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Rédaction

Quatre fondations solidaires pour l’emploi

By Les opérations médias, Partenaires institutionnelsNo Comments

Les Fondations Société Générale pour la Solidarité, La Mondiale, Veolia Environnement et VINCI pour la Cité sont solidaires pour l’emploi.
Le temps d’un ouvrage, entièrement rédigé par Reporters d’Espoirs, elles se sont réunies pour décrire les liens qui les unissent aux projets qu’elles soutiennent : du coup de pouce à l’innovation, à la relation de confiance, à la coopération économique…

www.professionnel.ag2rlamondiale.fr/fondation/La Fondation d’entreprise La Mondiale intervient prioritairement dans deux domaines : l’économie sociale et solidaire et l’éducation. Ses interventions suivent un fil conducteur : contribuer à l’autonomie sociale et économique des individus pour renforcer les solidarités collectives. Objectif : oeuvrer, en complément de l’action publique et associative, pour fournir à ceux qui en ont besoin les clés d’un nouvel avenir.

La Fondation d’entreprise Veolia Environnement soutient, en France et à l’étranger, des projets d’intérêt général concourant au développement durable. Solidarité, insertion professionnelle et environnement sont ses domaines d’intervention prioritaires. La Fondation développe également un mécénat de compétences pour apporter des savoir-faire aux associations ou institutions qui interviennent sur le terrain de l’urgence et de l’humanitaire.

www.societegenerale.com/fondation-solidariteLa Fondation d’entreprise Société Générale intervient en faveur de l’insertion professionnelle, autour de deux axes : l’aide à l’entrée des jeunes dans la vie active et la lutte contre l’illettrisme, en privilégiant les projets tremplins : accompagnement vers l’emploi, chantiers ou entreprises d’insertion, découverte du monde de l’entreprise…

www.fondation-vinci.comLa Fondation d’entreprise VINCI pour la Cité agit contre toutes formes d’exclusion : accompagnement vers l’emploi, développement de la solidarité… Elle accompagne les acteurs du social grâce à l’engagement et au professionnalisme des collaborateurs du Groupe. Ces parrains apportent leurs compétences sur des besoins concrets dans la durée.

> télécharger l’ouvrage

La culture banlieue dans les médias : une fabrique de clichés ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Elle stigmatise les peurs, focalise les clichés, ne laisse personne indifférent et pourtant elle demeure une grande inconnue, incomprise et malmenée par les médias et l’inconscient collectif. La banlieue n’a pas dit son dernier mot et s’est invitée mardi 1er mars au 32ème « Alter Mardis : Parlons solutions ». François Durpaire, historien spécialiste de la diversité et fondateur du Mouvement Pluricitoyen, Christophe Nick, journaliste et réalisateur de la série documentaire remarquée « Chroniques de la violence ordinaire », Bams, artiste, chanteuse Hip-hop, Erwan Ruty, fondateur de Ressources Urbaines et Mabrouck Rachedi, écrivain, co-auteur en 2010 de « La petite Malika ». Tous se sont interrogés sans tabou sur le concept même de « culture-banlieue », son exploitation par le prisme médiatique et sur la réalité sociale, raciale et culturelle des quartiers populaires. Animé par Marc Cheb, le rédacteur en chef de Respect Mag, le débat a offert à chacun l’opportunité d’apporter sa contribution dans un souci de mieux appréhender la richesse et les dysfonctionnements qu’elle présente. La banlieue n’est pas toujours là où on l’attend et n’est jamais celle que l’on croit !

