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L’actu de Reporters d’Espoirs

La Fair Pride, premier carnaval éthique et solidaire

By L'actu de Reporters d'Espoirs2 Comments

La Fairpride est un défilé festif, multi-acteur, et solidaire réunissant les acteurs du commerce équitable, de la mode éthique, et du secteur de la solidarité au sens large. Le cortège de la Fairpride débutera de le 20ème arrondissement de Paris, place de la Mairie (Métro Gambetta) et déambullera dans les rues de Paris en laissant sur son passage un message de solidarité, d’équité et de citoyenneté. Le cortège prendra fin sur la place Baudoyer (face à la Mairie du IVème arrondissement) autour d’une dégustation au ‘Village Bio-équitable’.

Venez découvrir des modes de consommation durables et alternatifs au ‘Village Bio-équitable’ :
– Nouveaux modes de développement
– Nouveaux rapports Nord-Sud
– Nouvelles relations Producteurs – Consommateurs

Initié par Artisans du Monde, cet événement rassemble de nombreux acteurs du commerce équitable et de la consommation responsable au beau milieu de la Quinzaine du commerce équitable qui a lieu du 14 au 29 mai dans toute la France.

En savoir plus sur le site de la Fair Pride

Entreprendre dans les quartiers : comment booster un développement en berne ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Elles ne se posent pas en victimes. Les banlieues ont la peau dure, les idées qui bouillonnent et comptent bien le prouver. Mardi 3 mai, pour ce 39ème « Alter Mardis : Parlons Solutions », il était justement question de ces quartiers en difficulté qui prennent leur destin en main. Le développement entrepreneurial constitue un nouvel espoir pour les populations de ces zones trop souvent stigmatisées et abandonnées en marge du développement économique. Si le taux de créations d’entreprises y est d’ailleurs deux fois supérieur à la moyenne nationale, il n’en demeure pas moins que leur survie à 5 ans reste 30 fois inférieure. La question du développement se positionne donc au cœur du débat. Animée par Abderzak Sifer, directeur d’investissements chez BAC partenaire, cette table ronde a soulevé les dysfonctionnements propres au dynamisme économique et les solutions pour les surmonter.

Le constat est désolant. Rien qu’en Ile de France, les Zones Urbaines Sensibles (ZUS) sont au nombre de 251, sur 700 au niveau national. Elles représentent 1,5 millions d’habitants, soit 11% de Franciliens, contre 7% en France. En 2009, le taux de chômage a atteint 18,6 % contre 9,5 % pour l’ensemble du territoire (France y compris DOM). Les jeunes sont tout particulièrement touchés par le chômage, 1 jeune sur 2, et par le manque de qualification. Comment justifier un tel grand écart ? Le réseau demeure souvent le premier obstacle. Les débouchés commerciaux restent faibles et irréguliers. Malgré les besoins monumentaux de biens, de services et autres prestations des grandes entreprises, les entrepreneurs des quartiers ne parviennent pas à se positionner. La problématique d’accès aux commandes et la perte d’appels d’offre est une constante, souvent inhérente à la trop petite taille des entreprises des zones sensibles face à la visibilité des grands groupes. 90 % des entreprises françaises comptent moins de 10 salariés, encore plus dans les quartiers. Autre obstacle à la création et au développement d’entreprises ? L’aide financière. 92% des entrepreneurs en ZUS investissent avec leurs propres deniers ! Et n’allez pas croire que le chômage les pousse à créer. 75% d’entre eux avaient déjà un emploi au moment de monter leur entreprise, qui se positionne pour une large majorité dans le même secteur d’activité dans lequel ils évoluaient.

