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Revue de presse

Les ateliers Orange solidarité numérique

By Economie, Revue de presseNo Comments

Quand des bénévoles salariés d’Orange accompagnent aux usages numériques des stagiaires d’associations dans les locaux de l’entreprise.

De Lille à Marseille, d’Orléans à Bordeaux, de Lyon à Rennes, et bientôt dans plus de 30 villes en France les ateliers Orange solidarité numérique s’activent.

Comment ça se passe ?

Les bénévoles arrivent en début de soirée dans la salle de formation, ils sont dans la journée conseillers clients, chefs d’équipes technique ou commercial, formateur produit, responsables marketing ou RH , … et connaissent déjà les lieux, ils retrouvent des collègues d’autres équipes. Les stagiaires arrivent peu après, ils sont accueillis par les bénévoles, c’est souvent pour eux un rendez-vous important et un espace à découvrir.

Au début c’est la prise de contact, chacun se présente découvre l’autre, très vite une ambiance conviviale et studieuse s’installe. On échange sur les attentes des stagiaires, puis un bénévole projette sur un écran le déroulement de la soirée, 2 heures ensemble pour apprivoiser cet univers numérique.et ça démarre.

Lire la suite sur le blog de la Fondation Orange

Les jardiniers de la Goutte d'Or

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Au cœur du quartier de la Goutte d’or se niche l’Univert. Entouré de barres d’immeubles, le jardin d’insertion éclaire de ses vives couleurs le quotidien des habitants du quartier.

Jacky a fini de planter un arbre, un Aucuba. Aussitôt il s’asseoit. « J’ai assez travaillé, il faut en laisser un peu aux autres ». Jacky vient deux fois par semaine à l’Univert depuis le début de l’année. Son visage marqué laisse paraître les stigmates d’une vie difficile. Il aime « foutre les mains dans la terre » mais fait toujours attention à ses vêtements. Aujourd’hui c’est chemise à carreaux rouges et jean. « Jacky nous apporte sa bonne humeur » explique Caroline Falletta, animatrice de ce grand jardin d’insertion de 135 m2 au coeur du XVIIIème arrondissement. Comme lui, ils sont quatre à venir régulièrement, une femme et trois hommes. Chaque jour ils plantent, arrosent et nettoient. Parfois, des habitants de la résidence se joignent à eux.

L’adresse de ce jardin a de quoi étonner. Paris, métro Barbès Rochechouart. Dans une rue adjacente, une grille rouge barre l’entrée du 33-35 rue Polonceau. A l’intérieur une cour, des immeubles. Et quelques mètres plus loin, un puit de lumière inonde un terrain en contrebas. Le voilà, l’Univert.

Le jardin vu d’en haut:

A Paris intra-muros, la désignation officielle pour ce genre d’endroit est « jardin d’insertion sociale ». L’Univert, initialement destiné aux personnes en situation précaire (SDF, allocataires du RSA…) est en fait ouvert à tous. Et si les gens y viennent, c’est avant tout pour partager un moment de bonheur simple. Des sourires, une main sur l’épaule, un verre partagé. La sensation de ne pas être seul. « Ce jardin est un prétexte à un mieux-être, à sortir de l’isolement », explique Caroline.

En-dehors de la capitale, le principe évolue. Les « jardins d’insertion par l’activité économique » offrent un contrat et une paie. L’objectif est de se spécialiser avant de retourner dans la vie active. Dans toute l’Ile-de-France, la création de ces deux types de jardins se généralise

Lire la suite de l’article sur Youphil.com

La psychiatrie citoyenne pour retrouver la dignité

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Quand on voit les SDF être de plus en plus nombreux dans nos rues, nous sommes soulagés de savoir que des organismes comme les Resto du cœur, Emmaüs, Le Secours Catholique, Médecin du monde, etc., s’occupent d’eux. Restent les grands exclus, comme les patients souffrant de schizophrénie. L’association « les invités au festin » est en train de démontrer qu’il est possible, et même rentable, de les traiter avec humanité.

