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79% des français estiment qu’il faut prendre les choses en main et ne pas subir : le Sondage France des solutions – Ouest France par l’IFOP

By FRSOL, Le Lab, SociétéNo Comments

Ouest France, partenaire fidèle de Reporters d’Espoirs, a réalisé avec l’IFOP un sondage spécial à l’occasion de « La France des solutions ». Focus sur les principaux résultats.

« Près de huit Français sur dix estiment aujourd’hui que, dans la vie, il faut prendre les choses en main et ne pas subir (79%) plutôt que de les prendre comme elles sont (21%), soit une augmentation de trois points par rapport à l’an dernier. Outre ce surcroît de volontarisme, on observe qu’il n’est pas appréhendé de la même manière en fonction de l’âge : en effet, plus on est jeune et plus l’item « il faut prendre les choses comme elles sont » est cité (de 14% chez les 65 ans et plus à 31% chez les 18-24 ans), preuve qu’un certain fatalisme traverse une partie de la jeunesse du pays et que le rapport à l’adversité évolue avec l’âge et l’expérience.

Dans le détail, le volontarisme des Français s’exprime dans leur propension à s’engager pour différentes causes, par exemple en faisant du bénévolat ou du volontariat pour une association ou ONG. Ainsi, deux tiers (64%) se disent prêts à s’engager auprès d’une organisation consacrée à la culture et aux loisirs, une thématique suivie par d’autres domaines plus relatifs aux problématiques sociétales comme l’environnement (62%), la santé (61%) et l’action humanitaire (60%, qui recoupe l’action caritative, l’aide à domicile, etc.). Par ailleurs, environ la moitié des Français serait prête à s’investir dans l’éducation (50%, par exemple dans des fédérations de parents d’élèves) ou la défense des droits (48%, syndicats, copropriétés, etc.). Si des centres d’intérêt comme le sport (44%) et le patrimoine (39%) suscitent encore une disposition d’engagement importante, on relève que les domaines les moins stimulants sont la politique (20%) et la religion (17%). Dans le détail, on observe un surcroît d’engagement potentiel chez les plus jeunes et un score généralement inférieur à la moyenne chez les plus âgés… sauf en matière de défense des droits (53% des personnes âgées de 65 ans et plus susceptibles de s’y investir, contre 48% en moyenne) et de patrimoine (41%, contre 39%).

[…] Dans une société où la majorité estime qu’il faut prendre les choses en mains, il n’est guère étonnant que les individus eux-mêmes soient considérés comme l’acteur le plus à même de trouver des solutions pour améliorer la situation dans le pays (31%). Par contraste, seuls 13% des Français citent l’Etat et les pouvoirs publics, 11% les entreprises privées et les associations, quand un tiers ne fait confiance à aucun de ces acteurs (34%).

[…] Au final, trois quarts des Français (74%) considèrent que ce sont les citoyens qui sont les mieux placés pour améliorer la situation dans le pays, car c’est par une somme de petites initiatives qu’on peut vraiment changer les choses. A contrario, 26% estiment que ce sont les politique qui sont les mieux placés, eu égard à leurs leviers législatifs et budgétaires. Dans cette dichotomie, une opposition se fait jour : environ deux tiers des sympathisants des partis de gouvernement (64% au PS et 67% chez Les Républicains) privilégient l’action des citoyens quand ce score dépasse les 70% dans des franges plus contestataires comme les proches du Front de Gauche (72%) et du Front National (79%).
> Plus d’analyse sur le site de l’IFOP

> Les résultats complets de l’étude IFOP

La France des Solutions 2015 : des réponses concrètes aux défis contemporains

By FRSOLNo Comments

Lundi 12 octobre à Paris, à l’invitation de l’association Reporters d’Espoirs et du CESE (Conseil économique, social, environnemental), devant un auditoire de 600 personnes, entrepreneurs, porteurs de projet, patrons de média, sociologue, navigatrice ou écrivain ont rappelé la nécessité d’agir et de faire confiance à l’inventivité française pour faire face aux problèmes écologiques, économiques ou sociaux. Retour sur les temps forts de l’événement.

