Les livres s’achètent, sont lus, prêtés, donnés, relus, du chevet à la bibliothèque, de la bibliothèque au vide-grenier parfois, au bouquiniste sinon, et souvent prennent la poussière sur une étagère, s’accumulent dans l’oubli. Ou pire, terminent à la poubelle (jaune). Pour tous ces bouquins, la SAS RecycLivre fondée en 2008, œuvre à une autre destinée.
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San Francisco s’est positionnée comme un leader de la gestion des déchets en réduisant de 77% la part de ses déchets qui terminent dans des décharges ou des incinérateurs. La ville a obtenu une reconnaissance au niveau national au travers d’une approche à trois axes: l’établissement d’une législation forte en vue de réduire la quantité de déchets produits, un partenariat avec une compagnie de gestion des déchets partageant les mêmes objectifs et avec laquelle elle a pu initier des programmes innovants, et la création d’une culture du recyclage et de compostage.
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Au Rajasthan, dans le nord de l’Inde, une école accueille des femmes venues d’Afrique, du Pacifique ou d’Amérique latine, dont les villages sont sans électricité.
À l’issue d’une formation de six mois, elles deviendront ingénieurs en énergie solaire. Grâce à elles, leurs communautés pourront cuisinier, lire ou travailler le soir venu. Nos reporters sont allés à leur rencontre.
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Convaincu qu’en s’inspirant de la nature, la technologie doit être au service de l’environnement en réparant les désastres causés par les humains, César Harada est à l’origine d’un projet ambitieux : la conception d’un drone marin innovant, permettant notamment l’écrémage du pétrole déversé par les marées noires.
Fils d’un père japonais et d’une mère française, César Harada est à la croisée de courants émergents : open-source, open hardware, recherche collaborative, biomimétisme et écologie. Il les emploie pour mettre en action sa conviction que « les courants marins, le vent et les autres phénomènes naturels peuvent fournir des solutions uniques et novatrices aux pires catastrophes de l’humanité, comme les déversements de pétrole et les fuites radioactives ».
Il y a quelques années, César Harada s’est retrouvé coincé dans un laboratoire du MIT (Massachusetts Institute of Technology), attelé à la construction d’un drone de nettoyage de marées noires. Mais pour y arriver, il est contraint d’utiliser la technologie propriétaire des entreprises finançant le laboratoire. Celle-ci n’étant pas optimale et protégée par des brevets, il démissionne. « Quand on veut développer de la technologie au service de l’environnement, on veut être certain que celle-ci va servir le plus grand nombre au moindre coût possible », expliquait-il en novembre dernier, lors du neuvième OuiShare Talk à Paris.
Il se dirige alors vers la Nouvelle-Orléans, où il travaille avec la Louisiana Bucket Brigade afin de cartographier la nappe de pétrole du Golfe du Mexique. Et au même moment, il commence à imaginer Protei, un drone-bateau open-source.
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Solidaires en France, les réseaux membres de l’IRFS le sont aussi avec les pays du Sud : 350 emplois ont été créés en Afrique dans les centres de tri du Relais.
Créer de l’emploi en France, lutter contre l’exclusion et agir pour l’environnement ? C’est possible et c’est le combat quotidien des membres de l’Inter-Réseaux de la Fibre Solidaire (IRFS) !
Rassemblés au sein de l’IRFS, Emmaüs, le Relais, le Secours Catholique et Tissons la Solidarité travaillent sur toute la filière de récupération textile : collecte, tri, réemploi et recyclage. Avec plus de 3500 emplois créés en France, dont une part significative en contrat d’insertion, ils démontrent qu’il est possible de concilier le social et l’économique.
Collectés dans les conteneurs du Relais ou sur les sites des associations, les textiles sont triés puis redistribués aux plus démunis, grâce aux dons ou à la revente à petits prix en boutiques et salles de vente.
