Skip to main content
All Posts By

Rédaction

Candidatez au Prix européen du jeune reporter jusqu’au 31 mars 2022 !

By AgendaNo Comments

En savoir plus et/ou candidatez

Reporters d’Espoirs lance la seconde édition du « Prix européen du jeune reporter », dédié à tous les jeunes de 18 à 30 ans. L’appel à candidature est ouvert jusqu’au 31 mars 2022.


Reporters d’Espoirs a créé en 2021 le Prix européen du jeune reporter, suscitant plus de 150 candidatures en provenance de 17 pays d’Europe. Fort de ce succès, l’association pionnière du « journalisme de solutions » lance la deuxième édition, avec le soutien renouvelé de la Fondation du Crédit Mutuel.

Avec le « Prix européen du jeune reporter », Reporters d’Espoirs encourage les jeunes à se faire acteurs de l’information, à pratiquer l’écriture en langue française, et à diffuser la connaissance d’initiatives constructives à l’échelle de l’Europe. Dédié aux 18 – 30 ans quel que soit leur parcours et leurs études, le Prix va soutenir 6 nouveaux reportages écrits, couvrant des problèmes et des initiatives qui contribuent à une société européenne inspirante, solidaire et durable.
10 000 euros de prix seront remis à 6 lauréats, avec le soutien de la Fondation du Crédit Mutuel dont l’action est axée sur la lecture et la solidarité.

« Garder la capacité d’étonnement à chaque instant fait naître la créativité », Macha Gharibian

By InterviewsNo Comments

Pianiste de formation classique, chanteuse, auteure, compositrice, arrangeuse, réalisatrice de ses propres albums, globe-trotteuse, Macha Gharibian a créé son univers en vivant l’expérience du jazz à New York, qui s’entremêle avec la culture arménienne de ses ancêtres, et la culture parisienne. Victoire du Jazz 2020 dans la catégorie « Révélation », Macha Gharibian était l’invitée de la soirée La France des solutions, le 15 décembre à la Maison de la radio et de la musique. L’opportunité de revenir sur son parcours et sa vision de la créativité, thème de l’événement Reporters d’Espoirs.

Quelles sont vos sources d’inspiration ?

La trame que j’ai suivie est celle de la chanson populaire, qui est très riche mélodiquement. Inspirée par le jazz et par mon parcours de pianiste classique, j’ai eu le goût de l’étoffer avec les couleurs qu’offre mon instrument harmonique. Enrichir l’harmonie des chansons existantes, en puisant dans mes différentes influences , répond à une réelle envie.

Quand je crée un arrangement musical, j’ai des inspirations qui peuvent venir de Ravel, Debussy, de la musique que j’ai entendue étant enfant, qu’elle soit classique ou par exemple arménienne. Et les pianistes de jazz comme Thelonious Monk ou Keith Jarrett sont également des inspirateurs. Quand je revisite la musique arménienne, j’ajoute un nouveau prisme, en la jouant à la manière d’un standard de jazz.

En plus de pianiste, vous êtes chanteuse. Mais vous vous laissez volontiers guider par la voix des autres.

Parce que je suis chanteuse, j’adore accompagner le chant des autres en étant concentrée sur mon rôle de pianiste. J’aime laisser beaucoup de liberté aux artistes avec lesquels je travaille.

En travaillant l’indépendance des mains, on travaille certes la capacité à faire deux choses en même temps, mais l’une, généralement la voix, prend toujours le dessus. En accompagnant ma propre voix de chanteuse, le jeu pianistique s’en trouve simplifié . A contrario, à ne jouer qu’une seule corde de mon arc, je me trouve dans la musique et dans l’instant, pleinement investie, avec l’impression parfois d’être meilleure. Meilleure parce que plus libre, plus inventive.

Macha Gharibian en performance artistique à la soirée Reporters d’Espoirs, le 15 décembre 2021.

Comment émerge le processus créatif selon vous ?

L’échange est au cœur du processus créatif. Pour un musicien de jazz, chaque concert est unique. Et la musique est imprégnée de ce que nous vivons en tant que personne, de ce que nous échangeons en tant que musicien, sur le moment. Chaque artiste bondit sur la création de l’autre. L’échange d’énergie avec le public est également une source d’inspiration. Nous n’avons pas la même vibration lorsque nous jouons dans un petit club de jazz où nous sentons le public tout près de nous, ou lorsque nous jouons devant une salle de 1000 personnes. Je me souviens d’un concert en Algérie, à Constantine, où les notes orientales de ma musique ont trouvé écho dans le public qui s’est exclamé, a partagé son enthousiasme avec nous en se mettant à danser.

