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Société

« Le covoiturage devient l’auto-stop du XXIème siècle » (9 juin 2011)

By Environnement, Revue de presse, SociétéOne Comment

Le covoiturage permet de partager les frais d’un déplacement et de réduire le nombre de véhicules sur les routes. Le phénomène n’est pas nouveau, mais il se développe à grande vitesse. Les sociétés d’autoroute doivent s’adapter. Vinci vient d’ouvrir un parking à l’entrée de l’A7, au péage de Valence-Nord (Drôme) pour les adeptes du covoiturage.

article paru dans le Parisien-Aujourd’hui en France :

Vivre mieux

TRANSPORT.

Le covoiturage devient l’auto-stop du XXIe siècle

Economique et convivial, le covoiturage sur les longs trajets fait de plus en plus d’adeptes. A tel point que les réseaux autoroutiers vont créer des aires de stationnement spécialement dédiées.

GRÉGORY PLESSE ET MATTHIAS GALANTE | 09.06.2011, 07h00

Sur le bord d’une petite route de campagne, un joli brin de fille souriante lève le pouce. Après une seconde d’hésitation, vous vous arrêtez car vous allez dans la même direction. Sauf qu’au moment où elle ouvre la portière de votre voiture, ses trois copains avinés sortent du fossé où il s’étaient cachés… Non, l’auto-stop n’a jamais eu très bonne réputation. En revanche, le covoiturage, qui se prépare à l’avance et dont les coûts sont partagés, attire de plus en plus.
Ainsi, Covoiturage.fr, le premier site Web dédié en France, compte désormais plus de 1 million d’utilisateurs, dont 600 000 nouveaux inscrits au cours des douze derniers mois. Grâce à ce seul site (il en existe de nombreux autres), entre200 000 et 250 000 personnes sont transportées chaque mois. Autant que le feraient 500 TGV complets ! Avec l’envolée des prix de l’essence, les conducteurs sont aujourd’hui plus enclins à accepter des passagers pour partager avec eux les frais du voyage. Et, dans la plupart des cas, ces frais sont pour lesdits passagers moins élevés que le prix d’un billet de train. Ainsi, pour un Paris-Clermont le vendredi 24 juin au matin, le premier prix est de 42,50 €. Le même trajet en covoiturage oscille entre 22 et 30 €. Des économies substantielles qui expliquent en grande partie l’engouement pour le covoiturage. Lire l’article sur le parisien.fr

Et si les ONG ne recrutaient que des personnels locaux ?

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Pour s’approcher de l’idée selon laquelle l’aide au développement ne doit plus être « imposée » aux populations bénéficiaires, les ONG du « Nord » cherchent à redéfinir leurs relations avec associations du « Sud » à travers notamment le « renforcement des capacités » des populations bénéficiaires. Concrètement, cette conception peut se caractériser par le recrutement de personnels nationaux.

Depuis sa création en 2001, l’association de solidarité internationale Elevages sans frontières travaille sur le terrain uniquement avec des équipes nationales. Ce choix n’est pas anodin : il implique une manière concrète de penser l’aide au développement. Il participe à la volonté de valoriser les capacités des populations nationales et répond aux besoins de réussite et d’éthique de l’ONG.

Dans ce cas de figure, c’est ce personnel local qui assure le contact avec la population environnante. Il fournit les informations pertinentes mais, au-delà de la gestion courante, il participe à la pérennité de la structure et constitue la mémoire vivante des projets là où les expatriés se succèdent. Autrement dit, de par son « savoir faire » et son « savoir être », il permet à l’ONG de s’intégrer plus facilement et positivement sur son terrain d’action.

Au quotidien, le choix d’équipes uniquement nationales implique un exercice permanent de travail collectif et une adaptation de la part de tous, tant au siège que dans les antennes. La gestion de cette interculturalité à distance consiste à multiplier les échanges directs et les déplacements.