« Fini le verre à moitié vide, à la fin de la journée, j’ai envie de voir mon verre déborder d’optimisme », a prévenu d’emblée , l’un des animateurs pleins de peps de cette 3e édition de La France des inventée par Reporters d’Espoirs, l’association qui depuis onze ans diffuse l’envie d’agir et milite pour un . Un souhait exaucé au fil des interventions passionnantes qui ont ponctué cette après-midi dédiée aux initiatives mises en œuvre aux quatre coins de l’Hexagone pour lutter contre les problèmes économiques, sociaux ou environnementaux auxquels notre pays est confronté. Navigatrice, écrivain, sociologue, architecte, chefs d’entreprise, porteurs de projet, journalistes et dirigeants de  : ils étaient venus, ils étaient tous là ! Trois heures durant, ils ont défilé sur la scène de l’auditorium du Palais de Iéna pour nous rappeler que si les problèmes sont nombreux, des réponses, des solutions, parfois originales existent.

« Entrer dans l’ère des rebelles »

Les 4 lauréats France des solutions Académie, jeunes entrepreneurs et associatifs de moins de 30 ans. De droite à gauche : Roxane Julien (Full Mobs), Arnault Martin, (Musique pour tous), Anaïs Barut (Damae Medical), Gaspard Rorh (Wheeliz).

Les 4 lauréats France des solutions Académie, jeunes entrepreneurs et associatifs de moins de 30 ans.
De droite à gauche : Roxane Julien (Full Mobs), Arnault Martin, (Musique pour tous), Anaïs Barut (Damae Medical), Gaspard Rorh (Wheeliz).

Inaugurée par Jean-Paul Delevoye, président du Conseil Économique, Social et Environnemental (Cese), Laurent de Cherisey, co-fondateur de Reporters d’Espoirs, et Didier Patault, président du directoire de la Caisse d’Épargne Île-de-France, l’événement a réuni quelque 600 personnes désireuses elles aussi de lutter contre la morosité ambiante. Fidèle à son image d’homme à l’écoute, le Président du Cese a d’emblée invité les participants à entrer dans l’ère des rebelles ». Avant d’encourager les «  » à agir, à retrouver une énergie citoyenne qui permette de retrouver l’estime de soi. Dans ce lieu de la République « où l’on peut parler, être écouté et respecter », l’architecte et le sociologue ont invité eux aussi à nourrir le rêve français. Après un « oubliez tout ce que vous savez », la fondatrice, à Lyon Confluence, de l’Institut pour l’innovation et les stratégies créatives en architecture, a milité pour « le devoir de rêver ». Une recommandation reprise par le sociologue qui a rappelé qu’à l’heure où les Français sont si déprimés, un réenchantement est nécessaire.

La magie, elle a opéré tout au long des interventions des acteurs d’initiatives prometteuses et impactantes qui se sont succédé sur la scène, animées par des journalistes de la télévision – (Echappées Belles sur France 5), (LCI-TF1) et (France24). Thierry Bourgeois, directeur industriel et de la RSE (Responsabilité sociale et environnementale) de Léa Nature, leader français des produits naturels et biologiques basé à La Rochelle, co-fondateur de Biotop, une structure qui, au cœur de la zone industrielle de Périgny, veille à la gestion des déchets et à leur réutilisation dans un écosystème d’économie circulaire. « Désormais, les flux sortant deviennent entrant », s’est félicité l’entrepreneur. Hormis le recyclage de 75 tonnes de déchets et la réutilisation de 108 tonnes, le projet a permis la création de cinq emplois et l’invention de nouveaux produits, comme Melting Pot, un substrat pour les toitures végétalisées, à base de marc de café et de coquilles de moules.

Des « diseux » aux « faiseux »

Jean Viard, sociologue, et Odile Decq, architecte, ont ouvert la journée sur le thème "Nourrir le rêve français".

Jean Viard, sociologue, et Odile Decq, architecte, ont ouvert la journée sur le thème « Nourrir le rêve français ».

