- Vous avez moins de 30 ans
- Vous êtes étudiant, journaliste, ou avez tout simplement une belle plume
- Réalisez un reportage écrit en français
- qui parle d’un problème économique, social ou écologique,
- et d’initiatives porteuses de réponses (important !) suivant la méthodologie du journalisme de solutions
- et bien sûr d’Europe (important aussi !)
- le tout en 10 feuillets maximum (15 000 signes espaces compris)
- il peut être inédit ou avoir été publié après le 1er septembre 2023 (dans ce cas vous devez l’actualiser avec des données à jour)
- Postulez et remportez peut-être un Prix : 10 000 euros à partager entre 6 lauréats !
Le Prix qui met à l’honneur les jeunes de moins de 30 ans, pour leurs reportages de journalisme de solutions, sur des initiatives européennes
6 prix et 10 000€ de dotations
Ouvert à tous les jeunes de moins de 30 ans
Pour un reportage écrit en français anglé solutions avec une dimension européenne
Un accompagnement personnalisé proposé aux candidats et un accès gratuit au MOOC européen du journalisme de solutions
Comment postuler ?
1. Manifestez votre intention de candidater en remplissant le court formulaire ici
2. Bénéficiez de notre accompagnement
- Vous avez besoin de précisions sur les critères de sélection ? Consultez la FAQ et contactez nous si vous n’y trouvez pas votre réponse.
- Vous avez une incertitude sur ce qu’est le journalisme de solutions ? Notre MOOC/cours en ligne vous permet de vous autoformer en 1h à 3h.
- Vous voulez une aide pour améliorer votre reportage, bien choisir votre angle ou vos initiatives ? Demandez-nous conseil par email.
3. Envoyez-nous votre reportage, votre carte d’identité et votre CV avant le 30 décembre 2024
Par email ou wetransfer.
Que remporte-t-on ?
De l’argent !
10 000 euros de Prix partagés entre 6 lauréats
FRANCE
- un premier prix de 2500€,
- un second prix de 1000€,
- et un troisième prix de 500€
ETRANGER
- un premier prix de 2500€,
- un second prix de 1000€,
- et un troisième prix de 500€
BONUS
Du réseau
- Vous intégrez la communauté Reporters d’Espoirs
- Vous rejoignez une plateforme d’échange avec de jeunes professionnels de l’information
- Vous développez votre réseau de contacts professionnels dans l’écosystème et les médias
- Vous participez à un voyage apprenant de 48h à Paris, opportunité de rencontres avec des experts des médias et de l’Europe
Un accompagnement
- Apprentissage du journalisme de solutions : Reporters d’Espoirs met à votre disposition son MOOC sur le journalisme de solutions vous permettant de vous autoformer en 2 à 3h : choisir, angler son sujet, avec des retours d’expérience de journalistes européens.
- Conseil aux candidats qui le souhaitent : nous sommes à votre disposition pour vous aider à bien sérier votre reportage – choix de l’angle, pertinence des initiatives, niveau de langue
- Accompagnement à la prise de parole en public : nous coachons les lauréats pour apprendre à présenter leur reportage en 3mn top chrono.
Le calendrier
Le Jury
Journalistes, dirigeantes et dirigeants de rédactions, experts de l’Europe, lauréats des éditions précédentes : voici les membres du Jury 2024-2025 !
Serge Michel
Fondateur du média Heidi.news (Suisse)
Amélie Reichmuth
Journaliste, lauréate Prix 2024
Renaud Girard
Grand reporter et géopoliticien, Le Figaro
Eléonore Gay
Journaliste, animatrice de Nous les européens sur France TV
Nora Hamadi
Journaliste, France Culture
Alexia Kefalas
Journaliste, correspondante du Figaro, du Point et de France 24 en Grèce
Christophe Leclercq
Fondateur d’Euractiv, président de la Fondation Europe’s Media Lab
Paolo Levi
Journaliste, correspondant en France de médias italiens - La Stampa, Ansa
Dorothée Merville-Durand
Directrice générale de la Fondation Hippocrène
Etienne Pflimlin
Président de la Fondation du Crédit Mutuel pour la lecture
Ségolène Allemandou
Journaliste, Rédactrice en chef, ENTR (France Médias Monde)
François Vey
Journaliste, Rédacteur en chef, Zadig et Légende
Carolin Ollivier
Journaliste, Rédactrice en chef, ARTE
Les dernières actus du Prix
Témoignages de lauréats
Comment ont-ils choisi leur sujet ?