Dans un contexte aussi rude, comment développer une économie compétitive et pérenne ? Pour Abdellah Aboulharjan, directeur de La Nouvelle PME: « Le réseau est souvent le premier obstacle, aussi nous proposons des rencontres régulières entre entrepreneurs et des ateliers 2 fois par mois pour renforcer leurs capacités, identifier leurs besoins et répondre à certaines problématiques ». Majid El Jarroudi s’attaque au manque de visibilité grâce à l’Adive : « On identifie les besoins des grands groupes, les fournisseurs potentiels en banlieue et on les met en relation. On a jeté des ponts, créé des liens intelligents et un nouvel écosystème dans lequel s’établissent des relations gagnant/gagnant ». Alors qu’il n’est plus à démontrer que les PME jouent un rôle moteur dans la croissance économique et la création de valeur et d’emplois, Laurence Mehaignerie présidente de Citizen Capital, fonds de capital investissement indépendant, cherche les leviers de croissance dans les segments peu financés par le capital investissement, du point de vue de l’implantation géographique, du profil ou du parcours du dirigeant ou encore de l’impact positif de l’activité sur la société. « On a vocation à faire 3 ou 4 capital-investissements par an, avec 2,5 millions par société ». Elle propose de s’inspirer du modèle américain et de sa politique pour faire entrer les TPE/PME sur le marché. Pour Jamila Jaaidane, chargée de mission développement économique des territoires en difficulté de la Région Ile-de-France : « Ca n’est pas tant un manque de subvention, car la région investit énormément en capital risque, qu’un manque d’accès à l’information et à la formation. A titre d’exemple, seulement 2% des jeunes issus des ZUS accèdent à l’alternance contre 4% en Ile de France ». Abdellah Aboulharjan conclut : “C’est en augmentant l’activité des entreprises issues et implantées dans les quartiers, qu’on va créer de l’emploi. Il ne faut pas chercher à tout prix à créer des entreprises, mais se concentrer sur ce qui existe déjà ».

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Entreprendre dans les quartiers : Comment booster un développement en berne ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Certains contextes forcent à redoubler d’effort, de pugnacité et d’inventivité. C’est le cas des banlieues, enclaves sensibles bien souvent privées de dynamisme économique. Ce 39 ème « Alter Mardis : Parlons Solutions » vous transporte dans ces quartiers pourtant pleins d’avenir où le développement entrepreneurial ne demande qu’à s’accélérer et à perdurer. Animé par Abderzak Sifer, directeur d’investissements chez BAC partenaire, ce débat mettra en lumière tant les barrières que les aides, les opportunités et les initiatives novatrices nécessaires au développement économique, dans des zones injustement stigmatisées.

Le mécanisme de l’entrepreunariat ignore les frontières géographiques et culturelles pour ne viser que la valeur économique, couplée dans le meilleur des cas à des visées sociales et environnementales. Cette force se reflète dans les quartiers les plus difficiles où certaines volontés s’affirment et font bouger les lignes. Si le taux de créations d’entreprises et d’ailleurs deux fois supérieur à la moyenne nationale, il n’en demeure pas moins que leur taux de survie à 5 ans reste 30 fois inférieur. Tous les handicaps s’y cumulent : absence de réseau, manque de formation et de financement, mauvaise « publicité »… Pourtant, dans ces quartiers, une politique très incitative a été mise en place pour attirer et développer l’activité. Pendant les 5 premières années à compter de leur installation, les entreprises sont exonérées des charges sociales, des impôts sur les sociétés, de la taxe professionnelle et de la taxe foncière. La condition ? Un tiers des embauches doivent concerner les habitants du quartier. Les « zones franches urbaines » constituent un nouveau chapitre des Politiques de la Ville. Après une quinzaine d’années de travail centré sur la réinsertion des jeunes, la création d’équipements publics et la réflexion sociologique, l’accent a été mis vers la fin des années 90 sur la valorisation de l’entreprise comme réponse aux problèmes sociaux, et comme voie d’accès à une intégration durable.

Malgré un immobilisme latent, des solutions durables existent pour attirer une économie compétitive et pérenniser le dynamisme des quartiers. A la manière de Laurence Mehaignerie qui s’attaque au problème du financement. Son fonds de capital investissement Citizen Capital, alimente des entreprises de petite taille qui connaissent des barrières sociales dans l’accès aux fonds propres, à cause de leurs situations géographiques ou du parcours du dirigeant. Elle témoignera des difficultés d’investir dans les quartiers, donnera peut-être les clés pour y parvenir dans les prochaines années et apportera aussi son expertise sur les questions de diversité. Majid El Jarroudi s’attèle à la stigmatisation et au manque de réseau et de visibilité grâce à l’Adive. L’égalité des chances dans l’accès aux marchés pour les entrepreneurs issus des quartiers devient réalité grâce à leur mise en relation avec des grandes entreprises. Abdellah Aboulharjan, directeur de « La Nouvelle PME », démontrera qu’il est possible de renforcer les capacités des jeunes entrepreneurs des quartiers sensibles grâce à un réseau associatif fort d’outils et de services. Enfin Jamila Jaaidane, chargée de mission développement économique des territoires en difficulté de la Région Ile-de-France présentera les outils et les projets de la région pour les entrepreneurs des quartiers, de l’accessibilité immobilière jusqu’à l’aide financière.