L’improvisation est au cœur de votre art. Vous vous y êtes adonné le 15 décembre à l’occasion de la soirée Reporters d’Espoirs, où vous avez interagit avec 4 jeunes danseurs, à partir des mots, expériences, initiatives que vous avez entendues à travers les initiatives d’acteurs de solutions économiques, sociales, écologiques…

L’improvisation est au cœur du « free jazz » auquel j’aime m’adonner. Chacun assume son vocabulaire, sa partition, tout en écoutant l’autre. Cela nous amène à penser de manière plus globale, orchestrale, les personnalités s’amalgamant sans perdre de leur unicité, leur singularité. Ce qui est vrai pour le free jazz l’est aussi pour le mélange des disciplines – par exemple de la danse, des mots, et de l’instrumental à la fois.

Ce genre d’exercice m’a libéré de la partition, en laissant venir les choses dans l’instant. Ce n’est pas sans risque ! Il peut se passer des choses géniales, ou chaotiques. Se rencontrer sur un territoire vierge, c’est cela qui est excitant. L’absence de préméditation peut faire peur, mais comme on sait que l’on est musicien, et comme un danseur connait son corps, on arrivera toujours à créer quelque chose.

Avez-vous un conseil pour nourrir la créativité ?

J’ai commencé le piano à 6 ans et c’était vraiment le plaisir qui me guidait. Je crois que la créativité c’est réussir à saisir et à tisser ce fil qui nous procure ce plaisir. Aussi, garder la capacité d’étonnement à chaque instant fait naître la créativité.

Gilles Vanderpooten, avec Louise Darrieu, Reporters d’Espoirs

Suivez le travail de Macha Gharibian :     

Sur son site : https://www.machagharibian.com/

Sur Instagram : #Macha Gharibian

Sur Facebook : https://www.facebook.com/gharibian.macha

Retrouvez la performance de Macha Gharibian et celle des danseurs, sur la scène de Reporters d’Espoirs à la Maison de la radio et de la musique :

Gaétan Vermeulen

By FDS2021No Comments

Gaétan Vermeulen est un danseur de 23 ans. Il étudie à l’école de danse de l’Opéra de Paris de ses 10 ans à ses 17 ans, âge auquel il obtient son diplôme national de danseur professionnel. Il travaille pendant deux ans à l’Opéra National de Paris où il participe notamment à la création de Crystal Pite « Seasons Cannon » et de James Thiéré « Frôlons ». Il passe ensuite trois ans au Teatro dell’Opera di Roma où il interprète divers rôles de premier danseur tels que le personnage de Tybalt dans le « Romeo et Juliette » de Giuliano Peparini ou le troisième pas de deux de « In the Night » de Jérôme Robins. En quête de renouveau, il quitte Rome pour jouer dans « Birds of Paradise » réalisé par Sarah Adina Smith et produit par Amazon. Il continuera ensuite à travailler dans le cinéma, la vidéo, la mode et l’organisation d’évènements autour du mouvement.

Hava Hudry

By FDS2021No Comments

Hava Hudry est une artiste polyvalente basée à Paris. Après avoir dansé en compagnie nationale à l’étranger, elle se dirige vers le contemporain et collabore avec des artistes de danses urbaines. Elle se produit aussi dans le monde la nuit parisienne, partageant la scène avec les drags queens et des danseurs de voguing.

Lisa Langlois

By FDS2021No Comments

Lisa Langlois est une danseuse de formation contemporaine. Elle
expérimente l’improvisation, la danse contact et le floorwork au sain du
collectif Le Facteur
. Elle aspire au rapport à la musique et la théâtralité pour
en faire ressortir les états de corps dans le mouvement. La recherche du
geste par la sensibilité et l’organisme sont ses outils de travail.
Elle aspire au langage de la sensualité, la poésie des corps dans la
puissance que peut dégager la féminité ainsi que la bestialité.