Une vraie alternative à l’hôpital ou la rue
Il n’y a pas que la rue ou que l’hôpital pour les patients schizophrènes. C’est ce que voulait démontrer le Dr Marie-Noëlle Besançon en créant l’association « Les invités au festin ». Elle a ainsi créé, avec son mari, La Maison des Sources, un premier lieu de vie à Besançon, qui héberge en permanence 13 personnes souffrant de maladies psychiques, un accueil de jour et un groupe d’entraide mutuelle, permettant de prendre en charge une centaine de personnes en difficulté. Ces structures font partie de ce nouveau courant appelé la Psychiatrie citoyenne, mouvement dont la vocation est de permettre de retrouver une place digne aux patients psychiatriques, leur permettant de se soigner, de guérir pour certains, de se réinsérer, cette place n’étant ni à l’hôpital, ni dans la rue.

Lire la suite de l’article sur e-sante.fr

Une usine qui produit du pétrole "écologique".

By Environnement, Revue de presseNo Comments

Un pétrole d’algue 60% moins cher que le pétrole classique, et un bilan carbone final plus propre que l’électrique. A-t-on découvert le produit miracle, écologique, économique, inépuisable et sans danger ? La production atteinte par la première usine de « bio pétrole » est encore trop faible pour autoriser à envisager qu’on se passe un jour de pétrole conventionnel, mais le procédé ne manque toutefois pas d’intérêt.

Après 5 années de recherche menées en coopération étroite avec les universités d’Alicante et de Valence, l’entreprise Bio Fuels Systems  (BFS) a mis au point le premier « procédé de conversion énergétique accélérée » qui permet de transformer les rejets excessifs de CO2 en un pétrole de qualité. Ce système repose sur les effets conjugués de la photosynthèse, de l’énergie lumineuse et des propriétés organiques du phytoplancton, mobilisé comme puissant catalyseur, pour obtenir un carburant comparable au pétrole fossile et offrant les mêmes possibilités de produits dérivés (plastiques, polymères…).

La culture intensive de phytoplancton s’opère dans des photobioréacteurs verticaux à partir de souches sélectionnées pour leur teneur en lipides et cela sans prélèvement sur la biodiversité.

Sur 1 hectare et selon un scénario de rentabilité optimale, une usine-type BFS de dépollution/valorisation est ainsi capable d’absorber 12 000 tonnes de CO2 par an et d’assurer une production continue et annuelle d’environ 5 500 barils de pétrole, voire 0,45 Mégawatts d’électricité (le CO2 capté peut être transformé en électricité grâce à des turbines ou des Moteurs de Combustion Internes). Au cours du processus de transformation, de multiples coproduits et sous-produits à forte valeur ajoutée, tels les acides gras essentiels (type oméga 3 ou 6…), peuvent par ailleurs être extraits du gisement de biomasse obtenu, assurant ainsi la rentabilité d’une installation-type.

Lire l’article complet sur Cdurable.com

Solidarauto49, la mécanique solidaire

By Economie, Revue de presse, SociétéNo Comments

La mobilité, par un transport individuel et adapté reste une problématique actuelle pour les personnes en situation de précarité, pour qui les finances du foyer ne permettent plus de posséder un véhicule ou de réaliser les réparations nécessaires pour circuler en toute sécurité.
Disposer d’un véhicule est fondamental pour accéder à un métier ou le conserver, surtout quand les offres d’emploi ne correspondent pas aux horaires des moyens de transports traditionnels. L’exclusion sociale et l’isolement sont parfois la résultante des problèmes de mobilité rencontrés par les populations les plus démunies.

S’appuyant sur ce constat, le Secours Catholique a créé l’association Solidarauto 49 avec pour projet de faciliter l’accès à la mobilité des plus démunis. Cette association a ouvert début octobre 2010 un garage social et solidaire, situé dans l’agglomération d’Angers (49), qui propose l’entretien, la réparation et la vente de véhicules à tarif préférentiel aux personnes à faibles ressources. Solidarauto 49 est aussi une entreprise d’insertion qui donne la possibilité à des personnes en rupture avec le monde du travail de retrouver une situation stable et durable.