Allumez votre poste de télévision, ouvrez les pages fait-divers et société d’un grand quotidien. Un constat éclair s’impose :la banlieue prend toute la place et répond injustement aux « doux » noms de violence, misère, discrimination, insécurité et émeutes. Comment ne pas se sentir conditionné par un discours préfabriqué et simplifié qui, par déformation professionnelle et manque de professionnalisme, tend à matérialiser et « ghettoïser » les problèmes de notre société ? La question n’est définitivement pas de savoir s’il faut ou non parler de banlieue dans les médias, mais de savoir comment le faire.
Le terme « culture banlieue » est lâché pour la première fois par Arlette Chabot au cours de l’émission politique « A vous de juger » qu’elle anime. Employer cette formule hasardeuse revient à définir un espace de vie par comparaison, par exclusion par rapport à la ville. L’exemple de la banlieue parisienne démontre que tout est banlieue hors Paris ! Plus de 90% de Franciliens s’y côtoient avec une diversité colossale et une richesse en termes d’habitat, d’activités, de population, de moyens de communication et de sociologie. La localisation géographique des personnes ne devrait en aucun cas caractériser les individus, mais plutôt ce qu’ils font.
L’enquête de Pierre Péan et Christophe Nick sur le plus puissant médium d’Europe a révélé un certain acharnement à l’encontre des quartiers populaires dans le traitement de l’information, qui ne sont recouverts qu’en termes de menaces. Erwan Ruty rappelle que les JT ont fabriqué la banlieue « ANPE » puis la « banlieue Police/justice ». Une certaine paranoïa semblerait toucher le milieu journalistique qui éprouve des difficultés à aller chercher l’information, à prendre un certain recul. Si le fondateur de Ressources Urbaines évoque aussi une certaine « lepénisation des médias », par la déferlante médiatique s’abattant sur les banlieues dès qu’il s’agit d’aborder des problèmes de violence et d’insécurité, il se félicite en revanche de constater que les thèmes des violences faites aux femmes et des discriminations squattent les débats. Les fictions, les émissions, les journaux télévisés et la sphère politique font la part belle aux origines diverses, mais pour François Durpaire, « ça n’est pas tant la représentation qui compte mais plutôt le discours. Ca n’est pas la personne de couleur lisant un prompteur qui importe, mais celle qui l’écrit.».

Les dénommées banlieues se révèlent être un vivier culturel extrêmement riche. Musiciens écrivains, artistes, tous se sentent malheureusement étiquetés. Leur art demeure réduit à leur zone géographique, comme cloisonné et le terme banlieusard ou l’expression « black, blanc, beur » les attend au tournant. Mabrouck Rachedi déplore que les médias tombent dans le cliché catastrophiste ou dans la représentation hyper positive, quant ils ne se trompent pas d’angle : « on parle souvent de l’action sociale réalisée dans les quartiers difficiles et trop peu des œuvres culturelles réalisées ». L’artiste et chanteuse Bams a souffert de l’étiquette banlieue. Les médias qui la présentent comme « l’intelligente », par la richesse des textes de ses chansons, l’ont coupée d’une partie de son public. Pas assez « ghetto » pour les gens du quartier et trop rap pour les autres, sa musique multi inspirations, pluri courants, aux influences très métissées, ne rentre pas dans un catalogue prédéfini et imposé. « En France, les gens veulent bien de notre culture, si on reste à notre place ! », conclue Bams.

Pour contrer les non-sens, les clichés et les non dits et/ou mal dits, les médias alternatifs s’imposent en montrant sans peur ni faux semblant la réalité et le quotidien des quartiers populaires, à l’image de Ressources Urbaines, agence de presse des quartiers fondée par Erwan Ruty. Le changement des mentalités passera par l’ouverture du traitement de l’information des banlieues aux banlieues.

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Discrimination à l'embauche : et si on recrutait autrement ?

By Partenariat Rue89No Comments

Depuis une dizaine d’années environ, les pouvoirs publics et les entreprises ont lancé un certain nombre d’initiatives en faveur d’une meilleure prise en compte de la diversité dans le monde du travail.

Un mouvement favorisé par la création de la Halde et la mise en place de la Charte de la diversité en 2004, ou bien encore la création du label diversité en 2008. Des mesures qui n’empêchent pas la persistance des discriminations sur le terrain.

L’idée

Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

En 2010, seuls 3% des actifs travaillaient dans des entreprises labellisées diversité, généralement au sein de grands groupes ;
fin 2010, 9,3% de la population active était sans emploi (23,3% des 15-24 ans – 8% si l’on met de côté les jeunes qui suivent un cursus scolaire, selon Eric Heyer, directeur adjoint au département analyse et prévision de l’OFCE – et 6,1% des 50 ans et plus, selon l’Insee) ;
77% des jeunes occupent un emploi trois ans après la fin de leurs études, un chiffre qui tombe à 66% quand les deux parents sont nés à l’étranger.
Globalement, les études montrent que l’âge, l’origine ethnique et le handicap sont les premiers facteurs (PDF) de discrimination à l’embauche.