Florian Astraudo

By FDS2021No Comments

A l’âge de 23 ans, c’est autour de la danse, de la photographie et de la musique que s’étendent les domaines de recherches de Florian Astraudo. C’est à l’Ecole de Danse de l’Opéra de Paris qu’il obtient son Diplôme National de danseur Professionnel, puis travail dans la compagnie de l’Opéra de Paris pendant deux ans. Il se forme à la danse contemporaine et à l’Art performatif au Portugal ou il élargit son spectre de maitrise du mouvement.

Parallèlement il ouvre une exposition Photographique « 121 in Time », mène différentes actions culturelles telle que l’organisation de Festivals de danse et compose la bande originale de la pièce présentée par les danseurs de l’Opéra de Paris lors de la soirée d’ouverture de saison de l’Opéra du Caire en 2020. Créatif autodidacte et pluridisciplinaire, il n’a de cesse d’explorer de nouveaux horizons et d’aller à la rencontre du curieux.

Reporters d’Espoirs sera sur Radio Notre Dame mardi 07 décembre à 19h

By Agenda, FDS2021No Comments

Nous sommes heureux d’être les invités de Geneviève del Marmol dans l’émission Philanthropia sur Radio Notre Dame pour partager avec vous les belles initiatives portées par La France des solutions.

Au programme : des actions généreuses et des portraits d’hommes et de femmes qui agissent pour le bien commun.

Alors retrouvons-nous mardi 07 décembre à 19h en direct sur radionotredame.fr et les ondes (100.7) pour diffuser l’envie d’agir grâce à des récits d’expériences inspirantes !

 

Emission Philanthropia

Radio Notre Dame : 100.7

radionotredame.fr

Zabou Breitman à La France des solutions le 15 décembre à Radiofrance, Paris. Réservez vos places !

By Agenda, FDS2021No Comments

Actrice, elle vous a fait rire dans La Crise, Cuisine et dépendances, ou A votre écoute, coûte que coûte.

Réalisatrice, elle vous a ému avec Se souvenir des belles choses pour lequel elle a reçu le César de la meilleure première œuvre.

Metteuse en scène, elle vous a séduit avec son film d’animation Les Hirondelles de Kaboul, ses adaptations des pièces de Feydeau, ou son incarnation de Dorothy Parker…

… et bien d’autres créations à son arc : Zabou Breitman nous fera le plaisir de sa présence à la soirée La France des solutions, nation créative !

Quand ? mercredi 15 décembre à 19h

Où ? Chez Radiofrance, 116 avenue Kennedy, 75016 Paris

Comment s’inscrire ?
> Le programme est ici
> Pour vous inscrire, c’est là

« Pour tout article nous devons vérifier et recouper nos sources : l’investigation commence ici. »

By InterviewsNo Comments

Noëmie Leclercq est journaliste société pour ELLE.fr et la revue trimestrielle Zadig. Nommée pour le Prix Presse Écrite 2021 de Reporters d’Espoirs pour son article « Made in Vosges, l’industrie textile vosgienne renaîtrait-elle de ses cendres ? » paru dans Elle, elle revient dans cet entretien sur l’élaboration de son article et sa vision du journalisme.


 

Votre reportage porte sur la réindustrialisation, pourquoi avoir choisi ce sujet ?

A l’époque, j’étais pigiste spécialisée dans la mode pour Elle et j’avais remarqué que le grand-public avait une vision restrictive de la mode et du journalisme qui la traite. De l’extérieur, on peut voir la mode comme quelque chose de futile, qui ne fait que polluer. Mais c’est aussi une industrie très puissante et créatrice d’emplois. J’ai voulu montrer les coulisses, mais pas ceux des Fashion weeks : j’ai pris le parti d’aller du côté des personnes qui, littéralement, fabriquent la mode. Aller voir les ateliers et interroger les personnes qui les animent me paraissait intéressant, d’autant plus à une période où le made in France est en plein essor.

Vous avez opté pour un format relativement long. Combien de temps nécessite la réalisation d’un tel reportage ?

Je suis restée quatre jours sur place, dans les Vosges, pour la réalisation du reportage en tant que tel. Quatre jours auxquels il faut ajouter le travail de préparation en amont : faire des recherches générales, identifier les interlocuteurs sur place, organiser les interviews et rencontres. C’est selon moi aussi important que le reportage en lui-même. Ensuite, j’ai consacré une journée à l’écriture du papier à mon retour, puis je l’ai relu le lendemain, à tête reposée, avant de l’envoyer à ma rédaction en chef et aux relecteurs.