Qu’est-ce que le Prix leur a apporté ?
Elles et ils vous racontent.
Sami Zaibi (Suisse/Egypte)
Sami Zaibi a particulièrement aimé la visite à l’AFP (Agence France Presse) lors de son séjour à Paris pour la remise des Prix :« On utilise tous les jours leurs dépêches, découvrir la mécanique et le nombre de journalistes dédiés à l’info était fascinant ». Curiosité, amour de l’écriture et de la transmission, le Tuniso-Suisse a étudié à l’Académie du Journalisme à Neuchâtel. « Avec Serge Michel, Prix Albert Londres, le journalisme constructif y était évoqué ». Journaliste au quotidien de référence « Le Temps », il a pris une année sabbatique pour aller apprendre l’arabe en Égypte, et continue de rédiger une newsletter hebdomadaire sur le Moyen-Orient: « Elle s’intitule « Le Point du Jour » et comporte une rubrique Une Raison d’Espérer… Pas toujours simple à alimenter ! » PC.
Amélie Reichmuth (Suède)
Avec deux échanges Erasmus à son actif, Amélie Reichmuth, franco-allemande basée en Suède et mariée à un Danois, est résolument européenne. Elle se passionne très tôt pour le journalisme de solutions et avait déjà postulé au Prix européen du jeune reporter les années précédentes, une persévérance payante ! « Les visites organisées par Reporters d’Espoirs la veille [de la soirée de remise de Prix] étaient formidables, une occasion d’échanger avec des reporters de renom comme Renaud Girard (Le Figaro), de voir comment pitcher un sujet, et aussi de tisser des liens entre lauréats aux profils très variés, autodidactes comme moi ou sortis d’écoles de journalisme. Débats à bâtons rompus, avis engagés… la soirée était formidable ! ». PC.
Pierre Terraz (France)
« Le prix présente beaucoup d’avantages. La dotation est généreuse. De plus, il y a une richesse dans l’accompagnement. Lorsque j’ai présenté ma première version, on m’a conseillé de comparer la situation française avec celle d’autres pays pour intégrer la dimension européenne. C’est à partir de là que j’ai trouvé les solutions. J’ai remarqué que le nombre de morts inconnus en Belgique est beaucoup moins élevé qu’en France, et j’ai vu ce qui était mis en place pour lutter contre ce phénomène. Le prix a une visée pédagogique, ce qui est un réel avantage. »
Emilie Andrieux (France)
“Ce prix est une véritable chance pour les jeunes journalistes. J’en ai entendu parler au sein de mon école et lorsque je me suis renseignée, j’ai trouvé la démarche très pertinente et je me suis retrouvée dans ce journalisme de solutions.
C’est en réalisant un sujet sur le dispositif “chèque psy” que j’ai découvert cette formation aux premiers secours en santé mentale. Je suis heureuse que mon sujet ait remporté ce prix. En participant à ce concours, je voulais surtout mettre en avant cette initiative et montrer que sa diffusion à l’échelle européenne pourrait aider de nombreux étudiants européens.
Ce que je retiens de cette expérience, ce sont surtout les rencontres. J’étais heureuse de rencontrer des journalistes qui partagent les mêmes valeurs que moi et souhaitent avancer dans la même direction.”