Ainsi, Elevages sans frontières cherche de plus en plus à développer les échanges directs et les rencontres pour valoriser le travail et les idées de chacun. L’association instaure ainsi cette année une rencontre annuelle entre les équipes nationales. Ce rendez-vous permettra à tous de mieux prendre conscience de la dépendance des uns vis-à-vis des autres, de mettre en commun les expériences et de renforcer la cohésion entre les pays. L’enjeu est important alors que l’association marque ses 10 ans d’activités et souhaite faire participer ses équipes à l’élaboration du nouveau plan stratégique. La première rencontre a eu lieu à Lille du 4 au 9 avril 2011.

Cliquez ici pour en savoir plus sur le site d’Elevage sans frontieres

Un cinéma à moto pour les villages africains

By SociétéNo Comments

Depuis lundi 9 mai, 7 triporteurs mobiCINE quadrillent Dakar, 7 autres à Bamako dans un mois.
mobiCINE teste sur 2 capitales un système novateur de projection de films pour les publics populaires. Alors que (presque) tous les cinémas légaux ont fermé en Afrique de l’Ouest, 14 cinés-à-moto inventent la guérilla vidéo urbaine. Les gens ne vont plus au cinéma, alors le cinéma va vers les gens.

Chaque semaine, les 14 unités mobiles mobiCINE assurent 200 à 300 projections de quartier dans des lieux municipaux, associatifs et scolaires. Le public paie 300 FCFA (0,45€) ou assiste gratuitement quand la séance est sponsorisée par un annonceur ou une ONG.

Une programmation exceptionnelle grâce au soutien des producteurs africains et français : mobiCINE privilégie les productions africaines, privées de publics et de revenus par le piratage de masse. Plus de 30 contrats ont été signés en Afrique de l’Ouest, complétés par l’appui enthousiaste de grands noms du cinéma français et belge.
Plus de 200 fictions, dessins animés et documentaires africains et européens pour tous les publics. Priorité aux jeunes : 400 séances scolaires dès mai-juin, en partenariat avec la Ville de Dakar.

Chaque triporteur est équipé d’une « boîte noire » (caisson abritant un vidéoprojecteur 1.300 lumens + un PC portable), d’enceintes auto-amplifiées, d’un écran de 2,40m et d’un groupe électrogène.

Les projectionnistes ont un statut de franchisés et ont intérêt à maximiser leur recette : ils gagnent ce qu’il en reste après s’être acquittés de la location du matériel et d’un forfait revenant à l’ayant-droit. L’objectif est de valider un modèle économique « 3 tiers », où chaque partie trouve son compte : un revenu d’environ 200€ pour le franchisé, des royautés équitables pour les producteurs de films, l’autofinancement sans subvention pour mobiCINE.

Après 6-9 mois de test, les statistiques intégrales seront visées par un Comité de pilotage qui statuera sur la viabilité du modèle et l’équité du partage des recettes. En cas de succès, mobiCINE envisagera une extension à d’autres villes et d’autres pays, en appui sur le micro-crédit.

mobiCINE est proposé par IDmage (Paris – Enrico CHIESA) et SOON (Dakar – Vincent LAGOEYTE), en partenariat avec SARAMA FILMS (Bamako – Salif Traoré) et STUDIO SANKARA (Dakar – Didier Awadi). mobiCINE est développé en synergie avec le portail de téléchargement www.AfricaFilms.tv

mobiCINE est présent au Festival de Cannes du 11 au 20 mai – Pavillon des cinémas du Sud, Village international, tous les jours 10h-12h / Présentation 16 mai 10h30
Contact / Béatrice Boursier catalogue@idmage.fr Tél +33(0) 6 60 66 55 10

Aina forme les Afghans aux outils du journalisme

By Revue de presse, SociétéNo Comments

« Celui à qui on ne donne pas d’armes intellectuelles retournera à son unique référence : la guerre. »

C’est ainsi qu’Aina a été créée en Afghanistan. ONG de nouvelle génération fondée en 2001 par le photojournaliste Reza, Aina forme les populations aux métiers de l’information et de la communication, avec une attention particulière portée aux femmes et aux enfants. Aina soutient la création d’outils éducatifs adaptés pour atteindre le plus grand nombre de bénéficiaires, afin que ceux-ci contribuent à la reconstruction immatérielle des pays en situation de crise et à la restauration d’un climat de paix.

