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terre crue

Un premier prix européen du jeune reporter remis aujourd’hui à Marie Dougnac à l’occasion des Tribunes de la Presse de Bordeaux

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Marie Dougnac, 24 ans, est bordelaise. Diplômée en géographie à l’ENS de Lyon, elle poursuit ses études en tant que doctorante à l’université de La Rochelle. Passionnée de vulgarisation, elle réalise des vidéos de médiation scientifique sur la chaîne YouTube Archipel et s’intéresse depuis de nombreuses années au journalisme – elle a animé la webradio étudiante de son école, et fait un stage chez Radiofrance. C’est en entendant parler de Reporters d’Espoirs au Festival du journalisme de Couthures-sur-Garonne qu’elle a eu l’idée de candidater au Prix avec un reportage intitulé « La construction en terre crue, armée face au béton ? ».

Vous avez 5 minutes ?

>Pour lire gratuitement l’intégralité du reportage, rendez-vous sur le site du Journal Sud-Ouest, notre partenaire que nous remercions pour cette publication.

Vous avez 1 minute ? Voici les grandes lignes du reportage en bref :

« Et si on recyclait la terre des chantiers pour construire des bâtiments plus sains à l’impact carbone modéré ? C’est l’idée de Cycle Terre, coopérative francilienne subventionnée par l’Union Européenne, dont le projet à la fois social et écologique autour de la construction en terre crue a vocation à s’exporter dans d’autres pays européens, déjà séduits par cette initiative d’économie circulaire. »

  • La plupart des bâtiments que l’on construit depuis des décennies sont en béton, matériau très émetteur en carbone lors de sa fabrication et tout au long de son cycle de vie.
  • Or il existe une méthode alternative de construction, délaissée chez nous, qui reste pourtant la plus employée au monde : la terre crue.
  • Marie Dougnac en a exploré les opportunités à travers l’action de la société Cycle Terre, qui veut porter un projet à la fois écologique et social.
  • Les initiatives se multiplient en la matière, notamment en Autriche, Espagne, Belgique. Le potentiel est conséquent : rien qu’en région Ile-de-France, ce sont 22 millions de tonnes qui sont excavés chaque année, et demeurent très peu valorisées.
  • Il ne s’agit pas d’une solution absolue : il existe des limites à son développement, à la fois en termes techniques, de coût et culturelles.