Cédric Stanghellini (France)
“C’est un ami qui m’a parlé de ce prix, il m’avait alors adressé un lien pour m’y inscrire. J’ai décidé de candidater, j’ai alors passé 3 jours à couvrir le service civique européen. C’était la toute première promotion. Ça collait parfaitement au thème du concours. Faire du journalisme sur une initiative positive et le tout dans une perspective européenne. Je suis juriste de formation. Par conséquent, je n’étais pas dans la boucle des écoles de journalisme. Je sais que les bourses y sont très suivies. J’ai fait seulement une année à l’EJCAM. Depuis l’enfance, ce métier m’anime. Malheureusement, je n’ai pas réussi les concours immédiatement. Recevoir ce prix, c’est encourageant, ça valorise son travail. Une amie qui m’avait accompagné à la soirée de remise des prix souhaitait opérer une reconversion pour faire de la radio et, dans le cadre de cette soirée, a noué un contact avec un journaliste de Radio France. Elle est finalement parvenue à décrocher un stage. Je le mets sur mon CV encore aujourd’hui, je mentionne clairement que je suis “Lauréat du prix européen du jeune reporter” pour trouver des piges.
Pour ce qui est de l’accessibilité, on sent la possibilité de pouvoir postuler. Un vrai coup de pouce, on a la possibilité de postuler si l’article n’a pas été publié par exemple. Il vise les jeunes journalistes. Ça désinhibe ; c’est accessible mais pas facile pour autant, ça m’a poussé à participer à d’autres prix. Aujourd’hui, je parle régulièrement de l’association. C’est important de recentrer les lecteurs vers le journalisme. Ce genre d’article de solutions, ça permet de se projeter.”
SOCIÉTÉ
Pierre Terraz (France), « Morts sous X »
Valentina Mustafa (Colombie, Portugal), « Donnez-moi une truelle et je changerai le monde »
Guylaine Germain (Belgique), « Des professionnels qui ne font pas genre »
Cédric Stanghellini (France) « Vers un service civique universel en Europe »
ENVIRONNEMENT
Marie Dougnac (France), « La construction en terre crue, armée face au béton »
Sami Zaïbi (Suisse, Egypte), « Samsø et l’énergie renouvelable, l’utopie devenue réalité »
Cristina Coellen (Autriche), « Extraire la chaleur des eaux usées, une technique de chauffage durable à la conquête des villes européennes »
Julie Bourdin (France, Afrique du Sud) et Anne-Dominique Correa (Equateur, France), « Quand la foi se met au vert »
SOLIDARITÉ
Amélie Reichmuth (France/Suède), « Danemark : Grâce à Elderlearn, l’intégration devient un vecteur de lien social »
Ndeye Fatou Toure (Sénégal), « L’ONG Village Pilote, une lueur d’espoir pour les enfants des rues »
Jeevan Ravindran (Royaume-Uni), « On espère qu’un jour, on n’aura plus besoin de nous » : trois entreprises européennes travaillent pour éviter que les SDF ne meurent de froid.
ÉCONOMIE
Camille Jourdan (France), « La laine, nouvelle toison d’or ? »
Gabriele Cruciata et Viola Stefanello (Italie), « La revanche des cépages oubliés »
SANTÉ
Hélène Coutard (France), « Livrées, délivrées »
Theresa Bolte (Allemagne), « Bonsoir, nightline, je t’écoute »
Emilie Andrieux (France), « Étudiants secouristes en santé mentale à l’Université de Bordeaux »
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Les questions les plus fréquentes
Sur quelle thématique doit porter mon reportage ?
Sur quelles thématiques doit porter mon reportage ?
Votre sujet doit porter sur une thématique d’intérêt général : servir une population.