Par Emma Burlet

Il y a quelques années, nous nous intéressions au bio dans l’alimentation. Je pense qu’aujourd’hui, la problématique environnementale passe aussi par nos placards : nous prenons conscience de l’impact de notre consommation de vêtements. Il y a un ras-le-bol de surconsommation en général, qui s’est renforcé avec le Covid. Naturellement, je ne critique pas les personnes qui n’ont pas les moyens de se vêtir de manière éthique : la fast fashion a été une petite révolution en soi, permettant à tout le monde de s’habiller “à la mode” à moindre prix – on sait à quel point cela peut être un facteur d’intégration sociale, notamment chez les ados. Mais ceux qui le peuvent doivent être vigilants quant à leur consommation de vêtements.

Même si je suis malheureusement loin d’être un exemple, en constatant la difficulté du travail des employés de l’industrie textile en France, j’ai pris conscience de ce que représentait vraiment le coût d’un vêtement : nous ne pouvons qu’imaginer l’atrocité des conditions de travail dans les pays où le Droit est moins protecteur. C’est en cela, je pense et j’espère en tout cas, que les reportages qui montrent cette réalité peuvent faire changer les choses.

Votre article relève d’une pratique du journalisme de solutions. Que pensez-vous de la place de ce « genre » journalistique dans le métier ?

Le journalisme de solutions n’est pas valorisé dans notre profession parce que nous avons tendance à restreindre notre rôle à la dénonciation des problèmes de société. Dans la presse féminine, c’est la double peine : cette difficulté s’ajoute à la mauvaise image de l’omniprésence des annonceurs. Qualifier mon travail de « publireportage », comme ça a été le cas lors de la remise des prix Reporters d’Espoirs, est d’ailleurs révélateur de ce jugement dépréciatif que peuvent émettre certains confrères et consœurs sur la presse féminine, et par extension le journalisme positif, dont fait partie le journalisme de solution.

Voyez-vous le journalisme de solutions se développer au sein des écoles de journalisme ?

Le journalisme de solutions n’est pas véritablement mis en avant. A l’ESJ Lille, où j’étais étudiante, nous devions ancrer nos sujets dans l’économie locale – c’est l’avantage d’être situé en dehors de Paris. Je pense que ça nous a permis, en tout cas pour moi, de développer une certaine appétence pour les sujets de ce genre. Mais ce n’est pas le cas de toutes les écoles. Mais globalement, je pense que quand des étudiants arrivent en école de journalisme, ils ne rêvent pas de journalisme de solution – leur définition du métier se retrouve davantage dans le « grand reportage » ou le « hard news », qui, globalement, a plutôt tendance à être plombant. Mais c’est un genre journalistique qui, je pense, mérite d’être réhabilité : cela ne veut pas dire que l’on est à la botte d’un acteur économique, ou que l’on est complaisant. Mettre en avant des solutions n’empêche pas d’être critique et honnête.

J’ai l’impression que nous opposons souvent le journalisme d’investigation et le journalisme de solutions ; est-il selon vous possible de faire converger les deux approches au sein d’un même sujet ?

Je ne trouve pas juste d’opposer le journalisme d’investigation au journalisme en général. L’investigation, ce n’est pas simplement pointer du doigt les problèmes. Pour tout article, il est nécessaire de vérifier et de recouper nos sources : l’investigation commence ici. Il faut toujours faire une enquête pour produire un article sérieux et fiable. En cela, le journalisme d’investigation et le journalisme de solutions sont tout à fait compatibles. Le magazine Zadig, par exemple, mêle très bien les deux : il donne à la fois la place au journalisme de long court et aux initiatives porteuses de réponses.

Vous avez travaillé pour des médias très variés –Zadig, France TV, Le Monde et Elle. En quoi cela nécessite-t-il de vous adapter – le type de sujet, leur traitement, l’écriture, sont-ils différents ?

Ce sont tous de beaux médias qui permettent des reportages longs. C’est important pour Elle comme ça l’aurait été pour Le Monde de parler de mode sous un prisme économique avec du fond. J’ai d’ailleurs fait un sujet sur le retour de l’industrie textile dans les Hauts-de-France pour Zadig ! En cela je pense qu’il y a de la place pour traiter de sujets semblables dans tous ces médias.