Rendez-vous mardi 3 Mai de 19h00 à 20h30
au Comptoir Général
80, quai de Jemmapes 75010 Paris
M° République/Jacques Bonsergent

Inscription gratuite mais obligatoire en cliquant ici

Inscrivez-vous au Prix des Femmes Formidables 2011

By L'actu de Reporters d'EspoirsOne Comment

Ce prix organisé par Femme Actuelle et France Bénévolat récompense les femmes qui jouent un rôle essentiel dans une association et qui ont réalisé une action exemplaire dans les domaines de l’enfance, de la solidarité ou de l’environnement. Fondatrices, dirigeantes ou responsables d’une activité au sein d’une association, elles ont su faire preuve d’audace, de générosité et de ténacité pour mener à bien leur projet.

L’association doit répondre aux critères suivants :
• Avoir au minimum 2 ans d’existence
• Mener des actions en France
• Faire appel à des bénévoles
• Présenter des fi nances équilibrées

Les principaux critères de sélection reposent sur la capacité de l’association à :
• Agir dans les domaines de l’enfance, de la solidarité ou de l’environnement
• Démontrer l’impact des actions menées
• Mener des actions innovantes
• Présenter un potentiel de développement

Au total 60 000 € seront versés aux 10 associations fi nalistes de la façon suivante :
• 1er prix du jury : 10 000 €
• Coup de coeur des Femmes : 10 000 €
• Coup de coeur Nivea : 10 000 €
• 2e prix du jury : 8 000 €
• 3e prix du jury : 7 000 €
• 6e au 10e prix : 3 000 €

Avec l’aide de France Bénévolat, un pré-jury composé de spécialistes du monde associatif et de membres de la rédaction se chargera de la sélection des dossiers.

Pour déposer votre candidature, cliquez ici

Etudes, emploi, société : pourquoi la mesure de la diversité reste-t-elle taboue ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Elle a le parfum de la controverse et des réjouissances à demi-mots… La diversité fait constamment mouche et intrigue toujours plus à mesure qu’elle reste insaisissable. Pourtant ce 38ème « Alter-Mardis : Parlons Solutions » a relevé le défi de la confronter à la mesure. Faut-il chiffrer la diversité pour prévenir et guérir les discriminations ? Obtient-on des résultats réalistes et efficaces ? Conduite par Catherine TRIPON, porte-parole de la Fédération « L’Autre Cercle » et membre du comité consultatif de la HALDE, la table-ronde a posé les pour et les contre de la mesure de la diversité, en présence d’Hubert BONAL, responsable « Egalité des chances » à HEC ; d’Aline CREPIN, Membre de la commission de normalisation Afnor sur la mesure de la diversité ; de Cyril DELHAY, auteur de « Promotion ZEP : des quartiers à Science Po » ; de Samuel THOMAS, membre du bureau national d’SOS Racisme, et de Mansour ZOBERI, directeur de la promotion de la diversité et de la solidarité du groupe Casino.

La fin justifie-elle les moyens ? Oui, lorsqu’il s’agit de combattre les discriminations à l’école, au travail et dans la société en général. Le moyen qui s’impose désormais partout : la mesure. Pourtant, à l’heure de la « Charte de la Diversité » et des Labels « Egalité » et « Diversité », des « Cordées de la Réussite » ou encore des « Conventions Education Prioritaire » et autres « Internats de l’Excellence », le compte n’y est pas. Qui peut affirmer aujourd’hui sereinement qu’il n’existe pas de différence d’accès au savoir en fonction de la situation personnelle et familiale de l’étudiant ? Qui peut avancer que les recrutements et les promotions se basent uniquement sur les compétences des individus ? La tâche semble peu aisée, car il s’agit plus de mesurer des comportements, des mentalités et des dynamiques sociales.

Mesurer pour mieux combattre devient le crédo de nombreuses institutions. Les chiffres parlent mais se révèlent insuffisants. Si Cyril DELHAY se réjouit que Sciences Po soit passé de 6 à 26% d’élèves boursiers en 10 ans, il ajoute « il ne faut pas se mentir, c’est une grande frustration car à l’échelle du pays ça n’a pas bougé, la sociologie du pays s’est même encore refermée ». Utiliser le taux de boursiers CROUS comme indicateur reste intéressant pour l’enseignement supérieur, mais n’empêche pas de palier les discriminations. D’autant que « la sélection se fait très tôt en France, contrairement à l’international qui propose des formations reprises. L’élève n’a pas le temps de se révéler », pointe du doigt Hubert BONAL. Les grandes écoles n’ont pas d’autre choix que d’accompagner leurs mesures de la diversité d’une sensibilité à la discrimination, en s’armant de critères de sélection plus fins, moins universitaires et fondés sur le potentiel des candidats.