L’écrivain , fondateur de l’association Bleu Blanc Zèbre, s’y est mis aussi. « Cessons d’écouter les « diseux » et soyons attentifs aux « faiseux » afin de capitaliser le génie français et de lutter contre la montée des extrémismes », a-t-il proclamé. Avant de rappeler : « On ne parle jamais de joie en politique, or c’est le moteur du changement. Ce n’est pas un hasard si c’est toujours le plus joyeux qui embarque la fille ! » Embarqué, l’auditoire l’a été par le témoignage de Gilbert Pinteau, ex-SDF et fondateur de l’association Collectif des SDF de Lille qui, en deux ans et sans financement a relogé 180 personnes. Un parcours qui devrait inciter les pouvoirs publics à « voir les individus comme une ressource et pas comme un problème », a ajouté Alexandre Jardin. Considérer les concitoyens comme des ressources, c’est ce à quoi s’applique l’équipe municipale de Saillans, un village de 1200 âmes situé dans la Drôme qui pratique activement la démocratie participative. Expérimentation, confiance, éducation populaire… tels sont les ingrédients qui font la part belle à « l’intelligence collective », comme en témoigne Sabine Girard élue à l’environnement et à l’énergie, et Vincent Beillard, le maire.

Un peu plus tard, une nouvelle vague d’espoirs a submergé l’auditorium du Cese. Emporté par l’enthousiasme de la navigatrice Catherine Chabaud, initiatrice du Tour de France des Solutions pour le Climat, qui nous a rappelé qu’avec ses 11 millions de kilomètres carrés, la France possède le deuxième domaine maritime mondial. Un atout qui génère des initiatives originales, comme en a témoigné Pierre Meisel, fondateur de Team Jolokia (Morbihan), un bateau qui, avec ses 25 coéquipiers issus d’horizons différents, confirme que la diversité favorise la complémentarité des talents. Une démarche partagée par Hélène Rochet, directrice de la Fédération nationale des Paniers de la mer (Finistère) qui forme des personnes éloignées de l’emploi aux métiers du mareyage tout en luttant contre le gaspillage des ressources halieutiques. Jean Ballandras, secrétaire général d’Akuo Energy (Paris), entreprise initiatrice de Nemo, une centrale flottante située au large de la Martinique qui utilise l’énergie thermique des mers, a lui aussi attesté du formidable potentiel de nos ressources marines.

30 médias engagés

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Denis Carreaux, directeur de la rédaction de Nice Matin, avec la Une « On avance » du 12 octobre, avec Reporters d’Espoirs.

Puisque les solutions existent, les diffuser et donner l’envie d’agir s’impose ! Un engagement pris par 30 médias partenaires de La France des Solutions qui s’engagent pendant cette semaine lancée par l’événement, à se faire l’écho d’initiatives constructives. Ainsi des directeurs des rédactions, et rédacteurs en chef, présents : Stéphane Bijoux, de France Ô, Antoine Guélaud, de TF1, Denis Carreaux de Nice Matin, Isabelle de Gaulmyn de La Croix ou Olivier de Lagarde de France Info… Tous on rappelé leur envie d’être – aussi – des rapporteurs d’initiatives « qui témoignent du monde qui avance » pour « diffuser le sentiment que l’on peut avoir prise sur les événements, et créer une dynamique de solutions dans la société française » ainsi que l’a rappelé Gilles Vanderpooten, directeur de Reporters d’Espoirs. L’association, avec ses 30 médias partenaires, a ainsi touché plus de 15 millions de français entre le 12 et le 18 octobre 2015.