Par exemple :
- Social – Solidarités – Faire ensemble : lien intergénérationnel, parentalité, lecture et écriture pour l’intégration sociale et l’éducation, accès à la santé, logement, personnes fragiles (personnes handicapées, âgées, sans-abris, migrants / aidants…), coexistence, résolution de conflits, vivre et faire ensemble, entraide, vitalité démocratique, emploi de jeunes, éducation…
- Environnement et écologie : accès à l’énergie, accès à l’alimentation, agriculture, insertion dans de nouveaux métiers de l’environnement…
- Economie : création d’emploi, sauvegarde d’activité économique et d’emploi, intégration par l’emploi et la formation, commerce juste, économie sociale et solidaire…
Mon reportage doit-il parler d’Europe ?
Oui, c’est nécessaire et le jury y est vigilant ! Beaucoup de reportages qui nous parviennent n’évoquent que marginalement la dimension européenne, or c’est fondamental pour ce Prix qui est bien un « Prix européen« .
Parler d’Europe peut prendre différentes formes, par exemple :
- le problème que vous abordez se pose à plusieurs pays d’Europe : Quels pays sont concernés et en quoi y a t il un enjeu au niveau européen ? KLe problème est-il propre au territoire européen ? Les institutions européennes en ont-elles fait une priorité ?
- et/ou l’initiative que vous analysez essaime en Europe : Quels pays sont concernés ? De quelle manière s’adapte-t-elle à des contextes culturels ou nationaux différents ? Les institutions européennes ont-elles un rôle dans la reproduction de l’initiative ? Un pays s’est-il inspiré d’un autre ?
- et/ou vous comparez plusieurs initiatives sur un même sujet dans différents pays d’Europe
- et/ou il existe un rôle moteur d’une institution européenne
- et/ou l’initiative existe par la coopération de plusieurs pays, ou structures, ou populations d’Europe.
- Etc. car cette liste n’est pas exhaustive.
Mon reportage doit-il être illustré visuellement ?
C’est facultatif. Notez que le jury évaluera surtout la qualité de votre écriture. Vous pouvez illustrer votre reportage si vous le souhaitez (photo, dessin, infographie…) mas ce n’est pas une obligation ni un critère déterminant.
Qu’est-ce que le journalisme de solutions ?
Origine
Le journalisme dit de solutions (ou constructif) s’est formalisé en France à partir de la création en 2004 de Reporters d’Espoirs, ONG qui s’est donné pour mission de faire que “l’information et les médias donnent envie d’agir”.
Il a depuis fait des émules dans les rédactions françaises et essaime partout dans le monde.
Cette manière complémentaire de concevoir le journalisme se veut une piste dans un panel de possibilités nouvelles.
Définition
« Le journalisme de solutions analyse et diffuse la connaissance d’initiatives et d’histoires de résilience apportant des réponses concrètes, impactantes, et potentiellement reproductibles à des problèmes économiques, sociétaux ou écologiques »
Une méthode
Le journalisme de solutions cherche d’abord à analyser les problèmes, pour ensuite exposer et analyser des éléments de réponses. Il étend ainsi le questionnement journalistique traditionnellement enseigné dans les écoles de journalisme (Quoi ?, Qui ?, Quand ?, Où ?, Pourquoi ?) à une sixième question : “Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?”. C’est là que réside la principale nouveauté. Il s’intéresse donc à la fois au quoi (quel est le problème ?), au pourquoi (quelles sont les motivations des gens qui agissent ?), au comment (comment les gens s’y prennent-ils ?, par quelles étapes se développe un projet ?), aux succès et aux échecs (dans quelle mesure l’initiative fonctionne et est concluante ?), aux résultats comme aux limites de l’initiative (quels sont ses résultats qualitatifs et/ou quantitatifs ?, dans quelle mesure elle répond à l’ampleur du problème identifié ?, à quels obstacles et freins elle est confrontée ?).
Une approche critique
Le journalisme de solutions relate les initiatives de manière distanciée, appuyée sur les faits. Il couvre non seulement les accomplissements, mais aussi les limites des initiatives présentées. L’angle “solution” n’exclut pas la description de l’enjeu auquel se confronte l’action. Il ne peut s’agir en aucun cas de minimiser le problème.