Du côté des entreprises, la Charte de la diversité fait des émules, tout comme son prolongement opérationnel : le label Diversité. Ces deux outils visent l’incitation à l’autocritique, à la promotion et au respect de la diversité dans leurs effectifs. S’ils rendent possible la mesure de l’origine, Aline CREPIN met en garde : « Le vrai problème c’est le déni et les discriminations passives lors des recrutements ». Mansour ZOBERI a mesuré les origines réelles ou supposées d’accès à l’emploi dans son entreprise : « En mettant en place un testing entre mars 2007 et mars 2008, sur la base de 700 emplois en France, le différentiel s’élevait à 29% sur les employés… ». La démarche de l’entreprise pour faire ressortir par la mesure les chiffres de la diversité reste louable. Mais ne faut-il pas tout d’abord regarder les mesures à prendre pour faire cesser les discriminations avant de mesurer à tout prix? A Samuel THOMAS de conclure « Ce qui est tabou, ça n’est pas de mesurer, mais ce qu’on en fait. L’avenir n’est pas de mesurer mais de corriger le tir ».

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Les Journées Européennes du Solaire

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Pour leur 4ème édition en France, les Journées Européennes du Solaire 2011 se déroulent sur 7 jours (du 9 au 15 mai 2011) et visent plus de 2000 initiatives locales et 50 000 visiteurs. Elles mettent en place un dispositif sans précédent pour l’occasion : partenariats, marketing électronique, campagne radio …

Enerplan invite tous les acteurs publics et privés à se mobiliser pour organiser des manifestations du 9 au 15 mai 2011 : les installateurs et les industriels du solaire, les Espaces Info Energie (EIE), mais aussi les collectivités, les écoles, les associations…

Tout type d’évènement visant à mieux faire connaître l’énergie solaire au grand public peut être organisé. A titre d’exemple :

– opération portes ouvertes dans les usines et les entreprises du solaire
– journée d’information sur le solaire dans les EIE, les communes ou chez les professionnels
– stand d’information sur le solaire dans les agences clientèle des opérateurs énergétiques, dans les communes
– exposition sur le solaire dans les écoles
– visite d’opération solaire par les installateurs ou les EIE
– initiative solaire dans les communes ou les écoles
– projets solaires dans les universités
– flash info solaire dans les médias spécialisés ou locaux
– etc.

Chaque organisateur d’événement bénéficiera gratuitement d’outils spécifiques de communication à l’effigie des journées européennes du solaire. Enerplan, en parallèle, sollicite les médias pour couvrir les événements.

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Etudes, Emploi, Société: Pourquoi la mesure de la diversité reste taboue ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Ce 38ème « Alter Mardi : Parlons Solutions » s’interroge sur la mesure de la diversité.
En effet, si la question de la mesure dans le cadre de la prévention des discriminations et la promotion de la diversité fait toujours débat, force est de constater que sans action volontariste, le compte n’y est pas.
Mais, a-t-on besoin de chiffres pour démontrer une réalité et justifier de l’importance de lutter contre des discriminations, dans l’école, au travail et dans la société en général ?

Personne ne peut dire aujourd’hui qu’il n’y a pas de différence d’accès au savoir en fonction de la situation personnelle et familiale de l’étudiant-e.
Nul ne peut affirmer benoîtement que l’on recrute et que l’on promeut uniquement sur les compétences et que certaines caractéristiques personnelles n’entrent pas en ligne de compte dans le choix final.
Absence de parité indécente dans les nouveaux conseils généraux, femmes plus que minoritaires dans les conseils d’administration, directions générales de la fonction publique et des grandes entreprises, baisse des jeunes issus des classes populaires dans l’enseignement supérieur, taux de chômage deux fois supérieur pour les travailleurs handicapés, inégalité salariale flagrante pour les personnes issues de l’immigration dans leur parcours professionnel… Si on peut le dire, n’est-ce pas parce que l’on a, à un moment donné, usé de l’outil statistique ?

Cependant, comment apprécier l’impact des « cordées de la réussite », des « internats de l’excellence », de la charte « Université-Handicap » ?
Comment qualifier quantitativement les engagements liés à la « Charte de la Diversité » et aux Labels « Egalité » et « Diversité » ?
80% des handicapé-e-s et plus de la moitié des homosexuel-le-s n’osent pas se rendre visibles au travail.
Comment mesurer les inégalités si l’environnement ne les repère pas ? Alors, si mesurer n’est pas compter, à quoi cela sert-il et doit-on le faire ? Mesurer quoi, tester qui, recueillir des statistiques, comment ?
Nos intervenants confronteront leurs points de vues et leurs expériences issues du terrain afin de sortir du tabou et apporter une réflexion éclairée et apaisée sur un sujet qui reste conflictuel.