Pour permettre à son activité de se dévelloper, Solidarauto est à la recherche de dons de véhicules. Les voitures usagées seront remises aux normes par les mécaniciens en insertion du garage et attribuées à des personnes en difficulté. L’association est reconnue d’intérêt général, les donateurs peuvent donc bénéficier d’une déduction fiscale.

Pour en savoir plus…

Bionoor, le commerce équitable pour lutter contre le désert

By Revue de presseOne Comment

Bionoor est née d’un rêve : celui de Hadj Khelil, jeune Algérien travaillant en salles de marchés à la City de Londres. Las d’un environnement qui ne lui ressemble plus, il décide à 27 ans de tout plaquer pour repartir à zéro. Une démarche autant spirituelle qu’intellectuelle, se voulant un retour à des valeurs plus tangibles comme la terre.
Il se réinstalle en Seine-Saint-Denis, et son père lui souffle l’idée de valoriser l’exploitation familiale, vieille de plus de deux siècles et basée à Ouargla, dans le sud algérien. Le rêve prend forme en 2002 avec la création de Bionoor, sur la base d’une activité de commerce engagé et bio.

L’activité de la société s’organise autour de deux coeurs de métier :
* le commerce éthique de produits issus de l’agriculture biologique ou raisonnée
* la compensation carbone, à travers la plantation d’arbres dans des écoles africaines situées en zones de déforestation.

*A l’origine de l’entreprise, il y a la production de dattes bio et leur commercialisation équitable. Bionoor est la première société à avoir ouvert une telle activité en Algérie.
Aujourd’hui, son catalogue contient plus de 50 références, avec des produits provenant de divers pays du Sud au Nord, dont la France.
La boutique Bionoor est accessible en ligne via son site : www.bionoor.com. Et ses produits sont actuellement distribués dans les épiceries fines Fauchon et la grande distribution.

*La filière compensation carbone de Bionoor est née en 2005. Bionoor encadre des pépinières dans 4 pays africains, et a planté plus de 5 000 arbres dans 5 pays en 2010. Son objectif pour 2014 : 50 000 arbres plantés !

En 2006, Bionoor a été reconnu :
Lauréat Talents de la création d’entreprise
Lauréat du CréaRîf (Conseil Régional d’Île de France pour le soutien de l’économie sociale et solidaire)

Pour en savoir plus : le site de Bionoor

Une hotline pour les sourds avec Free

By Revue de presse, SociétéNo Comments

4 millions de français sont sourds ou malentendants. Cela les privait jusqu’ici de services élémentaires comme par exemple les lignes téléphoniques administratives ou d’assistance technique. Plusieurs associations ou entreprises fournissent aujourd’hui des services adaptés à ce public.

C’est le cas par exemple de DEAFI, une entreprise citoyenne créée pour et avec des sourds, qui vient de mettre en place avec le fournisseur d’accès à Internet Free une « Deafiline », hotline vidéo en langue des signes, par chat, sms ou mail.

L’intérêt de cette initiative va bien au-delà d’un simple service pour les sourds. En effet, le nouveau métier de « Vidéo-conseiller » crée des d’emplois pour une population souvent considérée comme « inemployable ». Pour DEAFI, un conseiller clientèle a pour vocation de communiquer efficacement avec ses clients, et qui mieux qu’un sourd peut communiquer efficacement avec un sourd ? Un public exclu de la communication orale devient ainsi un public d’experts en gestion de la relation clientèle.

>Le 23 mars 2011, La DeafiLine a reçu le prix de l’initiative remarquable des Argus d’Or de l’assurance.