Voir leur initiative reprise par les médias, c’est tout ce que l’on souhaite aux quatre acteurs de solutions âgés de moins de 30 ans qui, en deux minutes chrono, ont « pitché » leur initiative dans le cadre de « La France des Solutions Académie« . Musique pour Tous en faveur de la culture et de la solidarité ; Wheeliz pour l’aide aux personnes à mobilité réduite ; Damae Medical pour la prévention des cancers de la peau et Fullmobs, pour trouver son engagement bénévole. Le choix fut difficile. C’est Damae Medical, représentée par Anaïs Barut, qui a remporté le vote du jury et du public de La France des Solutions. Une récompense bien méritée, attribuée de manière participative. Chacun était invité à voter en s’emparant des consoles de votes habituellement dédiées aux membres du CESE. « Citoyens, entrepreneurs, associatifs, maires, reprenez le pouvoir sur l’événement ». C’est l’esprit qui se dégage de cette journée, dont on repart avec idées nouvelles, approche complexe d’enjeux collectifs, et le sentiment que nous avons, malgré les nuages noirs qui s’accumulent au-dessus de nos têtes, de bonnes raisons de croire en l’avenir.

Malika SOUYAH, journaliste, octobre 2015.

La permaculture, l’essence du jardin nourricier – Ouest France #FRSOL

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Jardin potager. La permaculture, l’essence du jardin nourricier
Le jardin-forêt ? Un jardin de strates associant cultures nourricières complémentaires où l’on trouve, du sol jusqu’aux cimes, des tubercules et couvre-sols d’abord (topinambours, poires de terre, cerfeuil tubéreux…), des petits fruits (cassis, framboises…), des arbustes comestibles (arbousiers, argousiers…), des fruitiers et de grands arbres (noyers, châtaigniers).
Extrait de Jardin potager. La permaculture, l’essence du jardin nourricier

Ouest FranceLe dimanche 11 octobre, Ouest-France ouvre le bal de « la », en éditant un numéro spécial autour d’initiatives porteuses de solutions.

Protection civile. Renée Barron, secouriste de la première heure – Ouest France #FRSOL

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La rédaction de se mobilise aux côtés de Reporters d’Espoirs pour mettre en lumière des initiatives porteuses de solutions avec #FRSOL.Zoom sur Renée Barron « secouriste de la première heure » :

Protection civile. Renée Barron, secouriste de la première heure

La Protection civile a 50 ans, Renée Barron a 50 ans de Protection civile. Au sein de l’antenne du Pays des Olonnes, portrait de la doyenne vendéenne des bénévoles.

Doyenne « en temps passé » au sein de l’organisme et non « en âge », tient à préciser Renée Barron. C’est en effet en 1965, à la création de la Protection civile en France, « à l’initiative du général de Gaulle », se souvient-elle, que cette Sablaise est « tombée dedans » ! Et n’en est plus sortie.
Extrait de Protection civile. Renée Barron, secouriste de la première heure

Ouest FranceLe dimanche 11 octobre, Ouest France ouvre le bal de « la  », en éditant un numéro spécial autour d’initiatives porteuses de solutions.

À vélo, bus ou auto… Wimoov redonne les clés de la mobilité – La Croix#FRSOL

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La rédaction de se mobilise aux côtés de Reporters d’Espoirs pour mettre en lumière des initiatives porteuses de solutions avec #FRSOL:

À vélo, bus ou auto… Wimoov redonne les clés de la mobilité

Créée il y a quinze ans, l’association Wimoov s’efforce de remettre, physiquement, sur le chemin de l’ ceux qui en sont éloignés.

À Tours, 600 personnes qui ont bénéficié de ce service l’an dernier.

« Liberté, égalité, mobilité. » Le slogan de Wimoov a séduit Cyrielle Cresson. Cette travailleuse sociale a été embauchée il y a un an comme conseillère mobilité à Tours (Indre-et-Loire), dans l’une des seize antennes de cette association nationale, qui venait tout juste d’ouvrir ses locaux.
Extrait de À vélo, bus ou auto… Wimoov redonne les clés de la mobilité | La-Croix.com – En France