Propos recueillis par Louise Darrieu

 

Suivez le travail de Noëmie Leclercq

sur twitter : @NoemieLclrcq

dans Elle : https://www.elle.fr/pages/La-redaction/Noemie-Leclercq

dans Le Monde : https://www.lemonde.fr/signataires/noemie-leclercq/ Son reportage nommé au Prix Reporters d’Espoirs 2021 : https://www.elle.fr/Mode/Les-news-mode/La-mode-se-fabrique-dans-les-Vosges-3923556

Les 24 et 25 septembre: le Train de la Relance et reporters d’Espoirs sont à Marseille pour mettre la lumière sur les initiatives en Provence-Alpes-Côte d’Azur

By AgendaNo Comments

Ces vendredi 24 et samedi 25 septembre, Reporters d’Espoirs débarque avec « Le Train de la relance » à Marseille pour mettre la lumière sur les initiatives qui font bouger la région Provence-Alpes-Côte d’Azur

Durant tout le mois de septembre, le Train de la Relance sillonne les 12 régions de France métropolitaine.

L’étape en région Provence-Alpes-Côte d’Azur se déroule à Marseille les 24 et 25 septembre en présence d’invités exceptionnels, notamment le paléontologue Yves Coppens.

Durant ces 48h, chacun est invité à venir découvrir le Train et participer à des animations et rencontres “positives” pilotées par le Printemps de l’Optimisme, à rencontrer son futur employeur sur le Village de l’Emploi animé par Pôle Emploi, à explorer les aides du plan de relance dont il peut bénéficier. Et à suivre en direct ou en rediffusion les émissions Reporters d’Espoirs.

Un Train ouvert au grand public pour présenter l’enjeu et l’impact du plan France Relance sur nos territoires et nos emplois

Avec France Relance, l’État se mobilise pour accompagner la sortie de crise, en investissant pour construire la France de 2030 : plus écologique, plus compétitive, plus solidaire.
Pour que la relance du pays soit une réussite, chaque Français doit s’en saisir à son échelle. Qui sont celles et ceux déjà engagés dans cet élan, au service du pays ? Quelles initiatives se déploient près de chez vous ? Quels outils sont mis à disposition des territoires et des Français par l’Etat pour soutenir l’effort de relance dont vous pourrez bénéficier ? Comment devenir à votre tour acteur de la relance ? 

Le train sifflera… 12 fois !  

6-7 septembre Paris Gare de l’Est

8-9 septembre Amiens

10-11 septembre Caen

13-14 septembre Rennes 

15-16 septembre Le Mans

17-18 septembre Orléans

20-21 septembre Limoges

22-23 septembre Toulouse

24-25 septembre Marseille

27-28 septembre Saint-Etienne

29 septembre Besançon

30 septembre Strasbourg

Les partenaires nationaux du Train de la relance : le Gouvernement, France Télévisions, Skyrock, Edf, Sncf, Le Printemps de l’Optimisme, Pôle Emploi, et Reporters d’Espoirs.

Au programme de l’étape en Provence-Alpes-Côte d’Azur, ces vendredi 24 et samedi 25 septembre à Marseille

∙         Concert de Julien Pierson le samedi 25 à 11h dans la gare

∙         Le Village de l’emploi

Son déploiement s’effectuera sur le parvis de la gare.
Animé par des conseillers de Pôle emploi, il mobilisera également des entreprises, notamment les partenaires EDF et SNCF.

Il est ouvert vendredi 13h-18h et samedi 10h-16h

∙         Les rencontres à bord du train, voie D :

o    Visite du train-expo, librairie positive, animations vendredi 10h-17h45 et samedi 10h-18h.

o    Animations dans la voiture Mobilisation des énergies positives animées par le Printemps de l’optimisme.

o    Coaching avec Skyrock pour réaliser son CV vidéo : s’inscrire pour une séance au 06 60 62 47 28, vendredi 15h-16h ou samedi 10h-14h.

o    Ateliers : tout au long de la journée, La Ligue des optimistes de France vous propose des ateliers de développement personnel et des séances de coaching.