Depuis 2001, Aina a permis la création de :
• 1 unité de production et de formation vidéo
• 9 principales publications du pays
• 1er cinéma itinérant éducatif
• 1ère école de photojournalisme et 1ère agence photo afghanes
• 1ère radio par et pour les femmes
• 1ère agence afghane de communication humanitaire
• 1er et unique livret éducatif pour les familles « Parvaz »

Aujourd’hui, 90% de ces structures sont autonomes.

Plus d’informations sur : www.ainaworld.org

Aina figure parmis les 15 lauréats sélectionnés pour participer à la première édition des Trophées de l’Entreprise Sociale organisés par la Tribune et l’Essec.

La vidéo des trois finalistes de la catégorie International :

Le premier forum tuniso-français de la société civile

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Les associations tunisiennes « Sawty », « Amal » et « Enda inter-arabe » ainsi que le collectif « Randet » organisent le premier « Forum tuniso-français de la société civile », qui se tiendra à Tunis les 20 et 21 mai 2011.

La Tunisie traverse un moment décisif de son histoire. La société civile peut enfin s’exprimer librement et s’engager activement en faveur de la citoyenneté, de la solidarité et de l’environnement. Le prochain « Forum tuniso-français de la société civile », les 20 et 21 mai 2011, donnera un aperçu de sa vitalité.

Ce forum est organisé en partenariat avec l’Institut français de coopération et l’Agence française de développement.

Objectifs

Le « Forum tuniso-français de la société civile » a pour objectif de permettre la rencontre et le dialogue entre associations et organisations non-gouvernementales (ONG) tunisiennes et françaises dans un triple but :

- favoriser le partage de valeurs,
- promouvoir l’échange d’expériences et le transfert d’expertises,
- encourager les projets communs et les soutiens financiers.

Programme

Cette rencontre, dont les participants attendent des résultats concrets et pratiques, prendra la forme d’ateliers thématiques autour de trois grands volets :

- la citoyenneté, coordonnée par « Sawty« , une association de jeunes issue de la Révolution ;

- l’environnement, supervisé par le collectif « Randet« , un réseau de plusieurs associations et organisations non-gouvernementales œuvrant pour la protection de l’environnement et le développement durable en Tunisie ;

- la solidarité qui mettra en avant deux thèmes :

  • « femmes et santé », piloté par l’association « Amal pour la famille et l’enfant » qui vient en aide, notamment, aux mères célibataires ;
  • « micro-crédit », coordonné par « Enda inter-arabe », une association pionnière dans le domaine en Tunisie.

Parallèlement à ces ateliers, des stands seront aménagés où des associations et ONG, des bailleurs de fonds, des entreprises, des institutions publiques tunisiennes et françaises présenteront leur action.

Pour en  savoir plus sur ce forum, cliquez ici

« Quand Radio-France recrute en ZEP » (semaine du 28 avril 2011)

By Revue de presse, SociétéNo Comments

La maîtrise de Radio France possède depuis quatre ans une antenne à Bondy, en Seine-Saint-Denis. Chaque année, des enfants sont recrutés sur audition dans six établissements classés ZEP des quartiers nord de la ville. A l’occasion de l’entrée en 6e de la première promotion des élèves de la maîtrise, le collège Pierre Brosselette de Bondy construit son auditorium pour les accueillir. En plus du programme scolaire classique, les élèves suivent 8 heures de musique hebdomadaires et préparent les concerts, tout comme les élèves de la maîtrise scolarisés au lycée la Fontaine dans le 16e arrondissement de Paris. Les professeurs notent que les élèves qui entrent dans le chœur sont plus performants sur le plan scolaire.