La Croix est partenaire de la

Alexandre Jardin engagé pour « La France des Solutions » – L’Express#FRSOL

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La rédaction de se mobilise aux côtés de Reporters d’Espoirs pour mettre en lumière des initiatives porteuses de solutions avec #FRSOL. Isabelle Hennebelle interviewe Alexandre Jardin et Gilles Vanderpooten dans son émission «  » :

business et sensAlexandre Jardin engagé pour « La « 

Les Français seraient d’incorrigibles pessimistes, pourtant, sur le terrain les initiatives citoyennes fourmillent. Le point avec Alexandre Jardin, écrivain et fondateur du mouvement citoyen Bleu Blanc Zèbre et Gilles Vanderpooten, directeur de l’ONG Reporters d’espoir, organisatrice de « La France des Solutions ».
Extrait de VIDEO. Alexandre Jardin engagé pour « La France des Solutions » – L’Express

L’Express est partenaire de la France des Solutions

Sous la marque Du Business et du sens, L’Express relaie les initiatives – portées par le privé, le public, l’associatif – qui visent à répondre aux défis économiques et sociétaux.

« La France des Solutions » distingue 24 jeunes qui ont de l’avenir – L’Étudiant#FRSOL

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La rédaction de se mobilise aux côtés de Reporters d’Espoirs pour mettre en lumière des initiatives porteuses de solutions avec #FRSOL. Zoom sur 24 jeunes d’avenir :

« La  » distingue 24 jeunes qui ont de l’avenir

L’Etudiant les a repérés. L’association Reporters d’espoirs, qui organise la semaine de mobilisation « La France des Solutions » du 12 au 18 octobre 2015, les a sélectionnés et les (re)met en lumière. Eux, ce sont des jeunes qui tentent d’apporter une solution à un défi économique, social ou environnemental. Portraits.
Extrait de « La France des Solutions » distingue 24 jeunes qui ont de l’avenir – Letudiant.fr

L'Etudiantpartenaire de la France des Solutions

La France des solutions. Neuf mois auprès des enfants pauvres d’Haïti – Ouest-France #FRSOL

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La rédaction de se mobilise aux côtés de Reporters d’Espoirs pour mettre en lumière des initiatives porteuses de solutions avec #FRSOL. Zoom sur Vincent Guivarch, parti neuf mois auprès des enfants pauvres d’Haïti :

La . Neuf mois auprès des enfants pauvres d’Haïti

Vincent Guivarch, enseignant du pays de Morlaix, est parti comme volontaire en Haïti. Au sein d’un groupe scolaire, il s’est confronté à la dure réalité de l’enseignement.
Il vient de mener à bien une mission qui lui a pris, mine de rien, neuf mois de sa vie. En septembre 2014, Vincent Guivarch est parti loin de Saint-Pol-de-Léon, où il a ses racines. Direction Cap-Haïtien, ville portuaire située sur la côte septentrionale de la République d’Haïti.
Extrait de La France des solutions. Neuf mois auprès des enfants pauvres d’Haïti

Ouest France partenaire de la France des Solutions

Ouest FranceLe dimanche 11 octobre, Ouest France ouvre le bal de « la France des Solutions », en éditant un numéro spécial autour d’initiatives porteuses de solutions.

À La ruche qui dit oui, l’abeille est reine ! – Ouest-France #FRSOL

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La rédaction de Ouest-France se mobilise aux côtés de Reporters d’Espoirs pour mettre en lumière des initiatives porteuses de solutions avec #FRSOL. Zoom sur « la ruche qui dit oui », un article de Ludovic AURÉGAN pour Ouest France :

À La ruche qui dit oui, l’abeille est reine !

La France des solutions. En laissant des producteurs locaux fixer leurs tarifs, la Ruche propose une alternative au système de distribution actuel. Avec le souhait de responsabiliser le client.

Chaque vendredi, entre 17 h et 20 h, plusieurs centaines d’abeilles s’arrêtent à Treffrin, à la frontière du Finistère, au niveau de Carhaix. Mais ces abeilles-là ne fabriquent pas de miel. Au contraire, elles ont plutôt tendance à en acheter auprès de l’association La ruche qui dit oui.

Ouest-France partenaire de la France des Solutions
Ouest FranceLe dimanche 11 octobre, Ouest France ouvre le bal de « la France des Solutions », en éditant un numéro spécial autour d’initiatives porteuses de solutions.