Les difficultés et dysfonctionnements doivent être mis en évidence, toujours dans un souci de crédibilité.
Il ne se confond pas non plus avec un exercice publicitaire ou de communication : présenter des initiatives porteuses de solutions ne signifie pas en faire la promotion. Conformément au rôle des médias, non pas de “promouvoir” mais bien de diffuser la connaissance, de rendre compte, d’analyser, avec un regard critique et distancié.
4 critères fondamentaux
Dans une application stricte du concept, une initiative pour être considérée comme “porteuse de solution” doit remplir quatre critères fondamentaux :
- apporter une réponse à un problème de société, économique, et/ou social et/ou environnemental ;
- avoir un impact mesurable, qualitativement et quantitativement- sur un nombre significatif de personnes, un écosystème, une société, une organisation
- s’inscrire dans le temps (permettant d’apprécier sa pérennité, sa viabilité) ;
- être localisée (à l’échelle d’un territoire) tout en ayant un potentiel de développement, d’essaimage, de reproductibilité en d’autres lieux, à d’autres échelles.
À quoi on peut ajouter un 5e critère plus subjectif : sa capacité à inspirer les gens et à leur donner envie d’agir. Cette méthode vise donc dans l’absolu des initiatives qui ont apporté la preuve de leur fonctionnement.
Elle s’intéresse aussi à des histoires de résilience, de résolution de problèmes ou conflits, de réponses concrètes à des situations problématiques, de personnes qui font face et trouvent des issues concrètes à leurs propres problèmes ou à des problèmes identifiés dans la société.
Quels sont les critères d'évaluation ?
Quels sont les critères d’évaluation par le jury ?
Principalement les 4 suivants :
- La qualité rédactionnelle de votre reportage : niveau d’écriture, appui sur des sources, témoignages et citations, variété d’interlocuteurs… Attention à ne pas produire une rédaction ou un mémoire : il s’agit bien de réaliser un reportage !
- L’examen d’initiatives concrètes et de leur impact : les initiatives mentionnés doivent déjà avoir fait leurs preuves, générer des résultats, avoir un impact positif.
- Europe : il est très important de donner une dimension européenne à votre reportage or elle est parfois trop légère dans les reportages que nous recevons. Abordez par exemple : Le problème que vous examinez localement se pose-t-il aussi dans d’autres pays d’Europe ? Où ? L’initiative que vous mentionnez peut-elle inspirer d’autres pays d’Europe ? Le fait-elle déjà ?. Pourrait-elle contribuer à atteindre certains objectifs de l’Union européenne ? Existe-t-il une coopération de peuples ou de nations européennes sur le sujet ? Etc.)
- Recul critique : les initiatives ont-elles des limites ? Des effets pervers ? Une efficacité circonscrite à un territoire précis ?
A propos de mon profil / ma candidature
Dois-je suivre un cursus en journalisme ou être étudiant pour postuler ?
Non. Le seul critère est d’avoir entre 15 et 30 ans.
Puis-je vous soumettre le sujet sur lequel je compte travailler pour m’assurer qu’il répond aux critères du Prix ?
Oui. Vous pouvez si vous avez un doute nous demander conseil sur le sujet de votre reportage, par email sur redaction@reportersdespoirs.org
De quel pays dois-je être résident pour candidater ?
Aucune restriction. Les candidats viennent de partout dans le monde. Parmi les candidats et lauréats : des Européens bien sûr, et aussi des Egyptiens, Libanais, Sénégalais, Suisses, Canadiens, Chiliens… Dès lors que vous écrivez en langue française et que vous abordez l’Europe dans votre reportage, vous pouvez être résident de n’importe quel pays de la planète.
Mon reportage doit-il porter sur le pays dont je suis citoyen ou résident ?
Non. Vous avez toute latitude, indépendamment de votre pays d’origine ou de résidence, pour réaliser un reportage sur le ou les pays de votre choix.