Pourtant, selon une étude du réseau IMS-Entreprendre pour la cité (PDF), la diversité des ressources humaines pourrait augmenter la rentabilité de 5 à 15 %, selon les types d’activité. (Télécharger l’étude « Diversité du capital humain et performance économique)

Ce que confirme Françoise Dissaux-Doutriaux, spécialiste des RH. Pour elle, la diversité est une nécessité pour faire face à la pénurie prochaine de ressources, et “ un atout en termes de compétitivité : c’est rarement de l’uniformité que naissent la créativité, l’innovation, l’ouverture ”.

Il est donc urgent d’inclure effectivement la diversité dans les processus de recrutement.

Parmi les recommandations préconisées dans le rapport sur la diversité dans l’entreprise (PDF), remis au gouvernement en juin 2010, figurent :

la promotion de la méthode de recrutement par simulation (MRS),
une meilleure prise en compte de la diversité dans la commande publique.
Mais c’est aussi sur le terrain que l’on voit naître des initiatives innovantes.

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Et si les surendettés pouvaient garder un compte bancaire ?

By Partenariat Rue89No Comments

Lorsqu’en décembre dernier Eric Cantona a lancé son « bank run », de nombreux commentateurs l’ont critiqué : impossible aujourd’hui de se passer d’un compte bancaire pour participer activement à la vie de la société.

Et pourtant, il existe des Français qui n’ont pas accès aux services bancaires de base, comme une carte de retrait ou un compte sur lequel encaisser leur salaire. Il s’agit des personnes surendettées, titulaires d’un plan de redressement.

Certes, théoriquement, la loi Lagarde de juillet 2010 leur reconnaît désormais le droit à garder un compte. Mais dans les faits, d’après la Fédération française des associations Cresus (chambres régionales du surendettement social), aucune banque n’a encore mis noir sur blanc ses engagements.

Dans d’autre pays européens, en revanche, le « droit au compte » pour les surendettés est déjà une réalité.

L’idée

En Autriche, par exemple, la Erste Stiftung, fondation du groupe bancaire autrichien Erste, a ouvert en 2006 la Zweite Sparkasse, littéralement la « seconde caisse d’épargne », une véritable « banque de la deuxième chance ».

Car la Zweite Sparkasse n’accepte comme clients que les personnes surendettées, auxquelles elle propose :

un compte chèques sans autorisation de découvert,
une carte de paiement,
la possibilité de faire des virements,
une assurance dommages pour 27 euros par an (remboursés à la clôture du compte).
Le tout pour une durée limitée à trois ans. Un accès privilégié à un compte épargne, un prêt immobilier et une assurance logement à 3 euros par mois sont également proposés.

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Diversité ethnique, sociale et culturelle : le sport vrai bon élève ?

By L'actu de Reporters d'EspoirsNo Comments

Le sport, moteur d’intégration et de mieux vivre ensemble ? La question était sur toutes les lèvres pour ce 31ème AMPS, qui réunissait au Comptoir Général Vikash Dhorasoo, ancien joueur de football professionnel, Olivier Ferrand, Président de la fondation Terra Nova, Pascale Colisson, Présidente de l’Association des Femmes Journalistes et Christophe Duchiron, Journaliste à France 2. Ce phénomène de masse, au langage universel et aux frontières inexistantes, va mal. Très mal. Tous ont décerné un carton jaune au « sportbusiness », qui tend à dénaturer l’activité sportive en situant sur le banc de touche ses principales vertus, comme l’intégration et l’éducation. Carton rouge enfin pour les décideurs, dans un contexte où le sport demeure le bois mort de la réflexion politique.