∙         Les Rencontres « 1 jeune, 1 solution »
Ces rencontres se tiennent en parallèle du passage du Train de la relance. À chaque étape, elles sont organisées dans une université partenaire – ici à l’Université de Toulouse. Leur objectif est d’informer au mieux les jeunes de chaque région sur les dispositifs qui les intéressent (insertion, emploi, permis de conduire gratuit, etc.).

Reporters d’Espoirs monte à bord du Train avec son studio-radio – et embarque le paléontologue Yves Coppens, le journaliste Eric Charay, et des acteurs de solutions de la région

Sur chaque étape, en lien avec les médias locaux et ses journalistes-invités, l’ONG « pour une information qui donne envie d’agir » anime 3h de plateau radio filmée par étape dans son wagon-studio radio.Ces émissions seront transmises en direct et en replay.

L’opportunité d’inviter des porteurs d’initiatives économiques, sociales et environnementales qui témoignent qu’au-delà de la crise, la France bouge et se réinvente dans toutes les régions. Et d’examiner l’impact de « France relance » sur ses bénéficiaires entreprises, associations, acteurs publics et privés.

Cette coopération se place dans le droit fil de la mission de Reporters d’Espoirs : délivrer une information qui met en lumière les initiatives concrètes et constructives, et diffuse l’envie d’agir.

Ce vendredi 24 septembre : 3 émissions animées par le journaliste Eric Charay avec des acteurs de solutions invités en plateaux, à suivre sur www.reportersdespoirs.org/letrain

En partenariat avec 20 Minutes Marseille

12h-13h Solutions tous azimuts

  • Sahouda Maallem, Directrice de 13 A’tipyk, Marseille (13): cet atelier propose aux marques de produire leurs collections en petite, moyenne ou grande série.
  • Coline Pelissier, Responsable du développement pour Acta Vista: spécialisée dans l’insertion par la formation professionnelle menée sur des chantiers de restauration de monuments historiques prestigieux.
  • Barbara Kervadec, Directrice des Amis de Jéricho, Toulon (83): reçoit des personnes en grande précarité sur son site de 1 000 mètres carrés à Toulon.
  • Salim Grabsi, Président de l’association Une prépa solidaire à médecine, Marseille (13): remettre de l’humain dans un cursus parfois déshumanisant.

14h-15h La Région PACA, c’est (le soleil et) la mer

  • Alexandre Vella, Journaliste à 20 minutes

LA PROVENCE, TERRE D’INNOVATION

  • David Lorenzi, Directeur général de Agapè group, Vaucluse (84): Pendant la crise sanitaire, la PME a mis sur pied une solution hydroalcoolique et bientôt un détergent 100% naturel.
  • Eric Strat Directeur financier de Technicoflor Bouches-du-Rhône (13) : une parfumerie responsable tournée vers la bio-diversité.

LA PROVENCE, C’EST LA MER

  • Simon Bernard, Co-fondateur de Plastic Odyssey, Bouches-du-Rhône (13) : lutter contre la pollution plastique en mer en agissant à la source, sur terre.
  • Patricia Ricard, Présidente de l’Institut Océanique Paul Ricard, Var (83): permaculture appliquée à l’aquaculture.
  • Iva Zunjic, Chargée de mission patrimoine à l’Abbaye de Lérins, Alpes Maritimes (06) : restauration et mise en sécurité de la tour-monastère.

15h30-16h30 (P) Oui, notre région a du talent !

  • Benoit Mournet, Sous Préfet de la relance des Bouches du Rhône
  • Yves Coppens, paléontologue.
  • Christian Le Roux, Secrétaire général de M2i Life Science, Bouches-du-Rhône (13): a développé une expertise dans les phéromones pour la protection biologique des cultures.
  • Patrick Martinelli, Monsieur le Maire de Pierrefeu, Var (83):  reconvertir la friche du Sanatorium du Réal Martin en un quartier résidentiel.
  • Baptiste Lauro-Lillo, Coordinateur de projet au Rugby Club Toulonnais: œuvre en faveur de la formation et de l’insertion, qu’elle soit sociale ou professionnelle.

Le parcours du train : traindelarelance.gouv.fr

Le programme des émissions Reporters d’Espoirs : reportersdespoirs.org/letrain

Votre contact presse

Anne Rabasse
Responsable RP Reporters d’Espoirs
06 62 59 41 41
anne.rabasse1@gmail.com