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Monthly Archives

juin 2011

« Bill Drayton, l’homme qui veut changer l’entreprise » (15 juin 2011)

By Revue de presseNo Comments

L’Association Ashoka, réseau mondial d’entrepreneurs sociaux va fêter dans quelques jours ses 30 ans à Paris. Le fondateur de cette ONG, l’américain Bill Trayton  en est persuadé « Chacun peut-être acteur de changement ». Portrait d’un homme généreux dont les idées visionnaires et solidaires ont déjà servies plus de 3000 entrepreneurs dans 70 pays.

Lire le numéro en ligne

 

3° prix de la croissance verte numérique

By L'actu de Reporters d'EspoirsOne Comment

« Quand les organisations professionnelles collaborent avec l’Etat pour mettre les technologies de l’information au service de l’environnement, c’est un avantage pour la planète, et aussi de la création de valeurs et d’emplois… Et cela se voit »

Un prix pour…
> Récompenser l’invention, la création, le développement de technologies numériques au service du développement durable,
> Diffuser les bonnes pratiques et les nouvelles technologies grâce à l’exemple,
> Faciliter le démarrage de nouveaux marchés dans les domaines « TIC / DD ».

Remettre un prix honorifique à cinq acteurs qui, dans leurs catégories, ont atteint de façon exemplaire un des objectifs visés : inventer, créer, expérimenter, développer des technologies numériques au service du développement durable (économie bas carbone, bâtiment intelligent, mobilités durables, économie localisée, diminutions de l’empreinte des TIC, réseaux intelligents de gestion d’énergie-smart grids, innovation…)

Qui peut participer ?
La participation est réservée à toute entreprise ayant son siège social en France, ou filiale française d’un groupe étranger.

Pour en savoir plus en déposer votre candidature

Telemadre.com, des « mamans » qui cuisinent pour vous

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Par Elena Despatureaux | ESJ

Pour tous ceux qui en ont marre des pizzas, des sushis au faux thon rouge ou des lasagnes surgelées, voici la solution : la « telemadre ». Le principe ? Des mères au foyer ou retraitées mitonnent de bons petits plats pour des jeunes qui n’ont ni le temps ni l’envie de se faire à manger.

Une idée originale venue d’Espagne. A la tête du projet, Alberto Alarcon, Eva Marquez Salmeron et leurs frères respectifs, Emilio et Ciro. Quatre trentenaires las de dépenser de l’argent pour des sandwiches bas de gamme, avalés sur le pouce le midi.

Ils demandent alors à la mère de deux d’entre eux de leur préparer des Tupperware de paella ou de lentilles, en échange d’un salaire mensuel.

« La “telemadre” utilise les meilleurs produits de saison »

L’arrangement fonctionne à merveille et, quelques repas plus tard, les quatre amis décident de populariser le concept. Ils créent un site Internet qui met en contact des femmes au foyer avec des jeunes désireux de bien manger. Au menu : poisson, viande, fruits et légumes. Des produits frais, achetés au marché bien sûr.

Eva Salmeron, l’une des fondatrices, explique : « La “telemadre” sait très bien où dénicher les meilleurs produits en fonction de la saison. » Lire la suite de l’article sur Rue89.com

"Une campagne choc contre le viol conjugal" (14 juin 2011)

By Revue de presseNo Comments

C’est la première fois qu’une campagne nationale milite contre le viol conjugal. Chaque année, 75000 femmes affirment être victimes de viol. Une fois sur trois leur agresseur est leur conjoint ou concubin. Les chaînes de télé hertziennes vont diffuser gratuitement le spot réalisé à l’initiative du Collectif Féministe contre le viol. Pour que les victimes sortent enfin du silence.

Article paru sur leparisien.fr

Actualité > Société

Une campagne choc contre le viol conjugal

Pour la première fois, une campagne télé et Internet alerte sur le drame du viol conjugal, qui frappe plusieurs milliers de victimes chaque année en France. Explications en avant-première.

Anne-Cécile Juillet | Publié le 14.06.2011, 07h00

Un viol sur trois est commis par le conjoint ou concubin. Afin de briser le silence, pour la première fois, un collectif féministe lance une campagne de grande envergure.

«Une femme, elle doit répondre à toutes les envies de son mari. C’est ça, le devoir conjugal. Et puis, elle ne peut rien dire, avec les enfants qui dorment à côté. Où elle irait se plaindre? J’ai été violée par mon mari! T’imagines! Une femme sans son mari, c’est rien… Et le sexe, c’est humain… »

La voix est grave, le ton se fait de plus en plus terrifiant alors qu’apparaît à l’écran une femme, seule, désespérément seule, comme brisée par la douleur la plus vive qui puisse être au sein du couple : le viol conjugal.