Forcément, comment ne pas parler des Bleus, cette équipe « black-blanc-beur » qui rapporta en fanfare la tant désirée coupe du monde ? Le symbole, aussi fort que la liesse engendrée, semble confortablement installé dans notre imaginaire collectif. Mais que reste-t-il de ce double triomphe, de cette victoire sportive porteuse de diversité ? Une image d’Epinal ? Pour nos trois experts, le constat actuel est calamiteux, tant au niveau du sport professionnel et amateur que de la gouvernance. Manque de représentativité des femmes dans les compétitions (seulement 36 %), instances dirigeantes élitistes et fermées aux populations immigrées, communautarisme et sélection par l’âge dans les petits clubs, coût de la licence en hausse… Le soufflet retombe. À cette perte de vitesse s’ajoute le puissant « sportbuisness » qui écrase toutes les vertus de l’activité physique sur son passage. Olivier Ferrand dénonce « l’argent roi, l’argent à tout prix, la jouissance et l’individualisme », avant de rappeler : « on oublie que le sport est un service public qui véhicule des valeurs d’intérêt général : éducatives, sanitaires et sociales ».

Alors que la vision du sport, appréhendé comme un divertissement et un plaisir physique ou de l’esprit, semble obsolète, nos invités pointent du doigt l’immobilisme et « l’absence de courage » de la classe politique. Si les hommes du pouvoir connaissent un véritable engouement pour le sport, c’est plus dans un soucis de parfaire leur image, à grands coups de représentations publiques, que par amour, désintéressé, du sport. Le sport comme outil de promotion et de communication ? Vikash Dhorasoo insiste : « Les politiques ne s’affichent qu’avec les vainqueurs. Il y a là un refus de la défaite, de la contre–performance et de la fatalité ». Pourtant Olivier Ferrand note une démission politique, alors que toute la France est concernée (pour le football : cinq millions de pratiquants et quinze millions de supporters) : « Les hommes politiques ne s’investissent pas pour définir une politique publique sportive ». Et que dire de la responsabilité des médias face à un sport dénaturé ? Christophe Duchiron s’explique : « Les JT s’intéressent aux faits divers sportifs, tels la vie privée de Laure Manaudou, les scandales liés au dopages ou les affaires de mœurs… Ils ne mettent en lumière que les vainqueurs et les sports médiatiques. Car oui, il existe une hiérarchie des sports. ».

Triste réalité « médiatico-politico-sportive », dans laquelle le président de la fondation Terra Nova a décidé de ne pas tomber. Ses plans d’action : « une régulation économique, avec l’interdiction du système de plus-values financières sur le prix des joueurs, DNCG européenne, extension au football de l’interdiction européenne de concurrence fiscale déloyale. Également, une gestion du service public : soutien accru aux clubs amateurs, éducation et formation civique des joueurs professionnels, obligations contractuelles symboliques pour tout joueur de l’équipe de France (par exemple le don systématique des primes à des causes caritatives), politique de désescalade collective face au hooliganisme. Enfin la gouvernance : élection de la direction de la FFF au suffrage universel des parties prenantes du football, licenciés et supporters ».
Le mot de la fin sera celui de Pascale Colisson : « Est-il possible de pratiquer un sport juste pour le plaisir ? ». Car il s’agit bien là de redonner au sport ses lettres de noblesses ! Il ne devrait être qu’éducation, plaisir et divertissement. Et c’est déjà pas mal.

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Soirée Tunisienne de l'espoir démocratique

By L'actu de Reporters d'EspoirsOne Comment

Le site d’information Mediapart organise une soirée exceptionnelle intitulée « De Tunis à Paris : S’indigner, Résister, Créer »

Autour de Stéphane Hessel et de ses amis Edgar Morin et Claude Alphandéry, qui vient de publier Une si vive résistance aux éditions Rue de l’échiquier, nous fêterons ceux qui s’indignent, résistent à l’oppression et créent l’espoir.

Le peuple tunisien sera l’invité d’honneur de cette soirée, représenté par deux porte-voix de la révolution en cours, Moncef Marzouki et Radhia Nasraoui.
Elias Sanbar et Darina Al-Joundi témoigneront de son impact dans le monde arabe.

Pour tous ceux qui ne pourront participer, cette soirée sera retransmise en direct sur : www.mediapart.fr

Entrée libre, dans la limite des places disponibles.