Solidaires en France, les réseaux membres de l’IRFS le sont aussi avec les pays du Sud : 350 emplois ont été créés en Afrique dans les centres de tri du Relais.
Les 4 réseaux sont également très investis sur la R&D en cherchant sans cesse de nouveaux débouchés écologiquement viables pour réduire toujours plus la part de textile finissant en déchets. Aujourd’hui, près de 90% des textiles sont valorisés.
Pour en savoir plus sur l’IRFS et ses réseaux membres, cliquez ici
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Extramuros l’atelier, entreprise d’insertion créée en 2008 fabrique et distribue des objets, meubles, réalisés à partir des déchets d’entreprises et en partenariat avec ces dernières. Les bâches publicitaires sont ainsi transformées en trousses, sacs de voyage, sacs cabas ; les sacs postaux deviennent autant de besaces, de portes cahiers ou de portes crayons et le bois est récupéré pour faire des armoires murales ou des bancs. Tous les procédés de fabrication et les produits utilisés sont respectueux de l’environnement.
L’entreprise recrute également dans son atelier des personnes éloignées de l’emploi. Elles y apprennent un métier et bénéficient d’un accompagnement socio-professionnel. Après une période d’embauche de 3 à 24 mois, elles partiront vers l’emploi ou la formation durable.
L’entreprise qui se développe souhaite arriver à une trentaine d’employés d’ici 3 ans.
Regardez la vidéo en cliquant ici et consultez le site d’Extramuros là.
La société londonienne Therefore, spécialiste des appareils électriques de faible puissance, vient de lancer GravityLight, la première lampe alimentée en énergie par la force de la gravité. L’énergie d’un poids descendant lentement au sol offre 30 minutes d’éclairage, sans batterie ! Il suffit de le remonter toutes les demi-heures pour continuer à s’éclairer. Et ainsi de suite.
Cette lampe d’un nouveau genre vient d’entrer en commercialisation, pour moins de 10 $. En Afrique et en Asie, les habitants de certains villages situés dans des zones rurales non-connectées au réseau électrique utilisent déjà ce paliatif aux lampes au kérosène, qui présentent d’importants risques sanitaires et environnementaux.
Le suivi de ces premiers usagers permettra à la société d’affiner la conception de sa lampe, et ainsi de mieux répondre aux besoins des populations.
Velux, c’est le roi de la fenêtre. Le groupe a donc bien conscience de l’importance de la luminosité dans nos vies (il suffit de voir comment nous déprimons en plein mois de novembre). 70 % des propriétaires placent la lumière naturelle parmi les quatre premiers critères d’achat de leur maison selon une étude GFK. Autre sujet crucial: la qualité de l’air qui est beaucoup plus pollué qu’à l’extérieur. Et on sait à quel point les allergies sont un fléau de ce siècle: 30 % des personnes en souffrent. La ventilation naturelle de la maison est donc idéale. La famille Pastour le sent tout de suite et leur fils Rayan qui est asthmatique, n’a plus besoin de sa ventoline.
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Remplacer la centrale électrique par le corps humain en mouvement ? C’est le projet mis en oeuvre par Georgie Delaney au Royaume-Uni, et que nous rapporte CNN.
Un nouveau centre de fitness extérieur installé dans la ville d’Hull en Angleterre permet aux habitants de produire de l’électricité dès que l’installation est utilisée.
« A ce jour, la communauté a généré quarante kilowatts » explique Georgie Delaney, directeur créatif dans l’entreprise d’équipements sportifs extérieurs The Great Outdoor Gym Company « Le but est qu’une installation comme ça serve une communauté d’environ 5 000 personnes. »
Le dispositif permet actuellement de fabriquer suffisamment de puissance pour alimenter son propre éclairage. Sur le long terme, il pourrait même permettre de produire des surplus d’énergie capables d’alimenter le réseau électrique national, et ainsi, réduire les factures d’électricité des habitants.
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