Chaque année, en France, 75000 femmes affirment être victimes de viols (mais ce ne sont là que les chiffres des plaintes, certains spécialistes affirment qu’elles sont autour de 120000 victimes), commis dans huit cas sur dix par des hommes qu’elles connaissent, et une fois sur trois par leur conjoint ou concubin.

Aujourd’hui, pour la première fois à la télévision, le Collectif féministe contre le viol (CFCV) lance une campagne choc que « le Parisien »- « Aujourd’hui en France » a pu voir en avant-première. Un film de trente secondes, diffusé aux heures de grande écoute sur les grandes chaînes hertziennes, mais aussi sur Internet, qui espère encourager les femmes victimes à sortir du silence, par un numéro vert*, et sensibiliser le grand public. Lire la suite de l’article sur le site du parisien.fr

Les Défis Mecenova : une semaine pour donner aux salariés le goût d’agir

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

A l’occasion de l’année européenne du Bénévolat et du Volontariat, l’association IMS-Entreprendre pour la Cité lance la première édition des Défis Mecenova. Toute la semaine du 20 juin, les entreprises et leurs salariés se mobiliseront partout en France pour mener des actions solidaires en faveur d’associations. Plus de 500 000 salariés seront concernés !

Du 20 au 24 juin, une trentaine d’entreprises* vont solliciter plus de 500 000 salariés pour les mobiliser en faveur de causes. Des courses à pied pour récolter des dons, des rencontres avec des associations pour devenir bénévole, du soutien apporté à des jeunes pour les préparer à leurs examens…, toute la semaine sera consacrée à l’engagement bénévole des salariés au profit d’associations.

Le bénévolat est en développement constant dans les entreprises. L’entreprise constitue un des lieux où l’on peut encore agir ensemble pour reconstruire du lien social, parer à l’émiettement des solidarités. Un nombre croissant d’entreprises souhaitent associer leurs collaborateurs à leur programme de mécénat et de partenariats solidaires. Selon le Benchmark Fondations réalisé par l’IMS en 2009, 62% des entreprises sondées proposent du mécénat et/ou du bénévolat de compétences aux collaborateurs de leur entreprise.

Ces actions sont devenues une des pierres angulaires des politiques visant à renforcer la cohésion interne de l’entreprise, mais également ses capacités d’innovation et ses relations avec son environnement local. Elles permettent également de redonner du sens au travail en créant une dynamique positive, mais aussi en amenant les salariés à développer des compétences transférables dans le champ de l’entreprise.

A noter : L’IMS publiera une enquête sur l’engagement bénévole des salariés en France au lancement des Défis Mecenova.

*Albax, Banque Populaire Côte d’Azur, Bayer, Capgemini/Sogeti, Cegid, Convers Télémarketing, Crédit Agricole Centre-Est, Crédit Agricole S.A., Deloitte, Fondation Groupe Seb, Fondation Schneider Electric, Fondation SFR, Galderma R&D, GlaxoSmithKline, Groupe Casino, Nice Acropolis, Le Groupe la Poste, Hewlett Packard, HSBC France, KONE, Laboratoires MSD-Chibret, Linklaters, Marineland, Markem-Imaje, Le Palais de la Méditerranée, Renault Trucks, Schneider Automation, Société Générale, Texas Instruments, Veolia Eau Lyon Agglomération, WIT.

Plus d’informations sur www.lesdefismecenova.org.

L'entreprise sociale (aussi) a besoin d'un business plan

By Revue de presseOne Comment

Par Marie Trellu-Kane et Thierry Sibieude,
20 euros, 320 pages, parution le 23 juin 2011

Cet ouvrage propose une méthodologie d’élaboration d’un business plan adaptée à des projets à finalité sociale. Véritable manuel pour agir, il permet aux porteurs de projets et aux étudiants de développer leurs compétences en management, de comprendre les cadres théoriques et les modèles d’intervention dans le champ de l’entrepreneuriat social. Il constitue un outil utile pour concevoir une stratégie de mise en oeuvre efficace et pérenne, et met en évidence les éléments spécifiques à un projet à finalité sociale — comme les indicateurs d’évaluation de l’impact social.
Synthèse de nombreuses années de pratique pédagogique auprès d’entrepreneurs sociaux en herbe, ce manuel bénéficie également de l’expérience acquise par les deux auteurs au sein d’Antropia.