Pour en savoir plus : http://www.deafi.com/

Une pépinière durable et solidaire au Mozambique

By Environnement, Revue de presse, SociétéNo Comments

Nous sommes 11 étudiants futurs diplômés de l’ISTOM, école d’ingénieur en agro-développement international. Nous avons monté un projet innovant visant à mettre en place une pépinière pilote dans le parc national du Limpopo au Mozambique. Nous recherchons des soutiens pour mener à bien ce projet.

L’équipe : Istom Student Environmental Expertise (ISEE)
ISEE est une association loi 1901 que nous avons montée. Nous travaillons depuis plus de 4 ans dans les domaines de l’agronomie, des sciences sociales et de l’environnement et capitalisons de nombreuses expériences dans divers projets de développement à travers le monde.
Notre équipe s’est fédérée autour du double enjeu de conservation de la biodiversité et du développement socio-économique des populations. Pour y répondre, ISEE oeuvre pour l’intégration des populations locales dans les aires naturelles protégées. C’est dans cet objectif que, depuis un an, l’association a développé un partenariat avec le parc national du Limpopo au Mozambique.

Notre partenaire local : Parc National du Limpopo
Ce parc s’insère au sein d’une entité supérieure, le Parc Transfrontalier du Grand Limpopo (GLTP) qui a vu le jour en 2002. Ce parc pour la Paix inclut le Parc National du Limpopo au Mozambique, le Parc National du Kruger en Afrique du Sud et le Parc National du Gonarezhou au Zimbabwe, formant la plus grande aire protégée du monde.
Le développement du tourisme est un objectif majeur du parc. Pour y répondre, il est nécessaire d’entretenir les ressources naturelles pour assurer la pérennité et la renommée de l’aire protégée.
Le Programme d’Appui Communautaire (PAC), fondé et financé par l’Agence Française du Développement (AFD), dans lequel l’association s’insère, est un outil essentiel. Il prévoit l’amélioration des conditions de vie des populations et la promotion de pratiques plus respectueuses de l’environnement, par une gestion participative des populations.

Un constat
Environ 100.000 personnes sont présentes dans le parc. Afin de répondre à leurs besoins élémentaires, les populations prélèvent les ressources arboricoles de l’aire protégée: les villages sont construits en bois, du charbon est utilisé pour la cuisine et les fruits comestibles sont consommés.

Actuellement la surexploitation de ces ressources par les populations remet en cause la durabilité de l’aire protégée. Il existe alors un conflit d’intérêts entre conservation de la biodiversité et développement socio-économique des populations locales.

Une solution
La mise en place d’une pépinière est une des solutions identifiées par les gestionnaires de l’aire protégée pour diminuer ce conflit entre l’homme et la nature. Nous sommes ainsi chargés d’étudier et de mettre en place une pépinière pilote au sein de plusieurs villages du parc. Près de 400 familles seront impliquées dans le projet. Les plants issus de la pépinière seront implantés au coeur des espaces cultivés des différents villages.
Cette association d’arbres, de céréales et de légumes recrée un environnement stable et durable. Il s’agit d’un système dit d’agro-foresterie.

Notre projet
Ainsi les populations pourront produire leurs propres ressources : fruits comestibles, charbon, bois de construction, ce qui réduira les prélèvements d’espèces arboricoles protégées. Ces ressources seront directement consommées par les familles ou bien vendues sur les marchés locaux.
Cette action permettra de réduire la pauvreté et la vulnérabilité des populations locales en leur assurant une production vivrière durable tout en créant des activités génératrices de revenus. Devenant autonomes, les populations auront un impact bénéfique sur le parc. D’autres parts, ces plants pourront servir au reboisement des zones dégradées.

Notre action
Nous préparons ce projet depuis un an en étroite collaboration avec les responsables du parc. Ce travail préalable nous permet d’anticiper au mieux les actions sur le terrain et ainsi remplir nos objectifs. La phase terrain se déroulera du 15 Juin au 15 Aout 2011 dans le parc. Elle consistera à :

o Réaliser l’étude du milieu et des pratiques agricoles locales ;
o Elaborer le plan de gestion de la pépinière et d’intégration des arbustes dans le système agro-forestier ;
o Former des agriculteurs à la gestion et l’entretien de la pépinière ;
o Etudier les débouchés des fruits produits ;
o Mettre en place la pépinière.
A terme, cette pépinière sera reproduite et adaptée à chaque village, dans l’ensemble du parc.

