déplacer les tables selon vos besoins, emprunter des livres dans la petite bibliothèque et même amener de quoi manger ou une bouteille de votre vin préféré !
Soucieux d’animer la communauté de ses clients, l’AntiCafé propose aussi des ateliers, des conférences, des débats informels autour de personnalités stimulantes… mais aussi des projections de films d’auteur, des tournois de jeux de société et naturellement des événements personnalisés, pour toute occasion personnelle ou professionnelle.
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Sur bien des aspects, notre Société se déshumanise et montre une crise profonde de sens. De plus en plus de personnes ressentent le besoin de trouver et d’exprimer leur utilité. Dans ce contexte, l’entreprise a un rôle à jouer, au-delà de sa vocation économique : elle peut entrainer la Société vers plus de lien social, d’entraide, de compréhension mutuelle.
Depuis début 2012, « Ça me regarde » rapproche des entreprises désireuses de s’impliquer dans des actions solidaires avec des associations locales. Créée par Ségolène Delahalle et Arnaud Fimat, la coopérative « Ça me regarde» organise pour les salariés des journées d’immersion dans des associations locales et des «chantiers solidaires ».
Ciblées autour des problématiques de l’environnement ou de la précarité, les actions proposées sont des RTT solidaires mais aussi des formations sur les questions touchant les ressources humaines ou encore des séminaires, à destination d’entreprises qui souhaitent développer leur implication solidaire. S’adaptant aux demandes de l’entreprise, « Ça me regarde» cherche l’association et l’action qui conviendrait, soit dans son réseau d’associations partenaires soit avec des initiatives locales.
« J’ai l’impression que les entreprises ont vraiment envie d’organiser ce type de journées, très bénéfique pour l’entreprise : les collaborateurs se rencontrent, la direction découvre ses équipes sous un jour nouveau, découvrent de nouvelles compétences. Les entreprises commencent à se rendre compte de ce bénéfice. Elles ont envie d’organiser des journées de cohésion d’équipe qui aient un peu plus de sens, qui soient un peu moins dépensière, outrancière, et qui montrent qu’on peut aussi travailler la cohésion d’équipe en faisant quelque chose d’utile pour la société. » nous dit Ségolène Delahalle, co-fondatrice de Ça me regarde .
La Ferme donne de l’emploi à 150 travailleurs dont 120 sont atteints d’un handicap modéré. La Ferme Nos Pilifs reste une référence de solidarité en Belgique. En offrant la possibilité à une centaine de personnes handicapées d’accéder à l’autonomie en exerçant des métiers non seulement épanouissants mais aussi bons pour l’environnement, la Ferme a contribué avec d’autres à casser la logique de « gardiennage » des personnes handicapées. Niché dans un des derniers coins de campagne de Bruxelles, Nos Pilifs se veut un lieu de détente familial ouvert à tous. La sortie de terre de 300 logements aux portes mêmes de la ferme constitue pour ses responsables un véritable défi en terme d’intégration.
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Nicolas Auber et Matthieu Tordeur, deux étudiants très engagés, se lancent dès le mois d’août 2013 dans un tour du monde en 4L pour la promotion des micro-entrepreneurs ! Le voyage leur fera découvrir 32 pays et 5 continents : le dépaysement total !
Leur action d’un an, en partenariat avec 3 spécialistes internationaux de la microfinance (Entrepreneurs du Monde, Fondation Grameen Microfinance du Crédit Agricole et Babyloan) bénéficiera à environ 166 personnes la seule année de leur passage, mais les crédits accordés étant des prêts, ces sommes aideront par la suite beaucoup plus de personnes à démarrer leur propre activité et sortir de la pauvreté. 25000€ seront reversés à des projets dûment sélectionnés avec l’aide des Instituts de Microfinance partenaires (IMF).
Environ 850 personnes seront touchés par le projet dans le but d’améliorer significativement leur niveau de vie.
« Ces sommes étant des prêts, un effet revolving pourrait ainsi nourrir un cercle vertueux permettant de réutiliser ces fonds, pour à terme, aider toujours plus de personnes à acquérir les outils qui leur permettront de sortir par eux-mêmes de la pauvreté. L’effet direct de chaque prêt sera ainsi démultiplié. »
Ce projet est aussi celui de la découverte. Leur démarche consistera véritablement à aller à la rencontre des micro-entrepreneurs soutenus (les fonds perçus sont envoyés avant leur départ) et à comprendre les modes de vie et de pensée des différentes populations avec qui ils échangeront.
D’Est en Ouest. Ils partiront de Rouen en août 2013 jusqu’à Hanoï (Vietnam) pour rejoindre le continent américain en traversant l’Océan Pacifique par cargo. Ensuite, ils souhaitent atteindre Ushuaïa (Argentine), remonter vers le Brésil et embarquer pour Dakar. Du Sénégal ils mettront le cap au Nord pour retrouver la France. La boucle sera bouclée !
Le choix de la 4L s’est fait « sans hésitation » de la part de nos deux routards : « La voiture nous est apparue comme le seul moyen de locomotion pouvant garantir notre liberté. Elle permet d’aller là où les bus ne vont pas, sans aucune contrainte horaire. Quant à la 4L, robuste, légère, facilement réparable, elle est increvable ! ».
Un projet utile, professionnalisant et au service des autres à soutenir d’urgence !
Pour plus d’informations sur ce beau projet : visitez leur site internet !