Cet article a été publié dans le Nouvel Observateur de cette semaine

Encourager le développement agricole en Afrique

By SociétéNo Comments

Le Fonds de dotation SEED Foundation – Sow & Encourage Economic Development – lutte contre la faim et la pauvreté en soutenant le développement d’activités agricoles et rurales.
Initiative collective et internationale, le Fonds de dotation SEED Foundation a été créé en 2009 par des entreprises et des particuliers du Nord et du Sud qui souhaitaient s’engager dans la lutte contre la faim et la pauvreté en Afrique.

Vous êtes un organisme d’intérêt général français et vous souhaitez nous proposer un projet de développement agricole en Afrique ?

1. Vérifiez que votre organisme et votre projet répond aux critères de sélection mis en place par SEED Foundation.
2. Votre projet est conforme à l’axe d’intervention du Fonds et à ses critères? Remplissez et renvoyez le Formulaire projet téléchargeable ici : Formulaire projet

Les Formulaires projet doivent être renvoyés au plus tard le 3 Mai 2011.

Attention ! Seuls les projets correspondant aux domaines d’intervention de SEED Foundation et à ses critères de sélection recevront une réponse.

3. Votre Formulaire est étudié par l’équipe du Fonds. S’il est déclaré éligible, vous recevrez un dossier complet à remplir.

Pour en savoir plus sur la procédure de sélection de SEED Foundation.

Les jardiniers de la Goutte d'Or

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Au cœur du quartier de la Goutte d’or se niche l’Univert. Entouré de barres d’immeubles, le jardin d’insertion éclaire de ses vives couleurs le quotidien des habitants du quartier.

Jacky a fini de planter un arbre, un Aucuba. Aussitôt il s’asseoit. « J’ai assez travaillé, il faut en laisser un peu aux autres ». Jacky vient deux fois par semaine à l’Univert depuis le début de l’année. Son visage marqué laisse paraître les stigmates d’une vie difficile. Il aime « foutre les mains dans la terre » mais fait toujours attention à ses vêtements. Aujourd’hui c’est chemise à carreaux rouges et jean. « Jacky nous apporte sa bonne humeur » explique Caroline Falletta, animatrice de ce grand jardin d’insertion de 135 m2 au coeur du XVIIIème arrondissement. Comme lui, ils sont quatre à venir régulièrement, une femme et trois hommes. Chaque jour ils plantent, arrosent et nettoient. Parfois, des habitants de la résidence se joignent à eux.

L’adresse de ce jardin a de quoi étonner. Paris, métro Barbès Rochechouart. Dans une rue adjacente, une grille rouge barre l’entrée du 33-35 rue Polonceau. A l’intérieur une cour, des immeubles. Et quelques mètres plus loin, un puit de lumière inonde un terrain en contrebas. Le voilà, l’Univert.

Le jardin vu d’en haut:

A Paris intra-muros, la désignation officielle pour ce genre d’endroit est « jardin d’insertion sociale ». L’Univert, initialement destiné aux personnes en situation précaire (SDF, allocataires du RSA…) est en fait ouvert à tous. Et si les gens y viennent, c’est avant tout pour partager un moment de bonheur simple. Des sourires, une main sur l’épaule, un verre partagé. La sensation de ne pas être seul. « Ce jardin est un prétexte à un mieux-être, à sortir de l’isolement », explique Caroline.

En-dehors de la capitale, le principe évolue. Les « jardins d’insertion par l’activité économique » offrent un contrat et une paie. L’objectif est de se spécialiser avant de retourner dans la vie active. Dans toute l’Ile-de-France, la création de ces deux types de jardins se généralise

Lire la suite de l’article sur Youphil.com

La psychiatrie citoyenne pour retrouver la dignité

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Quand on voit les SDF être de plus en plus nombreux dans nos rues, nous sommes soulagés de savoir que des organismes comme les Resto du cœur, Emmaüs, Le Secours Catholique, Médecin du monde, etc., s’occupent d’eux. Restent les grands exclus, comme les patients souffrant de schizophrénie. L’association « les invités au festin » est en train de démontrer qu’il est possible, et même rentable, de les traiter avec humanité.