Contact mail :
project.isee@gmail.com

Adresse postale :
ISTOM
MJE – ISEE
32, boulevard du port
95 000 Cergy

Contact téléphonique :
06 85 18 36 87

Page Facebook :
Isee Limpopo

Plateforme de don :
http://isee.aiderenligne.fr/Parc-national-du-limpopo.html

Un film pour savoir accompagner les malvoyants

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Qui ne s’est jamais senti mal à l’aise pour accompagner une personne aveugle ou malvoyante ? Comment se comporter vis-à-vis d’elle dans les différentes situations de la vie quotidienne : dans la rue, au travail, en réunion ou encore au restaurant ? C’est pour répondre à cette question que l’Association Valentin Haüy a réalisé le film « Un regard pour deux, conseils à l’usage de ceux qui voient ».

Ce court-métrage de 18 minutes voulu et réalisé par l’AVH montre les bons gestes pour accompagner les personnes déficientes visuelles au travers de certains aspects de leur vie quotidienne. Il donne quelques repères afin de mieux vivre ensemble, dans une relation partagée. Sa diffusion est entièrement libre et gratuite. Il peut ainsi être utilisé dans les écoles, les entreprises, les salles d’attente, les hôpitaux, à la télévision, sur le web ou tout autre support… à des fins pédagogiques.

Le film est téléchargeable à partir du site de l’AVH, www.avh.asso.fr, ou consultable sur You Tube.

Il comporte 6 séquences :
– Au carrefour
– Dans la rue
– Au bureau
– Au restaurant
– Avec un chien guide
– Avec une personne malvoyante

Acumen Fund, un fonds d'investissement à but non lucratif

By Economie, Revue de presseOne Comment

Jacqueline Novogratz a créé en 2001 Acumen Fund, un fonds d’investissement basé sur la recherche du bénéfice social et non pas financier. Lundi 28 mars 2011, les fondations Edmond de Rothschild, qui soutiennent ce fonds, l’ont invitée à en faire la présentation.

Jacqueline Novogratz est convaincue qu’aujourd’hui, dans la crise actuelle que nous vivons, nous sommes obligés de compter les uns sur les autres pour construire et imaginer ensemble de nouveaux modèles économiques.
Son fonds développe un nouveau modèle économique : le « Patient Capital », un investissement de long terme, et compte aujourd’hui 57 millions de dollars investis dans une cinquantaine d’entreprises. Acumen Fund investit dans des « game-changing companies », des leaders et des entrepreneurs qui innovent. Il joue le rôle d’intermédiaire entre une solution innovante repérée ici ou là et les investisseurs privés et publics des pays qui ont besoin de cette solution. L’effet de levier du fonds est très important : pour 1 dollar investi par Acumen Fund, 4 dollars sont investis par d’autres entreprises internationales ou locales.

Ce fonds est un laboratoire : développement de petites solutions au niveau local qui doivent être ensuite portées à grand échelle. Plus que sur des leaders ou sur des entrepreneurs, le fonds essaie maintenant d’investir sur des idées qu’il pourra démultiplier à grande échelle. La formation est un des aspect les plus important d’Acumen : le fonds dispose d’un programme de formation très poussé qui cherche à détecter et à promouvoir « l’imagination morale » des fellows pour faire naître de nouveaux talents.

Pour Jacqueline Novogratz, la « dignité est plus importante pour l’homme que la richesse ». Il faut absolument que l’homme puisse conserver sa liberté de choix, et préfère être pauvre plutôt que ne plus pouvoir choisir son destin.

http://www.acumenfund.org/

crédit photo : Acumen Fund