En présence de :

• Hubert Bonal, responsable « égalité des chances » à HEC
• Aline Crépin, membre de la commission de normalisation Afnor sur la mesure, déléguée de l’Institut pour l’égalité des chances et le développement durable de Randstad
• Cyril Delhay, auteur de « Promotion ZEP : des quartiers à Sciences Po », directeur de la communication de Sciences Po
• Samuel Thomas, membre du bureau national d’SOS Racisme, président de la fédération nationale de la Maison des potes, membre du comité consultatif de la Halde
• Mansour Zoberi, directeur de la promotion de la diversité et de la solidarité du groupe Casino, membre du Collège de la Halde.
La rencontre sera animée par Catherine Tripon, porte-parole de la fédération « L’Autre Cercle » et membre du comité consultatif de la Halde.

Inscription gratuite mais obligatoire en cliquant ici

Dis-moi pourquoi tu joues ? 5èmes Rencontres Asmae

By L'actu de Reporters d'Espoirs3 Comments

Asmae vous invite à échanger sur le thème : L’importance du jeu dans le développement de l’enfant. Dis-moi pourquoi tu joues ? Avec la présence de Jean Epstein

Le jeu est une activité que l’on peut observer chez tous les enfants du monde, d’où qu’ils soient. Il permet non seulement le développement individuel (psycho-moteur-sensoriel) de l’enfant, mais aussi son développement familial et social.
Aujourd’hui le droit au jeu est un droit fondamental, reconnu par la Convention Internationale des Droits de l’Enfant. Même s’il est universel, l’accès au jeu n’en est pas moins inégal en fonction du contexte culturel et des conditions de vie de l’enfant. Qu’en est-il alors pour les enfants en situation de précarité ou encore vivant dans un contexte culturel où le jeu n’est pas envisagé comme un moteur du développement de l’enfant ? Dans ces conditions, quelle importance a le choix du jeu ou des jouets ? Les aménagements des espaces de jeu? Quel est le rôle et la place de l’adulte en tant que partenaire de jeu ?

Rendez-vous à l’AGECA – 177 rue de Charonne, 75011 Paris
(Accès côté cour par l’intérieur à droite après la pente.)

Inscription (gratuite) obligatoire avant le 25 avril 2011 en cliquant ici

En savoir plus sur Asmae

Jean Epstein, Psychosociologue français, co-fondateur du GRAPE (Groupe de Recherche et d’Action Petite Enfance) et du journal « Enfants d’Abord ». Conseiller technique auprès de municipalités pour les besoins locaux en matière d’enfance et de famille. Son témoignage nous apportera un éclairage précieux quant à l’importance du jeu dans le développement de l’enfant.

Maïa Portine, chargée de Mission pour Asmae au Mali, elle vient tout juste de rentrer d’une mission pour Asmae au Mali où elle a accompagné nos partenaires sur le développement de pédagogies adaptées en éducation préscolaire favorisant la participation des enfants. Elle nous parlera de son expérience dans les jardins d’enfant au Mali et sur la dimension culturelle du jeu.

Philippe Lorin, responsable de la crèche du centre de Bobigny, l’Île aux enfants. Son intervention nous permettra, entre autre, de mieux comprendre l’importance du jeu pour l’enfant et le rôle de l’aménagement des espaces de jeu.

Agriculture, comment relever les défis de la fertilité ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsOne Comment

Agriculture biologique, agriculture durable…
L’association Arbre & paysage 32 organise vendredi 22 avril 2011 une soirée d’échanges sur le thème de l’agriculture, avec Philippe Debrosses, agriculteur, docteur en Sciences de l’Environnement (Université Paris VII), chargé de mission auprès du Ministère de l’Agriculture et expert consultant auprès de l’Union Européenne.
Auteur de nombreux ouvrages de référence, il est l’un des pionniers de l’agriculture biologique en Europe et fut à l’origine de la création de la plupart des mouvements d’officialisation de l’agriculture biologique.

Des agriculteurs gersois viendront témoigner de leur manière d’envisager la problématique de la fertilité sur leur exploitation, les enseignements qu’ils tirent de leurs pratiques culturales, et les voies d’avenir qu’ils explorent sur ce sujet.

Merci de bien vouloir vous INSCRIRE auprès d’Arbre & Paysage 32 : 05 62 60 12 69
contact@arbre-et-paysage32.com

plus d’infos sur www.arbre-et-paysage32.com