Voir la fiche de cet ouvrage sur le site de la maison d’édition Rue de l’Echiquier

Le festival Terre et Humanisme

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Les 24, 25 et 26 juin 2011, philosophes, sociologues, chanteurs, cinéastes, humoristes, politiciens, représentants d’associations et citoyens se réunissent autour de Pierre Rabhi, pour la première édition d’un événement atypique, pluriel et fédérateur : le Festival Terre et Humanisme.

3 000 citoyens attendus pour 3 jours de rencontres festives et engagées. Au programme : concerts, débats, forums participatifs, spectacles, danse…

A l’aube d’une année décisive, le Festival Terre et Humanisme célèbre, dans une ambiance festive, les valeurs de l’écologie en donnant la voix à tous ceux qui pensent et construisent un monde plus humain.

Eco-citoyens, créatifs culturels et acteurs du changement constituent aujourd’hui une dynamique puissante. Le Festival Terre et Humanisme incarne ce mouvement socioculturel uni et engagé où les citoyens se réapproprient le pouvoir d’agir pour la transformation de leur territoire. Pour cette première édition, le Festival Terre et Humanisme se déroulera au cœur de la Drôme, entre Valence et Montélimar, sur les terres du centre agro-écologique des Amanins, lieu de rassemblement des structures du réseau de Pierre Rabhi.

Le temps d’un festival, la ferme des Amanins devient le centre incontournable de l’écologie ; un pont symbolique entre le monde rural et la ville.

Pour en savoir plus, cliquez ici

« Devenir écocitoyen est un vrai jeu d’enfant ! » (10 juin 2011)

By Revue de presseNo Comments

Tout part d’un constat simple : les enfants apprennent mieux en jouant. L’association Econexiones Unidas  a imaginer  un outil éducatif et ludique pour familiariser les enfants aux questions de l’environnement.

Article paru dans Sud Ouest, édition de Saintes

10 juin 2011 06h00 | Par BENOÎT POMMIERS
Saintes

« Devenir écocitoyen est un vrai jeu d’enfant ! »

Une association a créé un jeu éco-éducatif pour sensibiliser les enfants au développement durable.

La Pachamama, ou la Terre Mère, est la déesse terre dans la religion des Amérindiens d’Amérique du Sud. C’est donc le nom que l’association Econexiones Unidas a logiquement donné au jeu qu’elle a créé.

Outil éducatif ludique, attractif et participatif, ce jeu met en scène une histoire invitant les participants à en devenir les protagonistes. Ils se retrouvent en quête d’une « éco-conscience » afin de résoudre les grands problèmes de la planète par des gestes simples et concrets.

Le PachaMama

Le jeu vise à se familiariser avec les valeurs, le savoir-être et le savoir-faire en faveur de l’environnement. Il transmet de manière simple et accessible les concepts et mots clés autour de la thématique du développement durable et stimule les initiatives et micro-projets environnementaux. Selon Eva-Maria Dautry, « le jeu est un prétexte. L’objectif est, vraiment, de sensibiliser les enfants aux enjeux de l’écologie. » Lire l’article sur SudOuest.fr

Troisième Dreamstorming solidaire

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Après le succès des deux premières éditions du Dreamstorming solidaire, retrouvez l’événement qui donne un coup de pouce aux jeunes pousses de l’entrepreneuriat social !
5 nouveaux porteurs de projets solidaires innovants viendront se confronter à un réseau d’experts de l’entrepreneuriat social et à des challengers (Jean-Marc Borello du Groupe SOS, Arnaud Mourot d’Ashoka, Bruno le Moal d’Accenture, et Pierre Birambeau co-fondateur du Telethon et président de l’ADEMA). Ensemble, ils tenteront de lever les freins à l’accomplissement de ces projets d’intérêt général. Venez assister à la genèse de ces réfléxions, et y participer vous-même !
Le Dreamstorming solidaire : pour que les rêves deviennent projets !

Venez découvrir, encourager et aider les 5 « jeunes pousses » de l’entrepreneuriat social le 17 juin à l’Happen Space d’Accenture à Paris.
Ils ont tous un rêve, une idée, une envie… Au service du handicap, de l’environnement, de l’insertion professionnelle, ou tout simplement du mieux manger ! Ils ont planté la graine d’une future entreprise sociale : ce sont les “jeunes pousses ”de l’ESS (Economie Sociale et Solidaire) !
Se lancer dans l’entrepreneuriat social, c’est se confronter à une myriade de questions. Comment lever des fonds ? Quels canaux pour ma communication ? Que vaut mon business plan ? Quelles sont les formes juridiques les plus adaptées ? Quels partenaires mobiliser ? Et si 5 porteurs de projets pouvaient avancer dans la réalisation de leurs rêves solidaires, en brainstormant avec des spécialistes en innovation et des experts qualifiés et sensibles à ces questions ?
C’est l’idée qu’ont eue le Groupe SOS et Ashoka avec le soutien du Crédit Coopératif, de L’Atelier, d’Accenture et de la Ville de Paris.