Réservations : debats@mediapart.fr (pas plus de 2 personnes par réservation)

Théâtre de la Colline, 15 rue Malte Brun, 75020 Paris, Métro Gambetta

Rencontre avec le fondateur du Relais

By L'actu de Reporters d'EspoirsOne Comment

Vous connaissez le Relais ? Ce sont des conteneurs dans lesquels on met les vêtements, oui, mais c’est aussi un réseau remarquable d’entreprises d’insertion basé sur la récupération des vêtements inutilisés qui collecte, trie et recycle les vêtements et permet à des personnes en difficulté de retrouver une place dans la société.  » Nos emplois sortent des placards »… Ou quand le recyclage de vêtements usagés devient un outil de réinsertion sociale et professionnelle !

La maison d’édition Rue de l’Echiquier, spécialiste des sujets solidaires, a publié un livre d’entretiens avec Pierre Duponchel, l’homme qui a créé le Relais.

Ils vous proposent de le rencontrer : jeudi 17 février de 18h30 à 20h,

à l’Atelier : 8-10 impasse Boutron, 75010 Paris
Métro Gare de l’Est ou Château Landon
Stations Vélib’ 10023 ou 10026.

Inscription obligatoire sur le site de l’Atelier

La maison écolo en carton

By Environnement, Revue de presseNo Comments
  • Comment cela fonctionne ?

Le principe, d’ores et déjà breveté, est simple et novateur : une maison entièrement construite grâce à des structures en bois accueillant 20 cm d’épaisseur de plaques en carton, imperméabilisées et ignifugées avec un film polymère.
Ecologique et résistant, le carton possède des qualités d’isolation thermique et phonique qui laissent entendre un très bon rendement énergétique et un faible impact environnemental. De plus, la batterie de tests effectués sur une maison « prototype » courant 2010 a permis de valider le concept en conditions réelles. L’année 2011 sera, sans aucun doute, une année charnière pour ce projet qui devrait être étendu à la phase industrielle.

  • Un concept novateur sous tout point de vue

Ecologique, sociale et bon marché, la maison en carton répond à tous les objectifs fixés par le principe dudéveloppement durable.
Sur le plan écologique, le carton ondulé provient à 80 % du papier recyclé. De plus, la maison possède d’excellentes qualités d’isolation et correspondra parfaitement aux normes de construction des nouveaux bâtiments basse consommation (BBC) énergétique qui fixe une exigence de 50 kW/m²/an. La maison en carton devrait consommer encore moins d’énergie ; « on pourrait se contenter d’une dizaine de kW/m²/an pour maintenir une température ambiante de 20 degrés dans une maison de 120 m² en plein hiver malgré des températures extérieures très basses », explique Mr Lê.
D’un point de vue économique, la construction de la maison nécessite des matériaux peu onéreux qui stabiliseront le prix d’achat. L’objectif ici est de favoriser l’accès à la construction pour le plus grand nombre, y compris les personnes en difficulté financière. Pour la construction d’une maison de 65m², on estime un prix n’excédant pas les 100 000€ !
N’oublions pas la dimension sociale puisque les maisons en carton brevetées pourraient être en partie construites par des salariés handicapés.

Lire l’article sur Sequovia.com

Parrainer un enfant à côté de chez soi

By Revue de presseNo Comments

Donner de l’amour et de la joie à des enfants isolés ou en manque de repère affectif.

Hors les frais de dossier, strictement aucun échange d’argent n’intervient dans la relation, qui ne se substitue pas aux parents. Comment faire ?

Les explications de Marie-Aimée Menuet, coordinatrice de Parrains par mille au micro de Pascale Marcaggi.

Téléphone de l’association : 01 40 02 02 05. A Paris: 31, rue Planchat – 75020 Paris

Ecouter le sujet sur Radio Ethic

Site internet de l’association

Solidarité nouvelle pour les sourds du Cameroun

By Revue de presse, SociétéNo Comments

Infirmière à l’Hôpital Bichat, dans le nord de Paris, Anne-Charlotte Simb a fondé « Solidarité Nouvelle pour les sourds du Cameroun ». Pourquoi du Cameroun, plutôt que d’ailleurs ou même d’ici ? Parce qu’elle même a vécu un certain parcours, depuis son pays d’origine. Au demeurant, son action ne se ferme pas aux autres, au contraire, engagement oblige…

Ecouter le reportage sur Radio Ethic

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