Une vraie alternative à l’hôpital ou la rue
Il n’y a pas que la rue ou que l’hôpital pour les patients schizophrènes. C’est ce que voulait démontrer le Dr Marie-Noëlle Besançon en créant l’association « Les invités au festin ». Elle a ainsi créé, avec son mari, La Maison des Sources, un premier lieu de vie à Besançon, qui héberge en permanence 13 personnes souffrant de maladies psychiques, un accueil de jour et un groupe d’entraide mutuelle, permettant de prendre en charge une centaine de personnes en difficulté. Ces structures font partie de ce nouveau courant appelé la Psychiatrie citoyenne, mouvement dont la vocation est de permettre de retrouver une place digne aux patients psychiatriques, leur permettant de se soigner, de guérir pour certains, de se réinsérer, cette place n’étant ni à l’hôpital, ni dans la rue.

Lire la suite de l’article sur e-sante.fr

HydroTrip, six mois autour du Mékong

By SociétéOne Comment

Six mois de voyage, de découvertes, d’aventure humaine, de reflexion autour du thème de l’eau.
Entre les mois de février et aout 2011, Magalie et Thomas parcourront l’Asie du Sud-Est et particulièrement le Mékong, fleuve transfrontalier, sur le thème des enjeux et besoins en eau. Thailande, Vietnam, Laos, Cambodge et peut être le Chine seront leurs destinations.

A l’origine
L’origine de ce projet est née de nos passions communes pour les voyages, la découverte de nouvelles cultures et la randonnée.
Notre envie d’entreprendre et d’utiliser nos compétences professionnelles dans une optique personnelle d’aide au développement nous ont amenés à concevoir ce projet.
La complémentarité de nos deux formations de géologue/géotechnicien et d’hydraulicien nous a orientés vers une approche globale des enjeux et besoins liés à l’eau.

Les thèmes abordés
L’Asie du Sud-Est, riche d’une histoire de 4000ans, constitue un continent très sensible quant à la gestion de sa ressource en eau. Les activités de l’homme y sont très liées à l’eau et les problématiques a aborder sont nombreuses , notamment:
– l’eau potable,
– l’assainissement,
– l’irrigation,
– la prévision et prévention des inondations,
– les aménagements sur le fleuve Mékong (barrages, digues).

Nos objectifs
– Aller à la rencontre du monde, des populations, des paysages. Vivre au rythme de nos envies et profiter de chaque minute comme si c’était la dernière,
– Etudier et comprendre le lien étroit qui lie l’homme à l’eau, prendre connaissance des projets hydrauliques et structures qui s’engagent quotidiennement pour un monde durable et solidaire,
– Tenter d’apporter un soutien technique aux ONG locales et permettre une réflexion globale sur les enjeux et besoins liés à l’eau en Asie du Sud-Est,
– Sensibiliser un large public aux enjeux liès à l’eau, partager l’expérience et les connaissances acquises

Les moyens employés
1. La création de l’association à but non lucrative « HydroTrip », loi 1901.
2. La prise de contacts avec les acteurs de l’eau sur place :
– Visite des différents barrages le long du Mékong. Des contacts sont en cours avec les maitres d’ouvrages, les exploitants et les entreprises de construction des barrages,
– Contacts et interviews des associations locales ou humanitaires pour la défense des agriculteurs, de l’environnement, de l’accès des populations à l’eau potable…
– Rencontres des entreprises locales travaillant autour de la thématique de l’eau (bureaux d’études, maitres d’œuvre, entreprises de construction, exploitants…),
– Contacts avec la Commission du Mékong (Mekong River Commission, MRC) et avec toutes autres structures gouvernementales et inter-gouvernementales agissant dans le domaine de l’eau.

Pour en savoir plus : http://hydrotrip.jimdo.com/