5 jeunes pousses qui ne demandent qu’à grandir… Aurez vous la main verte ?
• Marché sur l’eau : Système de distribution de marchandises alimentaires en circuits courts par voie fluviale entre consommateurs parisiens et producteurs franciliens (Claire-Emmanuelle HUE)
• Rejoué : Ateliers d’insertion de femmes consacrés à la rénovation de jouets usagés à destination de familles en difficulté (Claire TOURNEFIER)
• Station Energy : Service de location de batteries rechargeables à partir d’énergies renouvelables destinées aux populations sub-sahariennes (Alexandre CASTEL)
• Aditevent : Régie d’appui à l’organisation d’événements accessibles aux personnes avec toutes formes de handicap (Jérémie BOROY)
• Konstelacio : Outil itinérant et innovant de sensibilisation aux cultures étrangères dans les écoles du monde entier (Charlotte COURTOIS)
Vous souhaitez participer à cet évènement et rencontrer ces “jeunes pousses” de l’économie sociale et solidaire ?
Vous souhaitez challenger ces 5 projets, et apporter votre pierre à ces futurs édifices en brainstormant solidaire ?
Vous souhaitez échanger avec eux, les encourager, leur poser des questions et faire part de vos idées ?
Vous souhaitez networker avec des têtes de réseau du monde de l’entrepreneuriat et de l’Economie Sociale et Solidaire, et pourquoi pas enrichir votre propre projet ?

Rendez vous le vendredi 17 juin à 19h30
à l’Happen Space d’Accenture !
Inscription gratuite mais obligatoire en cliquant ici
Cocktail en fin de soirée

Attention, la soirée commence à 17h30 par un brainstorming entre experts de l’entrepreneuriat social autour des 5 projets. Le public n’est convié qu’à partir de 19h30 pour découvrir ces 5 projets et les challenger. Si vous pensez pouvoir être utile à nos jeunes pousses à partir de 17h30, contactez romain.dichampt@groupe-sos.org

« Le covoiturage devient l’auto-stop du XXIème siècle » (9 juin 2011)

By Environnement, Revue de presse, SociétéOne Comment

Le covoiturage permet de partager les frais d’un déplacement et de réduire le nombre de véhicules sur les routes. Le phénomène n’est pas nouveau, mais il se développe à grande vitesse. Les sociétés d’autoroute doivent s’adapter. Vinci vient d’ouvrir un parking à l’entrée de l’A7, au péage de Valence-Nord (Drôme) pour les adeptes du covoiturage.

article paru dans le Parisien-Aujourd’hui en France :

Vivre mieux

TRANSPORT.

Le covoiturage devient l’auto-stop du XXIe siècle

Economique et convivial, le covoiturage sur les longs trajets fait de plus en plus d’adeptes. A tel point que les réseaux autoroutiers vont créer des aires de stationnement spécialement dédiées.

GRÉGORY PLESSE ET MATTHIAS GALANTE | 09.06.2011, 07h00

Sur le bord d’une petite route de campagne, un joli brin de fille souriante lève le pouce. Après une seconde d’hésitation, vous vous arrêtez car vous allez dans la même direction. Sauf qu’au moment où elle ouvre la portière de votre voiture, ses trois copains avinés sortent du fossé où il s’étaient cachés… Non, l’auto-stop n’a jamais eu très bonne réputation. En revanche, le covoiturage, qui se prépare à l’avance et dont les coûts sont partagés, attire de plus en plus.
Ainsi, Covoiturage.fr, le premier site Web dédié en France, compte désormais plus de 1 million d’utilisateurs, dont 600 000 nouveaux inscrits au cours des douze derniers mois. Grâce à ce seul site (il en existe de nombreux autres), entre200 000 et 250 000 personnes sont transportées chaque mois. Autant que le feraient 500 TGV complets ! Avec l’envolée des prix de l’essence, les conducteurs sont aujourd’hui plus enclins à accepter des passagers pour partager avec eux les frais du voyage. Et, dans la plupart des cas, ces frais sont pour lesdits passagers moins élevés que le prix d’un billet de train. Ainsi, pour un Paris-Clermont le vendredi 24 juin au matin, le premier prix est de 42,50 €. Le même trajet en covoiturage oscille entre 22 et 30 €. Des économies substantielles qui expliquent en grande partie l’engouement pour le covoiturage. Lire l’article sur le parisien.fr